Photographe du service de l'Inventaire général du patrimoine culturel, Région Hauts-de-France.
- inventaire topographique, canton de Villers-Cotterêts
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Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Soissonnais - Villers-Cotterêts
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Commune
Soucy
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Adresse
8 place de la Mairie
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Cadastre
1835
B
515 à 520
;
1984
AB
25 à 27
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Dénominationsferme
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Appellationsferme de Saint-Médard
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Parties constituantes non étudiéesjardin, enceinte, remise, grange, fenil, étable, étable à chevaux, puits
Il est difficile de cerner la date d'implantation de cette ferme d'abbaye qui, jusqu'à la Révolution, a été la propriété de l'abbaye bénédictine Saint-Médard de Soissons. D'anciens documents la mentionnent sous le nom de "cense de la Grande Maison de Soucy" ou plus simplement "ferme de Soucy", désignations aujourd'hui remplacées par celle de "ferme de Saint-Médard". Si le domaine de Soucy apparaît dans le cartulaire de Saint-Médard en 1161, en revanche l'abbé Houllier signale que cette ferme a eu pour origine une communauté de religieux guillelmites, ordre fondé par des suiveurs de Guillaume de Malaval au milieu du 12e siècle et tourné vers une vie érémitique. Une telle affirmation est surprenante, car cet ordre, implanté en France au 13e siècle, y a eu peu de maisons. Mais quelle que soit l'origine de cette exploitation agricole à Soucy, aucun de ses bâtiments ne semble être antérieur au 13e siècle. On peut dater de ce siècle l'ancienne entrée monumentale de la ferme, aujourd'hui détruite, le petit bâtiment adjacent, toujours présent - mais surhaussé -, et peut-être la grange, du 13e ou du 14e siècle, qui a reçu quelques modifications au cours des siècles suivants.
L'entrée primitive de la ferme, qui existait encore à la fin du 19e siècle, est connue par un dessin d'Amédée Piette réalisé en 1871 et par des descriptions. Elle était formée d'un bâtiment à un étage, dont le rez-de-chaussée était percé d'un passage charretier voûté et d'un passage piétonnier. La porte charretière, fermée à l'origine par une herse, était encadrée à l'extérieur par deux puissants contreforts, que Jules-Henri Leclercq de Laprairie dit avoir été surmontés de "tourelles". La pièce ménagée à l'étage de cet ouvrage d'entrée, était chauffée par une cheminée, dont on voyait encore au 19e siècle la mitre de section circulaire, caractéristique du 13e siècle.
Pendant la guerre de Cent Ans, le passage de bandes armées de toutes nationalités dans cette partie de la France fait subir des pertes immenses aux religieux de Saint-Médard, tant par les destructions que par les pillages et le manque à gagner. Dans un compte-rendu du 10 juillet 1366 adressé au Saint-Siège, l'abbaye énumère les grands dommages survenus à ses propriétés, parmi lesquelles la ferme de Soucy - qui était d'un excellent rapport - est signalée comme pillée et dévastée. On en a souvent conclu que la ferme avait été entièrement rebâtie à la fin du 14e siècle ou au début du 15e siècle. Cette déduction est sans doute très exagérée, dans la mesure où Soucy ne sert pas d'exemple dans le paragraphe consacré aux bâtiments effondrés ou incendiés. En revanche, les religieux insistent sur les énormes pertes mobilières qu'ils y ont subies, soulignant en outre qu'il n'est pas resté un seul animal dans l'exploitation. Les bâtiments ont assurément été restaurés après cette période de conflits, et certains peut-être réédifiés ; mais, en l'état actuel des connaissances, rien ne permet d'imaginer une reconstruction en totalité, ce qui peut expliquer que la ferme ait conservé, jusqu'au 19e siècle au moins, un plan fort irrégulier.
Faute de documentation, il n'est pas possible de connaître l'évolution de la ferme sous l'Ancien Régime. On date souvent du 16e siècle la construction du mur qui enclot les jardins, et contient au nord-est et au sud-est la poussée de leurs terres. Toutefois, les différents appareils de sa maçonnerie témoignent en réalité de réparations ou de reconstructions partielles à différentes époques, depuis la période médiévale, surtout du côté de la vallée et de la sente des Escaliers. Les étables nord ont été édifiées au 16e ou au 17e siècle, ce que suggèrent leur pignon à rampants en saillie et les chaînes de pierre visibles dans la maçonnerie de moellon. D'après son apparence, le corps de logis semble avoir été reconstruit - au moins partiellement - au 17e siècle.
Le 17 décembre 1790, la visite destinée à l'estimation de ces biens nationaux est effectuée par Jean-Chrysostome Danré, laboureur à Faverolles, Nicolas Rousselle, entrepreneur de bâtiments, et Nicolas Goda, maître charpentier, ces deux derniers demeurant à Villers-Cotterêts. Ils dressent ainsi la première description connue des bâtiments de l'exploitation, les baux ne renfermant en général qu'une énumération désordonnée et imprécise. La ferme, exploitée par Louis Gibert, se compose alors d'un long et haut corps de logis, d'une grange à blé et à avoine, de plusieurs écuries et bergeries, d'une étable à vaches, d'un toit à porcs et de hangars, disposés autour d'une cour centrale accessible par la grande porte fortifiée. Un colombier de plan carré est isolé dans la cour. À cette époque, seuls le logis, le colombier et la porte fortifiée sont protégés par de la tuile, tous les autres bâtiments - grange comprise - étant recouverts de chaume. La ferme se complète d'une mare ou abreuvoir, d'un puits de 80 pieds (environ 25 m) de profondeur, d'un jardin, enfin d'un mur de clôture de 400 m de longueur sur 3 m de hauteur, et bien sûr de terres. Ces biens sont adjugés à leur exploitant, le 12 janvier 1791, pour la somme de 120300 livres.
Les bâtiments sont fortement modifiés dans le courant du 19e siècle. Le logis est agrandi, la longue étable attenante est transformée et surélevée. Le 21 décembre 1834, le propriétaire de la ferme acquiert en outre de la commune de Soucy une bande de terrain attenante au logis, lui permettant d'enclore totalement le cœur de son domaine. Les deux bâtiments qui forment la pointe orientale de la ferme sont bâtis après 1835, puisqu'ils ne figurent pas sur le cadastre "napoléonien". Plusieurs constructions subissent des transformations de leurs parties hautes et des réfections de leurs pignons - en particulier, la grange - et abandonnent progressivement le chaume en faveur de la tuile et de l'ardoise. Le pigeonnier est abattu, postérieurement à 1835 puisqu'il est encore représenté sur ce plan cadastral. Les dates de 1871 et 1881, portées sur un dessin d'Amédée Piette, révèlent que l'ouvrage d'entrée, sans doute inadapté au passage de machines agricoles de grande taille, a été détruit vers la fin du 19e siècle pour faire place à la porte actuelle, plus large.
D'après le dossier de dommages de guerre - très incomplet - la Première Guerre mondiale paraît avoir causé assez peu de destructions. À l'exception des déprédations provoquées par l'occupation de troupes, le devis descriptif et les documents conservés ne signalent que le "bâtiment du fond" détérioré par un obus et dont la couverture est à refaire. Les bâtiments agricoles sont donc restaurés après la guerre. Ils ne paraissent avoir subi que peu de transformations par la suite, hormis l'étable sud-ouest, transformée en remise.
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Période(s)
- Principale : 13e siècle , (incertitude)
- Principale : 14e siècle , (incertitude)
- Secondaire : 16e siècle
- Secondaire : 17e siècle
- Principale : 19e siècle
La ferme de Soucy, ancienne propriété de l'abbaye Saint-Médard de Soissons, est implantée sur le bord du plateau qui domine le flanc occidental de la vallée où s'étage une partie du village. Les bâtiments, qui délimitent une cour centrale de forme très irrégulière, sont situés au centre d'un enclos et sont entourés par des jardins - jardin d'agrément, potager, verger - sur trois côtés et par une pâture au nord. Ce terrain est clos par un mur constitué de deux parements de pierre de taille calcaire, entre lesquels prend place un blocage de terre et de moellons. La muraille est épaulée de contreforts, dont certains servent d'appui à un encorbellement, vestiges d'anciennes échauguettes, aujourd'hui disparues. Ces encorbellements ont conservé un décor sculpté de têtes humaines.
Les bâtiments sont construits en calcaire et la plupart sont couverts en ardoise.
La construction qui avoisine l'entrée au sud, édifiée en pierre de taille, comporte un sous-sol, accessible depuis la cour par un escalier médiéval avec voûte à ressauts, et un étage. Elle est couverte d'un toit à deux pans, avec une croupe au sud-est et un pignon découvert à redents au nord-ouest. Deux petits bâtiments adventices en pierre lui font suite, au sud-est de la cour. L'un, édifié en pierre de taille et moellon, est protégé par un appentis massé ; l'autre, en pan de bois et en pierre de taille, est surmonté d'un toit à deux pans et croupe polygonale. Le vaste logis, bâti en pierre de taille, possède une élévation sur cour aux percements irréguliers. Il comprend un rez-de-chaussée, un étage et un grenier, desservis par un escalier dans œuvre. Son toit, ici couvert de tuile plate, s'achève au nord-est par un pignon découvert et au sud-ouest - sur l'extension du logis - par une croupe. Le long bâtiment contigu, qui abritait à l'origine une écurie, une bergerie et sans doute un fenil, est édifié en moellon et protégé par un toit à pignon couvert et pignon découvert à redents. Une petite étable ou petite remise le prolonge, encore surmontée en 1990 d'un toit à deux pans en tuile mécanique à emboîtement.
Le côté nord-est de la cour est d'abord bordé par une remise en pierre de taille, couverte d'un toit à longs pans, entre un pignon découvert et un pignon couvert. Vient ensuite une construction en pierre de taille, à usage d'étable (à chevaux ? ) et de fenil, dominée par un toit à longs pans et pignon couvert. Une autre étable-fenil, qui forme un angle obtus avec la précédente, s'allonge au nord en direction de la grange. Sa maçonnerie, qui unit la pierre de taille au moellon, est renforcée par des jambes harpées. Elle est surmontée d'un toit à longs pans et pignon découvert.
La grange, de plan rectangulaire, est l'édifice le plus remarquable de l'ensemble. Principalement bâtie en moellon, elle comporte néanmoins divers éléments en pierre de taille, tels le pignon sud-est, des parties du mur-pignon nord-ouest, et généralement les contreforts et les chaînes d'angle. Le contrefort central du pignon nord-ouest est amorti par une sorte d'échauguette sur trompes, probablement décorative. Un toit à longs pans protège le bâtiment, entre un pignon couvert au sud-est et un pignon découvert à redents au nord-ouest. À l'intérieur, la grange est divisée en trois vaisseaux parallèles de quatre travées, délimités par deux séries de trois supports quadrangulaires, formés chacun de trois éléments superposés de taille décroissante. La charpente repose directement sur ces supports et sur les murs. La porte charretière d'origine donnait accès, depuis la cour, dans le vaisseau central. Cette baie a été murée. Actuellement, une porte ménagée à chaque extrémité du vaisseau occidental permet d'accéder à la grange, tant depuis la cour que depuis la pâture à l'arrière. Quelques petites constructions en pierre, couvertes d'un appentis ou d'un appentis massé, s'adossent aux murs nord-est et sud-est de la grange.
Deux bâtiments à usage d'étables - le plus proche de l'entrée sert actuellement de remises - sont disposés en retour d'équerre et bornent l'angle occidental de la cour. Leur maçonnerie est surtout faite de moellons. Le plus proche de la grange est couvert d'un toit à longs pans et pignon découvert à redents. Contrairement à son voisin, le plus proche de l'entrée de la ferme a reçu un toit à pignon couvert en tuile plate. À la fin du 20e siècle, cet ensemble de bâtiments se complétait d'un hangar agricole, situé à l'extérieur des bâtiments, et sous lequel se trouvait également le travail à ferrer. Cette construction, qui était abritée sous un toit à longs pans et pignons couverts en tuile plate, n'existe plus actuellement (2016).
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Murs
- calcaire moyen appareil
- calcaire moellon
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Toitsardoise, tuile plate, tuile mécanique
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Étages1 étage carré, comble à surcroît
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Couvertures
- toit à longs pans pignon découvert
- pignon couvert
- toit à deux pans croupe
- noue
- appentis
- appentis massé
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Escaliers
- escalier dans-oeuvre
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Typologiesferme à cour fermée ; pignon découvert à redents
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État de conservationrestauré
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Techniques
- maçonnerie
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Précision représentations
Un décor sculpté de têtes humaines orne l'encorbellement des échauguettes de l'enceinte.
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Statut de la propriétépropriété d'une personne privée
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Intérêt de l'œuvreà signaler
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Protectionsinscrit MH partiellement, 1928/02/08
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Précisions sur la protection
Seule la grange médiévale bénéficie d'une protection au titre des Monuments Historiques.
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Référence MH
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Département de l'Aisne
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- (c) AGIR-Pic
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Documents d'archives
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AN. Série MC (minutier central des notaires de Paris) ; sous-série étude CXVII : MC/ET/CXVII/901 (notaire : Pierre Margantin ; septembre-octobre 1781).
Acte du 25 septembre 1781 : renouvellement du bail de la ferme, par les représentants de François-Joachim de Pierre de Bernis, abbé de Saint-Médard, à Louis Gibert et Marie Guay son épouse. -
AD Aisne. Série E (archives notariales) ; minutier 304 E : 304 E 311 (Hugues-Honoré-Izéri Mennesson, notaire à Villers-Cotterêts ; 1834).
Acte n° 326 du 21 décembre 1834 : adjudication d'un terrain appartenant à la place communale. -
AD Aisne. Série E-dépôt (Archives communales déposées) ; sous-série E-dépôt 0346 (Soucy) : D 1 (Registre des délibérations du Conseil municipal : 8 mai 1823-14 juillet 1839).
Séances des 2 mars 1834 (p. 236-237), 9 avril 1834 (p. 238-239), 23 avril 1834 (p. 240-241). -
AD Aisne. Série Q ; Q 818. Procès-verbaux d'estimation. Canton de Villers-Cotterêts. Décembre 1790-Ventôse an III.
Document 10 : procès-verbal de visite et d'estimation de la ferme (17 décembre 1790). -
AD Aisne. Série Q (Documents de la période révolutionnaire) : Q 830 (procès-verbaux d'adjudication, novembre 1790-mars 1791).
n° 12 : ferme à Soucy, relevant de la manse abbatiale de Saint-Médard lès Soissons. -
AD Aisne. Série R (Affaires militaires) ; sous-série 15 R (Dommages de guerre) : 15 R 1649 (Soucy).
Dossier 7076 : Propriétés de M. Devouges.
Bibliographie
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GASNAULT, Pierre. Les malheurs de l'abbaye Saint-Médard de Soissons au début de la Guerre de Cent Ans. Revue Mabillon. Archives de la France monastique. Avril-Juin 1960, 3e série, n° 200, p. 69-80.
p. 75. -
HOULLIER, Abbé Pierre. État ecclésiastique et civil du diocèse de Soissons. Compiègne : Bertrand, Imprimeur du Roi ; Paris : Mérigot jeune, Libraire, 1783.
p. 388. -
LECLERCQ DE LAPRAIRIE, Jules-Henri. Répertoire archéologique de l'arrondissement de Soissons. Canton de Villers-Cotterêts. Bulletin de la société archéologique, historique et scientifique de Soissons, 1862, t. 16, 9e séance, lundi 6 Octobre 1862, p. 178-203.
p. 196. -
SALMON, Marie-José. L'architecture des fermes du Soissonnais, son évolution du XIIIe au XIXe siècle. Étude d'architecture rurale. Sazeray : Fondation Jean Palou (éditeur scientifique), 1971.
p. 72-79.
Documents figurés
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Soucy, plan cadastral [cadastre napoléonien], section Bu, encre et lavis sur papier, 1835 (copie), 1/2500e (AD Aisne : 3P0915_03).
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Ferme de St Médard à Soucy, dessin au crayon et à l'encre, par Amédée Piette, dessinateur, 28 août 1871-1881 (AD Aisne : 8 Fi Soucy 3).
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Ferme de St Médard à Soucy. Pignon de la grange, dessin au crayon et à l'encre, par Amédée Piette, dessinateur, 28 août 1871 (AD Aisne : 8 Fi Soucy 4 recto).
Chercheur de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, région Hauts-de-France jusqu'en 2022.
Chercheur de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, région Hauts-de-France jusqu'en 2022.