Dossier d’œuvre architecture IA02003248 | Réalisé par
Fournier Bertrand (Rédacteur)
Fournier Bertrand

Chercheur de l'Inventaire du patrimoine - Région Hauts-de-France

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Barbedor Isabelle (Rédacteur)
Barbedor Isabelle

Chercheur du service de l'Inventaire général du patrimoine culturel de Picardie, puis des Hauts-de-France, depuis 2002.

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  • enquête thématique régionale, La première Reconstruction
  • patrimoine industriel
  • patrimoine de la Reconstruction
La ville de Tergnier
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Communauté d'agglomération Chauny-Tergnier-La Fère - Tergnier
  • Commune Tergnier
  • Dénominations
    village, ville
  • Dossier dont ce dossier est partie constituante

D'après le Pouillé de l'ancien diocèse de Noyon (1905), en 1687, Tergny (Tergnier) est un ancien hameau dépendant de la paroisse de Vouël, qui compte 44 familles et deux fermes appelées Le Champ aux oyes (toponyme encore visible sur le cadastre de 1824, au sud de la commune). Croquet (1887), le donne comme domaine du prieuré de Fargniers. Ferme ou cense donnée en 1059 aux chanoines de Chauny par Herbert IV, comte de Vermandois.

Le hameau apparaît sur la carte de Cassini, à l'est de Vouël et à l'écart de voies de grandes communications (axe nord-sud : la chaussée reliant Coucy à Ham et est-ouest : la route de Chauny à La Fère, par Fargniers) et d'un axe secondaire nord-sud vers Liez. La carte figure également le canal de Crozat, reliant Chauny à Saint-Quentin avec écluses et corps de garde, et le canal latéral de l'Oise vers La Fère.

Le cadastre de 1824 donne une représentation plus précise du hameau, qui compte quelques maisons regroupées autour de deux petites places-carrefours. Deux chemins, dits Petit-Voyer et Grand-Voyer, relient le village au canal, à proximité de l'écluse.

Tergniers devient une commune rattachée au canton de La Fère, en 1793, date à laquelle elle compte 222 habitants. La carte d'Etat-Major (1820-1866) signale Tergniers comme une commune. Le canal latéral de l'Oise à la Sambre a été prolongé ; sur le canal de Crozat, les deux ponts reliant Vouël à Quessy sont toujours présents, ainsi qu'un ancien corps de garde. La voie ferrée lignes de Creil à Saint-Quentin et embranchement de Tergnier à Reims. Les ateliers de la Cie (dont une rotonde) sont construits à l'ouest de la voie ferrée et la gare construite à l'est. La voie ferrée vers Saint-Quentin supprime le chemin vers Liez et coupe les deux voyers vers le canal.

Le village prend alors "un développement considérable. De tous côtés on trace des rues nouvelles, et des habitations élégantes s’élèvent en bordure sur ces rues" (Journal de Saint-Quentin, 23/9/1868) ; ce que confirme Ch. Poette (1869) : "Tergnier se développe comme par enchantement. Depuis quelques années déjà ce n’est plus un village, c’est presque une ville. Les maisons s’y alignent comme dans les villes les plus peuplées et les mieux tenues. La population s’y accroit d'année en année dans des proportions inconnues des centres les plus populeux de nos contrées. Le commerce y prend chaque jour une nouvelle extension, et l’on peut prévoir l'époque où cette commune comptera parmi les cités les plus industrieuses et les plus florissantes des environs." Il signale la présence d'une société mutuelle créée en 1863 et d'une coopérative (boulangerie et boucherie) en 1866. "Ajoutons encore en terminant qu’en voyant la population active, intelligente, laborieuse de Tergnier, on se prend à regretter, quand on habite St-Quentin, qu’il se soit trouvé un jour dans cette ville, une administration municipale, assez aveugle et assez défiante des classes ouvrières, pour méconnaître les vrais intérêts de la cité, en refusant de faire quelques sacrifices pour favoriser l’établissement sur son territoire des ateliers dont Tergnier a été doté".

Croquet (1887), signale la création d'une paroisse en 1851 (construction d'une église et création d'un cimetière), vue la forte augmentation de la population due à l'implantation de la gare et des ateliers de la Compagnie des Chemins de fer du Nord. En 1886, Tergnier compte 3708 habitants, fabrique de sucre, ateliers de construction, entrepôts établis dans une ancienne faïencerie, vastes écoles fréquentées par 700 enfants. "C'est grâce aux ateliers du Chemin de Fer que Tergnier a pris, en si peu de temps, un si rapide accroissement, et que l'aisance et le bien-être règnent désormais, non seulement dans cette petite ville, mais aussi dans le pays qui l'environne".

La ville dispose de nombreux équipements, dont des bains chauds, rue de la Gare, attestés en 1884 (Journal de Saint-Quentin, 20/2/1884). En 1913, la vente d'une cité ouvrière de 55 maisons divisée en trois lots et nombreux autres immeubles de rapport, dans le centre de la ville de Tergnier, y confirme l'importance des logements locatifs ((Journal de Saint-Quentin, 30/11/1913).

Les recensements de population permettent de mesurer la très forte croissance de population de Tergnier, qui passe de 304 habitants en 1851 à 4898 habitants en 1911.

La comparaison du plan cadastral du début du 19e siècle et du plan levé en 1919 montre en effet un développement urbain important qui s'appuie sur une trame ancienne.

La reconstruction de la ville après la Première Guerre mondiale

La ville est totalement détruite durant la Première Guerre mondiale. Plusieurs cités de maisons provisoires sont aménagées au nord (boulevard de la Liberté) et au sud (rue Blériot) du boulevard Gambetta et à proximité de l'ancienne fonderie (cité Jacquard). La cité Jacquard est la plus importante, comme le montre la vue aérienne (IGN) de 1931 sur laquelle on distingue 75 maisons desservies par quatre impasses.

Pour sa reconstruction, la ville est tributaire de l’établissement d'un plan précis de construction de la cité de la Cie du Nord pour élaborer son plan de reconstruction général. "M. le Maire fait connaître qu’à la suite des démarches qui ont été faites par la délégation du Conseil, aux ministères des Travaux publics et des régions libérées, M. le Ministre a promis des baraquements ; il ajoute qu’un avant-plan des divers emplacements des services de la Cie du Nord a aussi été communiqué à la délégation, mais que ce plan établi à une grande échelle, sans être côté, ne donne pas une idée exacte de ce qui sera ou pourra être fait par la Cie du Nord comme travaux et que, par suite, il y a lieu d’attendre qu’un plan définitif soit arrêté pour que la ville puisse faire établir un plan de reconstruction générale" (DCM 26/2/1919). Un premier plan est soumis par l'architecte Lemaire et approuvé par le conseil municipal en juin 1919. Cependant, le plan proposé par l'architecte n'est pas articulé à ceux de Vouël et de Condren, dont les trames viaires sont liées. La reconstruction de la ville et des bâtiments communaux est finalement confiée à la société d'études et de contrôles industriels de France. Un plan est dressé par l'architecte Brethollon et le géomètre Jaillet (23 août 1920).

La commission de 21 membres, nommée pour le plan de reconstruction de la ville, comprend l’architecte départemental, un ingénieur de la Cie du Nord, un ingénieur des Ponts et chaussées, l’agent voyer principal et sept conseillers municipaux (DCM 28/03/1920). Elle soumet un nouveau plan, dressé par l'architecte Brethollon, approuvé en juin 1920 (cf. annexe), et adopté en novembre 1920. Ce plan de reconstruction est l'occasion de déplacer et de réunir les bâtiments communaux pour former un nouveau centre-ville.

L'architecte Antoine, de Chauny, est choisi pour la reconstruction des bâtiments communaux (DCM 10/06/1921). Radié de la liste des architectes agréés de l'Aisne, en 1924, il est remplacé par Lemaire (DCM 26/9/1925), qui meurt l'année suivante. Paul Albert Müller devient l'architecte communal en février 1926.

Le Conseil municipal a décidé de contracter au Crédit foncier un emprunt de 300.000 francs afin de permettre l'achèvement des bâtiments municipaux en voie de construction, l’agrandissement de l’école maternelle et des école communales, la réfection de la voirie, l’installation du service d’égouts, la création d’un champ d'expérience pour les enfants des écoles, l’installation de bains-douches, le déplacement du transformateur de la place de la République, la création du parc Sellier et le paiement de l’expropriation de M. Salingre. La création d’urinoirs est envisagée au fur et à mesure de l’installation du service d’égouts. (L’Usine, 5 juillet 1929, p. 47).

La reconstruction de la ville après la seconde guerre mondiale

Durant la seconde guerre mondiale, la ville est à nouveau touchée par les bombardements. Dès aout 1940, l'architecte P. Tiollet est chargé de conduire les travaux à effectuer au groupe scolaire, à la salle des fêtes, aux logements (rues Prudhon et Victor-Hugo), à l'hôtel de ville et à l'abattoir (AC Tergnier).

Les bombardements de 1944 détruisent les maisons rue Denfert-Rochereau, boulevard Gambetta (rive nord), boulevard de la Liberté, rues Hoche et Condorcet, enfin celles de la cité Jacquart. Des logements provisoires sont installés entre la rue Hoche et la voie ferrée (à l'emplacement de la manufacture Camille-Fournet et de la caserne de pompiers), avenue Jean-Moulin (à proximité du cimetière), rue Jacquard et cité Roosevelt, toujours présents en 1958. De cette époque datent également les logements de la cité du Tir.

En mars 1946 la municipalité souhaite la construction rapide de maisons transitoires pour reloger les habitants expropriés. La cité américaine est l'un des premiers ensembles construits vers 1949, avec les ISAI de la rue Rebequet .

La ville fait l'objet d'un nouveau plan d'urbanisme, désormais articulé à la nouvelle trame urbaine de la cité de cheminots. La municipalité souhaite l'élargissement de la rue Gambetta du pont jusqu'à la sortie de Tergnier et le report du parc et autres équipements prévus entre les rues Serrurier et Quatre-Fils-Paul-Doumer, sur la place Gambetta. L'élargissement de la rue Serrurier (actuelle avenue du Général-De Gaulle) est porté à 16 m. et la rue des Quatre-Fils-Paul-Doumer est prolongée au nord jusqu'à la cité (avenue Jean-Rostand). Ce nouveau plan d'urbanisme donne lieu à la création de nouveaux ilots urbains formant une entrée au centre-ville.

La place du Marché (place Herment), terrain concédé par la Cie du nord en 1863, devient voirie communale en 1950. En 1952, la municipalité achète un terrain entre la place et la rue La-Fontaine (actuelle avenue Jean-Moulin) pour construire un marché couvert (DCM 26/5/1952), dont l'avant-projet est proposé par Shiketaus (DCM 11/8/1956). Ce bâtiment est affecté à l'usage de salle des Arts et des Loisirs et à l'association Défi Services.

  • Période(s)
    • Principale : Moyen Age , (détruit)
    • Principale : 2e moitié 19e siècle , (détruit)
    • Principale : 1er quart 20e siècle, 2e quart 20e siècle
    • Principale : 3e quart 20e siècle
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Lemaire Charles
      Lemaire Charles

      Architecte communal de Tergnier de 1924 à 1926. Etabli à Tergnier, boulevard Gambetta, durant la reconstruction de la ville après la Première guerre mondiale.

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      architecte communal attribution par source
    • Auteur : architecte attribution par source
    • Auteur :
      Müller Paul ou Albert-Paul
      Müller Paul ou Albert-Paul

      Albert-Paul-Muller est né à Remiremont (Vosges) en 1889. Pendant la Grande Guerre, de 1914 à 1917, il travaille comme architecte-voyer intérimaire de la ville de Lure (Haute-Saône). Il est admis en juillet 1917 à l'École des Beaux-Arts de Paris et il obtient son diplôme d'architecte le 8 juin 1921. Il s'installe peu après comme architecte à Bruyères-et-Montbérault (Aisne) avant de s'installer à Laon.

      Architecte départemental à partir de 1931, il reconstruit de nombreux édifices dans l'Aisne après les deux guerres mondiales. Il est décédé à Laon (Aisne) en 1965.

      Il a fait l'objet d'une notice biographique dans le Dictionnaire des élèves architectes de l'École des Beaux-Arts de Paris (en ligne).

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    • Auteur :
      Shiketaus Alfred
      Shiketaus Alfred

      Architecte établi à Flavy-le-Martel au milieu du 20e siècle.

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L'ancienne ville de Tergnier, qui forme aujourd'hui le centre de l'agglomération du Grand Tergnier, est divisée en deux secteurs par la voie ferrée et limitée à l'est par le canal de Saint-Quentin.

A l'ouest de la voie ferrée, la trame ancienne est encore bien visible, identifiable au tracé irrégulier des rues.

Au nord du boulevard Gambetta (des Quatre-Fils-Paul-Doumer, Aristide-Briand et Racine ou encore Denfert-Rochereau et de Chateaudun). Les équipements y sont réunis autour d'une place et d'un hôtel de ville (groupe scolaire, école maternelle, poste, église, ancien dispensaire, ancien temple, enfin jardin public). L'avenue du Général-De Gaulle et le boulevard Gambetta (de la rue des Quatre-Fils-Paul-Doumer à la rue Herment) présentent un aménagement postérieur à la seconde guerre mondiale combinant une largeur de voie plus importante et un dispositif formant entrée vers le centre-ville. On retrouve ce dispositif formant entrée de ville avec le groupe d'ISAI (résidence OPAL, avenue Jean-Rostand) à la jonction entre la cité de cheminots et la ville de Tergnier, où se trouve le cimetière communal.

Au sud du boulevard Gambetta, les rues Kleber et Hoche sont d'anciens chemins d'accès à l'écluse. C'est dans ce secteur qu'a été construit le collège de Tergnier. Au sud de la voie ferrée, on distingue également l'emprise de l'ancienne gare de triage (actuelle zone d'activités desservie par la rue du 32e RI).

Plusieurs bâtiments de la Compagnie du Nord sont présents dans la ville : le foyer des agents de train, des logements du personnel, et des maisons dans la rue des Bains.

A l'est de la voie ferrée, où se trouve la gare de Tergnier, la rue Marceau est également une voie ancienne rompue par l'emprise des voies ferrées. Cet ancien secteur industriel, qui a fait l'objet de rénovations urbaines, est aujourd'hui principalement un secteur résidentiel (quartier Roosevelt) dans lequel se trouvent plusieurs équipements (centre culturel, médiathèque, espace Au Fil de l'Eau).

La passerelle de la gare relie le centre-ville et la gare.

Bâti repéré présentant des qualités architecturales à signaler : plusieurs demeures (8 bd Gustave-Grégoire, 47 rue des Quatre-Fils-Paul-Doumer, 19 et 21-23, 139 bd Gambetta, 30 rue Aristide-Briand, rue Jules-Pouillart).

Des activités commerciales, plutôt concentrées boulevard Gambetta et rue Pierre-Sémard :

- des commerces toujours en activité depuis leur construction : café (44 avenue Jean-Moulin), l'Hôtel des Voyageurs (60 rue Pierre-Sémard), l'ancien café des Nations (angle rues Pierre-Sémard et Marceau), ancien hôtel (4 rue Pierre-Sémard).

- d'anciennes activités identifiées : ancienne salle paroissiale (rue Aristide-Briand), anciens commerces (3, 29 et 33 bd Gustave-Grégoire, 2 rue du Transvaal, 67, 100 et 111 avenue Jean-Moulin, bd Gustave-Grégoire)

Enfin plusieurs ensemble de logements sous un même toit :

-maisons à deux unités d'habitation

--sans retrait d'alignement (29-31 et 91-93 boulevard Gambetta, 16-18, 56-58 et 44 boulevard Gustave-Grégoire, 12-14, 16-18, 20 à 34 rue Marceau, 2 à 8 rue de la Libération, 37-39 et 34-36 rue de Chateaudun, 7-9, 11-13 et 15-17 rue Franklin, 9-11 et 27-29 rue des Quatre-Fils-Paul-Doumer, 39-41 rue Racine, 4 à 18 et 30-32 rue Blériot, 6-8 rue Drouot, 7-9 et 11-13 rue Berthelot, 3-5 rue Pierre-Méchain, 30-32 et 40-42 rue Jacquard),

--en retrait (36-38 rue Franklin, 25-27 place Herment) ; 33-35 rue des Quatre-Fils-Paul-Doumer. Au 7-9 rue Berthelot, la maison en rez-de-chaussée surélevé présente la même typologie que les maisons de l'ancienne cité de la rue Henri-Martin.

-maisons à trois unités d'habitation, avec porte d'allée (60 à 64 et 94 à 96 boulevard Gambetta, 43 à 47 avenue Jean-Moulin) ;

-ensembles de quatre logements en rangée (63 à 69 et 100 à 106 boulevard Gambetta, 7 à 13 rue Jules-Pouillard, 90à 96 avenue Jean-Moulin, 11 à 17 et 39 à 41 place Herment) ;

-ensemble de cinq logements en rangée (75 à 83 boulevard Gambetta) ;

-ensemble de six logements, à porte d'allée (43 à 55 avenue Jean-Moulin, 22 à 32 rue Franklin)

-ensemble de huit logements en rangée (1 à 17 rue Kléber) ;

-ensemble de quatorze logements en rangée (18 à 44 rue Guy-Moquet).

-immeuble à boutique à 2 étages carrés : 42 boulevard Gambetta et 1 rue des Quatre-Fils-Paul-Doumer

-groupes de maisons non mitoyennes : 3 à 7 rue Blériot, 30 et 32 rue Benjamin-Delessert

-groupe de maisons à 3 et 2 logements : 1 à 9 rue Drouot

  • Typologies
    vallée humide ; mutation

Documents d'archives

  • POETTE, Ch. "Tergnier". Le Guetteur de Saint-Quentin et de l'Aisne. 21 juillet 1869, p. 3-4.

  • AD Aisne. Série T ; 13T 443. Tergnier. Monographie communale, 1884.

  • CHRETIEN, Abbé (d'après le manuscrit de). Pouillé de l'ancien diocèse de Noyon. Montdidier : J. Bellin, 1905.

    p. 106.
  • DELAFON, Gilles. Il ne faut pas reconstruire Tergnier". Le maître-d'oeuvre de la reconstruction française, 1946, p. 2.

  • Annuaire industriel. Répertoire général de la production française. Paris.

    1935, 1938.

Bibliographie

  • CROQUET. Notes et additions [à la notice historique sur Tergnier]. Bulletin de la société académique de Chauny, janvier 1887.

    p. 118-119.
  • LABBE, père. "Notice historique sur Tergnier". Bulletin de la société académique de Chauny, janvier 1887.

    p. 118.

Périodiques

  • [Extrait du 20 juin 1850]. Le Journal de la ville de Saint-Quentin et de l'Arrondissement, p. 4.

    23 septembre 1868, p. 3 ; 20 février 1884, p. 4 ; 30 novembre 1913, p. 6.

Documents figurés

  • Carte de la subdelegation de Chauny et de ses environs, levée sur les lieux par ordre de Monseigneur l'Intendant de la Generalitée de Soissons, à quoi ont été ajoutées les parties de rivieres de Somme et d'Oise qui s'y trouvent representées et tirées d'une carte de projet du canal de Picardie, par Legrand, 1750 (Bibliothèque nationale de France, département Cartes et plans, GE DD-2987 ; 909 B)

  • Tergnier. [Copie du] plan cadastral. Section A, dite du village, 1824 (AD Aisne ; 3P0940_02).

  • Tergnier. Plan général altimétrique. Aménagement, embellissement et extension. A. Brethollon, architecte (AC Tergnier).

  • Tergnier. Plan général altimétrique. Aménagement, embellissement et extension. A. Brethollon, architecte. Jaillet, géomètre. 23 août 1920 (AC Tergnier).

Annexes

  • Aménagements prévus au plan de reconstruction de Tergnier (1920)
  • Aménagements prévus au plan de reconstruction de Tergnier (1945)
  • Rues de Tergnier
  • Activités industrielles attestées à Tergnier
Date(s) d'enquête : 2014; Date(s) de rédaction : 2015, 2021
(c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
Fournier Bertrand
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Chercheur du service de l'Inventaire général du patrimoine culturel de Picardie, puis des Hauts-de-France, depuis 2002.

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Articulation des dossiers
Contient
Dossier d’ensemble