Une ferme figure sur le cadastre napoléonien mais il ne reste rien, aujourd'hui, des bâtiments qui la composaient. Les étables à cochons situées sur la rue sont aujourd'hui détruites.
D'après le propriétaire, les cases pour l'agnelage situées dans la bergerie permettaient de parquer une cinquantaine de bêtes. Le logis était situé sur la droite de la propriété. En face, se trouvait une grange en torchis, détruite récemment.