Tombeau (stèle funéraire) de l'abbé Gaudissart, curé de la paroisse de Saint-Leu (D2)
Concession cédée à titre gratuit par la Ville d'Amiens, en 1863, à monsieur l'abbé Gaudissart, curé de la paroisse de Saint-Leu.
Cette concession, rehaussée et conservant sa clôture, contient les vestiges d'une stèle à entablement et fronton triangulaire en pierre de Tournai (déposée), probablement élevée vers 1863 (date d´acquisition de la concession et de la dernière inhumation).
Tombeau (stèle funéraire) Lefebvre-Boilleaux (D10)
Concession acquise en octobre 1830, par Jean-Baptiste Lefebvre, brasseur et Adèle Boilleaux, son épouse, domiciliés à Amiens, rue Canteraine.
Cette concession, qui a perdu sa clôture, contient une stèle à fronton cintré à acrotères en calcaire (déposée), probablement élevée vers 1830 (date d´acquisition de la concession) ou 1832 (date des deux premières inhumations).
Tombeau (stèle funéraire) Macque (D 11)
Concession acquise en janvier 1831, par Laurent Macque, maréchal, domicilié à Amiens, place Périgord.
Cette concession, rehaussée et conservant sa grille en fonte et fer forgé avec portillon antérieur central, contient les vestiges d'une stèle en calcaire, probablement élevée vers 1830 (date de la première inhumation) ou 1831 (date d´acquisition de la concession).
Tombeau (stèle funéraire) Bulan-Delassus (D 12)
Concession acquise en mai 1837, par Théophile Bulan-Delassus, négociant, domicilié à Amiens, 47 rue de la Narine et agrandie en octobre 1862, par Céleste Delassus veuve Bulan, rentière, domiciliée à Amiens, 8 rue Cerisy.
Cette concession, qui a perdu sa clôture, contient les vestiges déposés d'une stèle trapézoïdale en calcaire, sans doute réalisée vers 1862 (date d´agrandissement de la concession et de trois inhumations).
Enclos funéraire Durieux de Gournay (D14)
Concession acquise en octobre 1831, par Marie Alexandre Emile Durieux de Gournay, propriétaire, domicilié à Amiens, Passage Lenoël. Les sources conservées à la bibliothèque municipale (série M) indiquent qu'une pierre tombale a été réalisée en 1824.
Cette concession, qui a perdu sa clôture, contient trois dalles funéraires juxtaposées en calcaire, fixées sur un soubassement en briques, qui ont sans doute été réalisées vers 1824 (date de la première inhumation et autorisations de construction), 1831 (date d´acquisition de la concession et de l´une des inhumations) et 1834 (date de la dernière inhumation).
Tombeau (stèle funéraire) Josse-Robiquet (D 15)
Concession acquise en juin 1860, par Elisabeth Robiquet veuve Josse, domiciliée à Amiens.
Cette concession, qui a perdu sa clôture, contient les vestiges d'une stèle cintrée en calcaire, probablement élevée entre 1860 (date d´acquisition de la concession) et 1871 (date de la dernière inhumation).
Tombeau Béthouart-Demetz (D 26)
Concession acquise en juillet 1828, par Eugène Béthouart, orfèvre, domicilié à Amiens, rue Delambre et agrandie en février 1842, par François Nicolas Béthouart, domicilié à Amiens, rue de Bourbon.
Cette concession conserve sa grille antérieure en fonte ouvragée, signée par le constructeur Lamolet (sur le portillon de clôture). Elle contient les vestiges d'une stèle à croix monumentale en pierre de Tournai, sans doute réalisée entre 1842 (date d´agrandissement de la concession) et le début du 20e siècle (dates de plusieurs inhumations et analyse stylistique). Ce tombeau a pu être déposé lors de l´érection du mur en parpaing de la concession postérieure (n° 103).
Tombeau (croix funéraire) Dubois (D 40)
Concession acquise en septembre 1849 et agrandie en octobre 1850, par François Dubois, fabricant, domicilié à Amiens, 21 rue des Briquers.
Cette concession conserve sa grille en fer forgé et contient des fragments de fer forgé, vestiges probables d'une croix funéraire, qui aurait pu être élevée vers 1849 (date d´acquisition de la concession et de la première inhumation).
Tombeau (stèle funéraire) Langevin (D 41)
Concession acquise en juin 1838, par Théophile Langevin, domicilié à Renancourt (80). Les sources conservées à la bibliothèque municipale (série M ; 2M 18/1) indiquent qu'une stèle en chapeau-de-gendarme (ou pierre tombale) de deux pieds et cinq pouces de large, sur cinq pieds de haut, a été réalisée en 1820.
Cette concession, qui a perdu sa clôture, contient les vestiges d'une dalle funéraire en calcaire. Il s´agit vraisemblablement du monument réalisé en 1820 (autorisations de construction) ou entre 1823 (date de l´unique inhumation) et 1838 (date d´acquisition de la concession).
Enclos funéraire Grouard (D 42)
D'après le registre communal, cette concession fut acquise en août 1832, par Yves Martin Grouard, propriétaire, domicilié à Amiens, rue des Sergents. Les sources conservées à la bibliothèque municipale (série M) indiquent qu'une pierre tombale a été réalisée en 1823 pour le négociant Grouard et que l'entrepreneur M. Sueur a réalisé des travaux en 1907.
Cette concession, dont la clôture a disparu, contient trois monuments, dont l'un subsistant à l'état de vestiges. Deux stèles ou dalles funéraires sont disposées au pied d'une stèle dont il ne subsiste que la base. L'une des deux stèles en calcaire posées sur le sol a été réalisée en 1823 (autorisation de construction).
Tombeau (stèle funéraire) Leroy-Caussin et Leroy-Larnelle (D 44)
Concession acquise en décembre 1853, par Jean-Baptiste Leroy-Larnelle, entrepreneur, domicilié à Amiens, 53 rue Saint-Germain.
Cette concession, conservant sa grille en fonte et fer forgé, contient les vestiges d'une stèle à entablement et fronton triangulaire en calcaire, déposée et sans doute réalisée vers 1853 (date d´acquisition de la concession et de l´une des inhumations).
Tombeau de la famille Sangnier-Hiver (D44bis)
Concession acquise en juin 1905, par Maurice Marie Louis Eugène Sangnier, propriétaire, domicilié à Amiens, 5 rue Alexandre. Les sources conservées à la bibliothèque municipale (série M) indiquent que l'entrepreneur Devauchelle a réalisé des travaux en 1905.
Cette concession, rehaussée et conservant sa grille en fonte, contient une stèle à croix monumentale en pierre de Tournai, sans doute réalisée vers 1905 (date d´acquisition de la concession et de la première inhumation) par l´entrepreneur Devauchelle (autorisations de construction). On signalera la présence d´une grande jardinière à plantes en fonte peinte déposée au pied du monument.
Epitaphe : Lucien SANGNIER / brigadier au 29e d'artillerie / médaillé militaire, croix de guerre / blessé à Saponne le 28 août 1914 / Mort pour la France / à Libourne le 12 7bre 1914 / à l'âge de 27 ans.
Tombeau (stèle funéraire) Bernard-Huré (D 45)
Concession acquise en juillet 1850, par Silvain Edouard Bernard, ferblantier et Adèle Anna Huré, son épouse, domiciliés à Amiens, 7 Grande rue de Beauvais. Les sources conservées à la bibliothèque municipale (série M ; 2M 18/4) indiquent que des travaux de réfection - grille de clôture et croix funéraire repeintes ainsi que le Christ ornant la croix redoré - ont été réalisés en 1875.
Cette concession conserve partiellement sa clôture et contient la base d'une stèle en calcaire, qui aurait pu être réalisée vers 1850 (date d´acquisition de la concession et de l´une des inhumations).
Tombeau (stèle funéraire) Engramer (D 50)
Concession acquise en décembre 1849, par Côme Parfait Engramer, domicilié à Amiens, 94 rue du Hocquet.
Cette concession, conservant sa grille antérieure en fonte, contient les vestiges d'une stèle en pierre de Tournai, déposée et sans doute réalisée vers 1849 (date d´acquisition de la concession et de deux inhumations).
Tombeau (croix funéraire) Paget-Hoyez (D 52)
Concession acquise en mars 1840, par M. Paget-Hoyez, étuviste, domicilié à Amiens, rue de la Voirie.
Cette concession, qui a perdu sa clôture, contient les vestiges d'une croix funéraire en fer forgé, déposée, probablement élevée vers 1840 (date d´acquisition de la concession et de l´une des inhumations).
Tombeau (stèle funéraire) de la famille Carpentier-Capron (D54)
Concession acquise en juillet 1842, par Louis Léonor Carpentier et Euphrosine Capron, son épouse, propriétaires, domicilié à Amiens, 51 boulevard Saint-Charles.
Cette concession, conservant sa grille antérieure en fonte, contient une stèle épaulée en pierre de Tournai probablement élevée vers 1924 (date de l´une des inhumations) en remplacement du tombeau d´origine.
Tombeau (sarcophage) D'Augy (D56)
Concession acquise en janvier 1841, par Adolphe Marie D'Augy, employé des Postes, domicilié à Amiens, Cloître Saint-Nicolas.
Cette concession, conservant sa clôture, contient un tombeau formé d'une dalle funéraire en pierre de Tournai (voir illustration dans dossier de synthèse) posée sur un soubassement maçonné en briques (en mauvais état), sans doute été réalisé vers 1841 (date d´acquisition de la concession et de la première inhumation).
Enclos funéraire Lenoir-Cocquerelle (D58)
Concession acquise en juin 1839, par Marie Geneviève Cocquerelle veuve Lenoir, propriétaire, domiciliée à Amiens, 3 rue des Saintes-Maries. Les sources conservées à la bibliothèque municipale (série M) indiquent qu'un monument (croix funéraire ?) a été réalisé en 1821 pour Mme Lenoir-Coquerel, marchande-épicière.
Cette concession, conservant partiellement sa grille en fonte, contient les vestiges de cinq colonnes funéraires en calcaire, toutes déposées et en mauvais état, qui ont sans doute été élevées au cours des 2e et 3e quarts du 19e siècle (dates de plusieurs inhumations).
Enclos funéraire de la famille Prousel-Matifas (D67)
Concession acquise en avril 1842, par Marie-Thérèse Rivière veuve Matifas, domiciliée à Amiens, rue des Chaudronniers.
Cette concession, rehaussée et conservant sa grille en fonte, contient trois monuments. Le plus ancien semble être la colonne funéraire brisée en calcaire (voir illustration dans dossier de synthèse), probablement élevée entre 1842 (date d´acquisition de la concession) et 1858 (date de la première inhumation mentionnée). La stèle trapézoïdale en pierre de Tournai présente les mêmes épitaphes que la colonne mais semble plus tardive. Elle est signée par l'entrepreneur Gadré et a sans doute été réalisée vers 1900 (date de l´une des inhumations). Enfin, la stèle néogothique de forme ogivale en calcaire, déposée et difficilement datable, a pu être réalisée au cours de la 2e moitié du 19e siècle.
Tombeau (stèle funéraire) Mathon-Picard (D71)
Concession acquise en janvier 1844, par Jean Louis Mathon, greffier, domicilié à Amiens, 81 rue Saint-Jacques.
Cette concession, ne conservant que très partiellement sa clôture, contient les vestiges d'une stèle en calcaire, déposée et signée par l'entrepreneur Leroy. Elle a pu être élevée vers 1861 (date de l´une des inhumations) pour Le greffier en chef du Tribunal Civil d´Amiens et suppléant de Justice de Paix, monsieur Jean Louis Mathon.
Epitaphe : Jean Louis / MATHON / ancien greffier / en chef du Tribunal / Civil d'Amiens / suppléant de Justice / de Paix / décédé le 21 avril 1861 / à l'âge de 64 ans.
Enclos funéraire Thuillier-Prudhomme (D72)
Concession acquise en septembre 1845, par Marie Jeanne Prudhomme veuve Thuillier, domiciliée à Amiens, 42 rue des Coches.
Cette concession, conservant partiellement sa clôture, contient les vestiges de deux monuments : une stèle cintrée en calcaire (déposée), sans doute réalisée dans la 2e moitié du 19e siècle (dates de plusieurs inhumations) et une petite colonne funéraire en calcaire (déposée), probablement élevée vers 1845 (date d´acquisition de la concession et de la première inhumation).
Tombeau (stèle funéraire) de la famille Obert-Morel (D73)
Concession acquise en juillet 1847, par Constance, Joseph Guillaume et Domice Auguste Obert, domiciliés à Amiens, 23 Marché aux Herbes.
Cette concession, conserve sa clôture et contient une stèle stylisée en pierre de Tournai, signée par l'entrepreneur Lesot et probablement élevée vers 1879 (date de l´une des inhumations), en remplacement du tombeau d´origine.
Enclos funéraire Dumeige et Dumeige-Simon (D74-75) ILLUSTRATION
Concession n° 75 acquise en mai 1848, par Julie Simon veuve Dumeige, domiciliée à Amiens, 69 rue de la Narine et par Alexandrine Augustine Dumeige, domiciliée à Amiens, rue des Capucins et agrandie en août 1849, par la veuve Dumeige-Simon, Xavier Dumeige, planton, domicilié à Amiens, Marché aux Chevaux, et Constant Dumeige, chef de bureau à la Mairie d'Amiens, domicilié à Amiens. Concession n° 74 acquise en décembre 1863, par Pierre Bernard Dumeige, officier en retraite, domicilié à Amiens, 44 rue du faubourg du Court.
Cette concession rehaussée conserve sa clôture commune en fonte. Elle contient deux monuments. Le plus ancien est probablement la stèle en calcaire (déposée et difficile à dater), qui a pu être réalisée entre 1848 (date d´acquisition de l´un des deux terrains) et 1878 (date de l´une des inhumations mentionnées). La petite stèle épaulée en calcaire (fig.) a sans doute été élevée vers 1887 (date de la première inhumation mentionnée) pour monsieur Constant Joseph Charles Dumeige, chef de bureau à la Mairie d´Amiens et économe de la Maison Cozette.
Epitaphe (stèle épaulée) : Constant Joseph Charles / DUMEIGE / ancien chef de Bureau / à la Mairie d'Amiens / Econome de la Maison / Cozette / 3 novembre 1823 / 22 novembre 1887.
Tombeau (stèle funéraire) Drummont de Melfort, Dauthuille et du chanoine Nicolas Augustin Dauthuille (D78) ILLUSTRATION
Concession acquise en août 1843, par Amélie Félicité Drummont de Melfort, rentière, domiciliée à Amiens, rue de Noyon et par Nicolas Augustin Dauthuille, curé de la paroisse de Saint-Pierre, domicilié à Amiens.
Cette concession, ne conserve plus sa clôture et contient une stèle néogothique en calcaire (déposée), réalisée vers 1857 à la mémoire de Nicolas Augustin Dauthuille, ancien curé de St-Pierre et chanoine titulaire du chapitre de la Basilique Notre-Dame d'Amiens.
Epitaphe : Messire Nicolas / Augustin / DAUTHUILLE / ancien curé de St-Pierre / Chanoine titulaire / du chapitre / de la Basilique / Notre-Dame d'Amiens / décédé le 8 mars 1857 / à l'âge de 85 ans.
Tombeau (stèle funéraire) Champernaud-Masson (D 80)
Concession acquise en mars 1898, par Jean-Louis Champernaud, carrossier, domicilié à Amiens, 4 route de Paris.
Cette concession, rehaussée et conservant sa clôture, contient les vestiges d'une stèle en pierre de Tournai (déposée), signée par l'entrepreneur Lamarre et sans doute été réalisée entre 1898 (date d´acquisition de la concession) et 1907 (date de la première inhumation).
Tombeau (stèle funéraire) Masson (D81)
Concession acquise en janvier 1863, par Rosalie Désirée Masson, rentière, domiciliée à Amiens, 9 rue du Don.
Cette concession, de type couloir et rehaussée, conserve sa grille antérieure en fer forgé et contient une stèle trapézoïdale en calcaire (voir illustration dans dossier de synthèse), probablement élevée vers 1863 (date d´acquisition de la concession et de la première inhumation).
Tombeau (stèle funéraire) Follet-Barbier (D 88)
Concession acquise en décembre 1845 et agrandie en juillet 1853, par Charles Frédéric Follet, sellier-carrossier et Flore Rose Catherine Barbier son épouse, domiciliés à Amiens, 2 rue Gresset. Les sources conservées à la bibliothèque municipale (série M ; 2M 18/10) indiquent que l'entrepreneur Emile Dumont, domicilié à Amiens, 436 quai de la Somme, a réalisé des travaux en 1908.
Cette concession, rehaussée et conservant partiellement sa grille antérieure en fonte et fer forgé, contient les vestiges d'une stèle en calcaire (déposée), sans doute réalisée entre 1843 (date des trois premières inhumations) et 1845 (date d´acquisition de la concession).
Tombeau (stèle funéraire) Coisy (D 91)
Concession acquise en juin 1853, par Auguste Coisy, menuisier, domicilié à Amiens, 7 rue des Faux Timons. Les sources conservées à la bibliothèque municipale (série M ; 2M 18/2) indiquent que des travaux ont été réalisés par l´entrepreneur Tattegrain en 1853.
Cette concession, rehaussée et conservant partiellement sa clôture, contient les vestiges d'une stèle en calcaire, dont seule la base, agrémentée d'une niche en forme de trou de serrure, subsiste. La partie supérieure du tombeau est déposée à l'arrière de la sépulture. La stèle déposée a sans doute réalisée vers 1853 (date d´acquisition de la concession) par l´entrepreneur Tattegrain (autorisations de construction).
Tombeau (stèle funéraire) Quignon-Letailleur (D 94)
Concession acquise en septembre 1848, par Marguerite Sophie Letailleur veuve Quignon, , rentière, domiciliée à Amiens, faubourg de Beauvais.
Cette concession, rehaussée et conservant sa grille en fonte et fer forgé, contient les vestiges d'une stèle en calcaire, déposée et sans doute réalisée vers 1848 (date d´acquisition de la concession et de la première inhumation). On signalera la présence de deux porte-couronne mortuaires à crochets en fer forgé.
Tombeau (stèle funéraire) Desaint (D 95)
Concession acquise en décembre 1847, par Elisabeth Desaint, brocanteuse, domiciliée à Amiens, 20 Place au Fil.
Cette concession, rehaussée et conservant partiellement sa clôture, contient les vestiges d'une stèle en calcaire (déposée), sans doute réalisée entre 1836 (date de la première inhumation) et 1847 (date d´acquisition de la concession).
Tombeau (stèle funéraire) de la famille Porchez-Mercier (D98A)
Concession acquise en février 1899, par Antoine Porchez, employé de commerce, domicilié à Amiens, 9 rue Blasset.
Cette concession, de type couloir et conservant sa clôture, contient une stèle néogothique en pierre de Tournai, signée par l'entrepreneur Lesot et sans doute réalisée vers 1899 (date d´acquisition de la concession et de l´une des inhumations).
Tombeau (niche) Bloquet-Froidure et Mennessier-Bloquet (D98B)
Concession acquise en février 1899, par Jean-Baptiste Prosper Bloquet, boucher, domicilié à Amiens, 56 faubourg de la Hotoie. Les sources conservées à la bibliothèque municipale (série M) indiquent que l'entrepreneur Lesot-Frères a réalisé des travaux, en 1909 sur la concession Bloquet-Froidure.
Cette concession, de type couloir et conservant sa clôture signée par le serrurier amiénois N. Surhomme, contient un tombeau en forme de niche monumentale en pierre de Tournai, dont la partie supérieure a été arasée. L´édicule a probablement été élevé vers 1899 (date d´acquisition de la concession et de la première inhumation).
Chercheur du service de l'Inventaire général du patrimoine culturel de Picardie, puis des Hauts-de-France, depuis 2002.