Chercheur du service de l'Inventaire général du patrimoine culturel de Picardie, puis des Hauts-de-France, depuis 2002.
- inventaire topographique, Val-de-Nièvre
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Monnehay-Vulliet Marie-LaureMonnehay-Vulliet Marie-LaureCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Grand Amiénois - Picquigny
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Commune
Bettencourt-Saint-Ouen
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Adresse
41 rue Principale
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Cadastre
1998
A4
249, 250
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Dénominationsmaison
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Parties constituantes non étudiéescommuns, jardin d'agrément, serre, cour, mur de clôture, portail
La maison, partiellement visible sur une carte postale du début du 20e siècle, a vraisemblablement été construite vers 1860, comme l'indiquent la forme des baies du rez-de-chaussée. Elle a fait l'objet d'un remaniement (encadrement des baies de l'étage et lucarnes et lignolet), qui pourrait avoir eu lieu après la Première Guerre mondiale.
Cette maison bourgeoise, peut avoir été construite pour Mélanie Legry, veuve du tourbier Jean-Baptiste Godot, comme le suggèrent les initiales entrelacées G et L, sculptées sur le fronton de la lucarne.
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Période(s)
- Principale : 3e quart 19e siècle
- Secondaire : 1er quart 20e siècle
Le logis est précédé d'une petite cour fermée sur la rue par un muret, surmonté d'une grille en fer forgé, et ouvre à l'arrière sur le jardin. La cour est bordée à gauche par une petite serre couverte en léger appentis de tôle ondulée synthétique. Le portail est prolongé d'un passage longeant la maison à droite, et bordé du bâtiment des communs, couvert en tuile, qui comprend l'écurie et la remise. Le logis à étage carré et étage de comble est construit en briques et couvert d'ardoise. La façade sur rue présente une élévation à cinq travées, marquée au centre par la présence d'une lucarne maçonnée, dont le fronton porte les initiales entrelacées G et L. La brique est masquée par un enduit d'imitation tandis que la pierre, qui forme le décor d'architecture (chaînes d'angle, encadrements de baies, bandeaux, corniche), est couverte d'un enduit de couleur claire. Sur le toit à croupes, couronné d'un faîtage à deux épis, s'ouvrent également deux œils-de-bœuf en zinc.
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Murs
- brique enduit d'imitation
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Toitstuile mécanique, ardoise, tôle ondulée
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Étagessous-sol, rez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré, comble à surcroît
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Couvertures
- toit à longs pans croupe
- appentis
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Typologieslogis entre cour et jardin
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Statut de la propriétépropriété privée
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Intérêt de l'œuvreà signaler
Cette maison de brique à deux niveaux est caractéristique des maisons de notable de la fin du 19e siècle, avec la structure entre cour et jardin qui la rattache à l'architecture urbaine.
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
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- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
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Documents figurés
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Bettencourt-Saint-Ouen (Somme). La Grande Rue, carte postale, cliché R. Lelong à Saint-Fuscien, édition Lognon-Philogène à Bettencourt-Saint-Ouen, début du 20e siècle (coll. part.).
Chercheur de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, région Hauts-de-France.
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