Photographe de l'Inventaire général du patrimoine culturel.
- inventaire topographique
- enquête thématique régionale, églises paroissiales et chapelles du Nord-Pas-de-Calais 1945-2010
- patrimoine de la Reconstruction
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Communauté de communes des Hauts de Flandre - Bergues
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Commune
Bergues
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Adresse
contour de l' Eglise
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Cadastre
2005
A2
224
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Dénominationséglise paroissiale
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VocablesSaint-Martin
La tour clocher est bâtie entre 1510 et 1543 sur les plans de Daniel Stoocke. L'église est incendiée lors de la prise de la cité par les Français en 1558. Le clocher est réparé et l'église reconstruite en commençant par le chœur : chevet rebâti autour de 1562, date inscrite sur l'abside nord en chiffres de céramique rouge, bras sud du transept achevé en 1567 par le maître maçon Georges Zeloerst, porche sud bâti en 1595.
Le chœur et la façade occidentale reçoivent entre janvier 1897 et décembre 1900 un riche décor dans le style gothique flamboyant réalisé par J. B. Ringot, entrepreneur, sur les plans de l'architecte Paul Destombes : fausses voûtes d'ogives sur le chœur, porche en brique avec décor en pierre en avant de la travée centrale de la façade occidentale.
En 1940, l'église est incendiée et le clocher dynamité en 1944. Classée partiellement au titre des Monuments historiques, l'église est reconstruite par Paul Gelis, architecte en chef des Monuments historiques, assisté de son fils Jean en 1955-1959. La reconstruction ne porte que sur un des trois vaisseaux de la nef et deux des trois vaisseaux du chœur tandis qu'une version simplifiée du clocher est élevée à l'emplacement de l'ancien ; de l'ancienne église ne sont conservés que le chevet avec ses trois absides, l'élévation sud du chœur, le porche sud et le bras sud du transept.
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Période(s)
- Principale : 1ère moitié 16e siècle , (détruit)
- Principale : 2e moitié 16e siècle
- Principale : limite 19e siècle 20e siècle , (détruit)
- Principale : 3e quart 20e siècle
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Dates
- 1592, daté par source
- 1595, daté par source
- 1955, daté par source
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Auteur(s)
- Auteur : architecte attribution par source
- Auteur : architecte attribution par source
- Auteur : verrier attribution par source
-
Auteur :
Champillou Jeannesculpteur attribution par sourceChampillou JeanneCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Le porche sud est en brique taillée en appareil jointif ; la tour est coiffée d'un toit en pavillon.
La partie sud de l'édifice, classée, est reconstruite à l'identique. La tour, le baptistère, le bas-côté nord, le bras du transept nord et l'intérieur sont reconstruits en brique. La dimension de l'ancien édifice est diminuée de plus d'un tiers, l'ancien bas-côté sud devient la nef centrale et un seul transept est conservé. Les vitraux sont de Max Ingrand et le chemin de croix en céramique de Jeanne Champillou.
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Murs
- brique
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Toitsardoise
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Plansplan en croix latine
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Étages3 vaisseaux
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Couvrements
- voûte d'ogives
- lambris de couvrement
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Couvertures
- toit à longs pans
- toit en pavillon
- pignon découvert
- croupe polygonale
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Typologieséglise halle de vaisseaux charpentes ; brique taillée
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État de conservationrestauré
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Statut de la propriétépropriété de la commune
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Protectionsclassé MH partiellement, 1907/12/24
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Précisions sur la protection
Seul le pignon du croisillon sud est classé MH.
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Référence MH
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
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Né en 1950 en Algérie. Titulaire d’un doctorat en médecine - thèse soutenue en 1995 : « Histoire et architecture des amphithéâtres d’anatomie et des salles de dissection à Paris sous l’Ancien Régime » -, d’un certificat de médecine tropicale-santé dans le monde, d’une licence de langue et civilisation arabe, enfin d’un D.E.A. d’histoire de l’art soutenu en 1999 : « Histoire des locaux destinés à l’enseignement de l’anatomie dans les institutions parisiennes : de la création de l’École de santé de Paris à la construction du premier institut d’anatomie (1794-1832) ».
Après sa réussite au concours de conservateur du patrimoine en juin 1985, Pierre-Louis Laget a occupé de 1985 à 2017 un poste de chercheur dans le service de l’Inventaire de la Région Nord-Pas-de-Calais (puis Hauts-de-France).
Né en 1950 en Algérie. Titulaire d’un doctorat en médecine - thèse soutenue en 1995 : « Histoire et architecture des amphithéâtres d’anatomie et des salles de dissection à Paris sous l’Ancien Régime » -, d’un certificat de médecine tropicale-santé dans le monde, d’une licence de langue et civilisation arabe, enfin d’un D.E.A. d’histoire de l’art soutenu en 1999 : « Histoire des locaux destinés à l’enseignement de l’anatomie dans les institutions parisiennes : de la création de l’École de santé de Paris à la construction du premier institut d’anatomie (1794-1832) ».
Après sa réussite au concours de conservateur du patrimoine en juin 1985, Pierre-Louis Laget a occupé de 1985 à 2017 un poste de chercheur dans le service de l’Inventaire de la Région Nord-Pas-de-Calais (puis Hauts-de-France).