Dossier d’œuvre objet IM02004647 | Réalisé par
Riboulleau Christiane
Riboulleau Christiane

Chercheur de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, région Hauts-de-France jusqu'en 2022.

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  • enquête thématique régionale, la basilique de Saint-Quentin
Verrière légendaire (verrière hagiographique) : vie et martyre de sainte Catherine (baie 39)
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Communauté d'agglomération du Saint-Quentinois - Saint-Quentin
  • Commune Saint-Quentin
  • Adresse Ancienne collégiale royale, actuellement basilique Saint-Quentin
  • Emplacement dans l'édifice bras nord du petit transept mur nord baie 39
  • Dénominations
    verrière
  • Titres
    • Vie et martyre de sainte Catherine
  • Dossier dont ce dossier est partie constituante

L'inscription qui court dans la bordure inférieure de cette verrière, et les armoiries qui accompagnent le religieux agenouillé devant la sainte, nous transmettent le nom du donateur de l'oeuvre, le chanoine Charles de Bovelles. Né à Saint-Quentin en 1479, mort à Ham le 24 février 1566 (ou 1567), Charles de Bovelles est chanoine de la collégiale de Saint-Quentin et de la cathédrale de Noyon. C'est surtout l'un des plus célèbres humanistes de son temps, philosophe, mathématicien et linguiste. Il nourrit une grande dévotion pour sainte Catherine, patronne des philosophes et des savants, et a d'ailleurs été inhumé dans la chapelle Sainte-Catherine de la chartreuse du Mont-Renaud, près de Noyon. Auteur de poèmes en l'honneur de sainte Catherine, il est très vraisemblable qu'il ait composé lui-même le texte des phylactères qui commentent les scènes principales du récit. La verrière est réalisée en 1521, date inscrite dans le registre inférieur. L'oeuvre est attribuée à Mathieu Bléville, peintre-verrier né lui-aussi à Saint-Quentin, qui a également réalisé une vingtaine de verrières pour l'église Saint-André, entre 1519 et 1552 et de nombreuses autres oeuvres en Picardie et en Champagne. Malgré la Révolution et la Première Guerre mondiale, le département de l'Aisne conserve encore de Mathieu Bléville, outre les deux verrières de la basilique de Saint-Quentin, un Arbre de Jessé dans l'église de Bucy-le-Long et les verrières d'une église de La Ferté-Milon. Les verrières de Saint-Quentin ne sont pas signées ou ont perdu leur signature lors d'une ancienne restauration. Elles présentent néanmoins les caractéristiques du style de ce peintre-verrier : des figures féminines gracieuses, un traitement caricatural des bourreaux et des soldats, une forte influence de la gravure germanique, une composition foisonnante, un riche décor et, comme ici, un montage de pièces en chef-d'oeuvre. Cette verrière est endommagée au cours du siège de 1557, par les tirs d'artillerie ou par la vibration des coups de canon. Elle subit de nouveaux dommages lors des violentes tempêtes de janvier 1572 ou de mars 1581. Le chanoine De La Fons mentionne en effet que le vent du 25 janvier 1572 a fait tomber une grande partie de cette verrière. Aucune information ne nous est parvenue par la suite, jusqu'au milieu du 19e siècle. En 1855, le baron de Guilhermy, remarque cette verrière qu'il déclare "maladroitement réparée par des fragments étrangers". Contrairement à la verrière de sainte Barbe, il n'en existe pas de relevé connu. Il est néanmoins probable que, comme sa voisine, la verrière de sainte Catherine a été démontée à une époque inconnue, sans doute pour une restauration (non documentée), puis que certains panneaux ont été disposés au gré du hasard, lors de la repose. En 1860, l'hebdomadaire diocésain souligne que les deux verrières exigent une remise en plomb complète et la restitution de nombreux panneaux tronqués ou dépareillés. La verrière est recomposée par le peintre-verrier Louis Ottin en 1869, d'où la présence du mot "restituit" (a restitué) qui accompagne la signature du restaurateur, rajoutée sur l'oeuvre. En dépit de cette signature, il est bon de s'interroger sur l'étendue du rôle de Louis Ottin dans la restauration de cette verrière. En effet, le récit de la vie de l'archiprêtre Louis-Léonard Gobaille, au passage du réaménagement de l'église, ne mentionne nullement Ottin, mais attribue la restauration de la verrière à un jeune peintre-verrier récemment établi à Saint-Quentin, Auguste Tallon, qui a exécuté ce travail avec succès. Peut-être s'agit-il d'une confusion. Pourtant, les renseignements transmis par cet ouvrage sont généralement exacts. Il est donc possible qu'Ottin ait retrouvé l'ordre logique des panneaux de la verrière et joué le rôle de cartonnier pour Auguste Tallon, à moins que les deux verriers n'aient collaboré. Ceci, toutefois, ne doit rester qu'une hypothèse en l'absence d'archives pour la corroborer. Quoi qu'il en soit, cette restauration a été très étendue, beaucoup d'éléments de la verrière étant alors refaits. Pendant la Première Guerre mondiale, la verrière reste en place jusqu'en mars 1917, date à laquelle elle est déposée par les Allemands, puis envoyée à Maubeuge. Retrouvée après la guerre et entreposée au Panthéon, elle a été restaurée une dernière fois, par le peintre-verrier Auguste Labouret, avant d'être remontée dans sa fenêtre d'origine en 1952. Cette verrière n'est pas la seule qui ait été offerte par Charles de Bovelles à la collégiale. Quentin de La Fons signale qu'en 1513, ce chanoine avait fait placer une verrière dans la chapelle absidale Saint-Jacques. Ce vitrail-là a totalement disparu.

La baie 39 est une baie libre en forme de large lancette en arc brisé. Sa verrière est constituée de 58 panneaux vitrés, disposés sur trois registres superposés. De très nombreux détails sont peints à la grisaille et au jaune d'argent. Dans la partie supérieure, on remarque la présence de plusieurs pièces de verre montées en chef d'oeuvre (pièces de verre incrustées dans une pièce plus grande), pour rendre les étoiles dans le ciel.

  • Catégories
    vitrail
  • Structures
    • baie libre, rectangulaire vertical, en arc brisé
    • panneau vitré, 58, juxtaposé, superposé
  • Matériaux
    • verre transparent, soufflé, taillé, peint, grisaille sur verre, jaune d'argent, sanguine sur verre, pièce incrustée en chef-d'oeuvre
    • plomb, réseau
  • Précision dimensions

    Mesures proposées par l'ouvrage de Louis Ottin : h = 925 ; la = 250.

  • Iconographies
    • cycle narratif, sainte Catherine vie
    • figure, ouvert, épée, roue, Maxence sainte Catherine d'Alexandrie, en pied, de face, couronne, livre
    • scène, assis, de dos, ange sainte Catherine d'Alexandrie, en pied, de trois-quarts, discussion, savant
    • scène, désigner, martyre, savant empereur
    • scène, impératrice, corps empereur, assis, de trois-quarts, trône, soldat, lance, sainte Catherine d'Alexandrie, en pied, désigner
    • scène, de face, nudité, corde, bourreau, flagellation, chien supplice, sainte Catherine
    • scène, en vol, épée, rayons lumineux, machine supplice, sainte Catherine d'Alexandrie, agenouillé, de trois-quarts, prière, roue, miracle, ange
    • scène, décollation, bourreau, de profil, épée, sainte Catherine d'Alexandrie sainte Catherine d'Alexandrie
    • scène, en vol, portant ange
  • Précision représentations

    La verrière est occupée par six scènes juxtaposées et superposées qui entourent une représentation centrale de la sainte et du chanoine donateur. Au centre, se trouve la sainte debout et de face, richement vêtue et une couronne sur la tête. Elle tient un livre ouvert à la main droite et l'épée de son martyre à la main gauche. A côté d'elle sont représentés ses attributs : la roue et la représentation à mi-corps de l'empereur Maxence. Devant elle, le chanoine donateur est agenouillé, de trois-quarts et les mains jointes. Son livre de prières est posé sur un pupitre orné de ses armoiries. A droite de ce groupe, la sainte debout et de trois-quarts affronte les savants d'Alexandrie. Ils sont assis et représentés de dos ou de trois-quarts dos. Au-dessus de Catherine, un ange en vol lui apporte l'aide de Dieu, comme en témoigne un phylactère peint. En-dessous, l'empereur, de trois-quarts, ordonne le supplice des savants convertis par sainte Catherine. Un bourreau accroupi, active les flammes du bûcher avec un soufflet. Dans les flammes qui dégagent une épaisse fumée, les savants s'adressent à Catherine, debout et de profil, qui les exorte à la constance. A l'arrière-plan, des hommes assistent à la scène. A gauche de cette scène, est représentée la condamnation de sainte Catherine. L'empereur qui vient de faire décapiter l'impératrice qui s'était convertie, promet à Catherine de grands biens et de la faire impératrice. Elle repousse cette proposition, entraînant ainsi sa condamnation. L'empereur est assis de trois-quarts sur son trône. A ses côtés se trouve un garde, la lance à la main. Sainte Catherine est debout devant l'empereur, dépeinte de trois-quarts. Elle désigne de la main gauche le corps décapité de l'impératrice, tombé au pied du trône. Un petit chien regarde la scène. Au-dessus de cette scène, est représenté l'un des supplices endurés par sainte Catherine. La sainte nue, debout et de face, est immobilisée par des cordes. A sa gauche, un bourreau, également de face, s'apprête à la flageller. Un chien assiste à la scène. Trois scènes figurent dans le registre supérieur. La moitié droite est occupée par le supplice des roues. Condamnée à être déchirée par une machine formée de plusieurs roues, sainte Catherine prie. Un ange disloque la machine dont les éléments anéantissent des païens. A premier plan, sainte Catherine, richement vêtue, agenouillée de trois-quarts, est en prière entre deux roues équipées de lames. Se détachant sur un rayon lumineux, un ange en vol touche une roue de la lame de son épée. Plusieurs hommes sont couchés sur le sol sous les pièces de la machine. L'un d'eux esquisse un vain geste de protection. A gauche de cette scène, prend place l'épisode de la mort de sainte Catherine. Le bourreau, de profil, qui tient encore son épée levée, vient de décapiter la sainte. Le corps de cette dernière, agenouillée de trois-quarts et les mains jointes, est en train de glisser vers le sol où repose la tête. Deux anges agenouillés observent la scène. Les personnages se détachent sur un fond d'architecture. Enfin, dans la partie supérieure du vitrail, trois anges volant dans un ciel étoilé, emportent le corps de la sainte enveloppé dans un linceul, pour le déposer dans un tombeau au sommet du mont Sinaï. Au-dessus, dans des nuées et sur un fond de rayons lumineux, Dieu le Père, la triple couronne sur la tête et la main gauche posée sur le globe terrestre, donne sa bénédiction. Il est entouré d'anges dont plusieurs jouent de la musique.

  • Inscriptions & marques
    • date, peint, sur l'oeuvre
    • inscription concernant le donateur, peint, sur l'oeuvre, latin
    • inscription concernant l'iconographie, peint, sur l'oeuvre
    • inscription concernant une restauration, peint, sur l'oeuvre, latin
    • armoiries, sur l'oeuvre
  • Précision inscriptions

    La date 1521, scindée en deux parties (15 et 21) est peinte de part et d'autre du registre inférieur. Le bandeau qui souligne la verrière contient l'inscription suivante : CAROLVS ALMA TVV[M] KATHARINA BOVILLVS AGONE[M] / HA DEDIT IN LVCEM FER PIA MARTIR OPEM. / VRBE TVA QVEM GENVIT VLLOS QVENTINE REATVS / DO[...] ET QVI CELEBRI MILES IN EDE TVA EST. Cette inscription est la copie approximative du texte original, qu'un spécialiste de la langue latine, Jacques Chomarat, restitue ainsi : Carolus alma tuum Katharina Bovillus agonem / Hanc dedit in lucem ; pia martir, fer opem. / Urbe tua generet nullos, Quentine, reatus, / Domine, qui celebri miles in aede tua est. La traduction en est : Charles Bovelles, bienfaisante Catherine, a fait représenter sur ce vitrail ton combat ; pieuse martyre, accorde-lui ton aide ; que dans ta ville, ô saint Quentin, il ne commette aucune faute, lui qui est soldat dans ta célèbre église. Entre cette inscription et la base des scènes figurées, a été peint : L. OTTIN RESTITVIT ANNO MDCCCLXIX (L. Ottin a restitué, l'an 1869). D'autres inscriptions sont peintes à la grisaille sur des phylactères placés à proximité des scènes. Scène du triomphe sur les sophistes : NIL TIMEAS VIRGO DEUS TE JUVAT (ne crains rien, jeune fille, Dieu t'assiste) ; scène de la mort des sophistes : CONFESSI NOLITE [CON]TRADICERE JUSTUM (ne niez pas la vérité que vous venez de confesser) ; près du chanoine agenouillé : O SOPHISTAE AB UNA [...AE] DONA / REGIA TE[M]NIT DISCITE VERITATE[M] MORI (en substance : o sophistes, apprenez la vérité d'une jeune fille qui méprise les dons d'un roi) ; sous la scène du supplice des roues : ANGELUS ECCE ROTAS TERIT INDIGNA[N]TE TYRANNO (et voici qu'un ange brise les roues à la grande indignation du tyran) ; sous la scène de la mort de la sainte : [..] CORPORE NIOX EIUS MIXTU[M] LAC SANGUINI FLUXIT (Ensuite, de son corps coula du lait mêlé au sang) ; enfin, dans la scène supérieure : IN SYNA ANGELOR[UM] DEPONU[N]T FUNERA TURBA (une foule d'anges dépose le corps sur le mont Sinaï). Les armoiries qui avoisinent le donateur sont celles de la famille de Bovelles : de gueules à un pal de sinople, à un vol d'or abaissé, chargé de trois coquilles d'argent.

  • État de conservation
    • grillage de protection
    • plombs de casse
    • oeuvre restaurée
  • Précision état de conservation

    Les documents d'archives et les sources publiées mentionnent à plusieurs reprises de graves dommages ou des restaurations. On sait ainsi que toute la vitrerie a souffert du siège de 1557. Quant à cette verrière, une grande partie est tombée à la suite d'une tempête le 25 janvier 1572, et a dû être refaite ou fortement restaurée. En 1860, cette verrière figure parmi celles qui réclament une réparation urgente. Elle exige une remise en plomb complète et la restitution de bon nombre de panneaux tronqués ou dépareillés. Comme l'indique une inscription, la restauration a été effectuée en 1869. Cette verrière, déposée en 1917, a été une dernière fois restaurée avant d'être reposée en 1952. La restauration très étendue du 19e siècle a incité le spécialiste Jean Lafond a porter un jugement sévère sur l'oeuvre qu'il estime nous être parvenue à l'état de ruine. Aujourd'hui, quelques trous et fentes sont visibles.

  • Statut de la propriété
    propriété de la commune
  • Intérêt de l'œuvre
    À signaler
  • Protections
    classé au titre immeuble, 1840
  • Référence MH

Documents d'archives

  • AMH (Médiathèque du Patrimoine) : 81/02, carton 169.

    dossier 16 (travaux de 1950 à 1955) ; sous-dossier : restauration des verrières 13e et 16e siècles
  • BnF (Cabinet des Manuscrits) ; naf 6108. Collection Guilhermy.

    folio 319 recto

Bibliographie

  • CHOMARAT, Jacques. Bovelles et sainte Catherine. In : Charles de Bovelles en son cinquième centenaire 1479-1979. Actes du colloque international tenu à Noyon les 14-15-16 septembre 1979. Paris : Guy Trédaniel, Editions de la Maisnie.

    p. 277-279
  • DREILING, Prof. Dr. Raymund. Die Basilika von St. Quentin. Ihre Geschichte und ihr Charakter. St. Quentin, 1916.

    p. 48
  • FINANCE, Laurence de. Le vitrail offert par Charles de Bovelles à la basilique de Saint-Quentin. In : Charles de Bovelles en son cinquième centenaire 1479-1979. Actes du colloque international tenu à Noyon les 14-15-16 septembre 1979. Paris : Guy Trédaniel, Editions de la Maisnie.

    p. 266-275
  • FRANCE. Corpus Vitrearum Medii Aevi. Les vitraux de Paris, de la Région parisienne, de la Picardie et du Nord-Pas-de-Calais. Recensement des vitraux anciens de la France, vol. 1. Paris : éditions du CNRS, 1978.

    p. 168
  • GOMART, Charles. Extraits originaux d'un manuscrit de Quentin de La Fons intitulé Histoire particulière de l'église de Saint-Quentin, publiés, pour la première fois, par Ch. Gomart. Saint-Quentin : librairie Doloy, 1854, t. 1er.

    p. 41, 132-133
  • GOMART, Charles. Notice sur l'église de Saint-Quentin. Bulletin monumental, 1870, vol. 36 (4e série, t. 6).

    p. 230
  • HACHET, Jules. La basilique de Saint-Quentin. Son Histoire - Sa Description. Troisième édition. Saint-Quentin : Imprimerie moderne, 1926.

    p. 70-71
  • HADELN, Detlev von. Das Museum AU PAUVRE DIABLE zu Maubeuge. Ausstellung der aus St. Quentin und Umgebung geretteten Kunstwerke. Im Auftrage eines Armee-Oberkommando herausgegeben von D. Frh v. Hadeln Lt. d. Res. Stuttgart : Verlag von Julius Hoffmann, 1917.

    p. 3
  • LAFOND, Jean. Les vitraux de Châlons-sur-Marne et de Saint-Quentin et l'oeuvre de Mathieu Bléville. Bulletin de la société de l'Histoire de l'Art français, Année 1961.

    p. 21-28
  • OTTIN, Louis. Le vitrail. Son histoire, ses manifestations à travers les âges et les peuples. Paris : H. Laurens éditeur, 1896.

    p. 209, 211
  • POINDRON, Abbé Théodore. Le saint prêtre peint par lui-même ou Vie de M. Louis-Léonard Gobaille, curé-archiprêtre de Saint-Quentin. Saint-Quentin : imprimerie Jules Moureau, 1881.

    p. 340-341
  • La Semaine du Vermandois et de la Picardie.

    1860, 3e année, n° 23 (19-26 mai 1860), p. 439-441

Documents figurés

  • Légende de sainte Catherine / L. Ottin, dessinateur. H. Racle, héliotypie. Paris : H. Laurens éditeur, 1896. 1 est. Dans : "Le vitrail. Son histoire, ses manifestations à travers les âges et les peuples." / Louis Ottin, pl. XI.

Date(s) d'enquête : 2002; Date(s) de rédaction : 2008
(c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
(c) Département de l'Aisne
(c) AGIR-Pic
Riboulleau Christiane
Riboulleau Christiane

Chercheur de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, région Hauts-de-France jusqu'en 2022.

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