Chercheur du service de l'Inventaire général du patrimoine culturel de Picardie, puis des Hauts-de-France, depuis 2002.
Chercheur de l'Inventaire du patrimoine - Région Hauts-de-France
- inventaire topographique, Val-de-Nièvre
- patrimoine industriel, Somme
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Fournier BertrandFournier Bertrand
Chercheur de l'Inventaire du patrimoine - Région Hauts-de-France
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Grand Amiénois - Picquigny
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Commune
Flixecourt
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Adresse
1-10 rue Clotaire-Robert
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Cadastre
AH
6 à 15
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Dénominationscité ouvrière
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AppellationsSaint Frères, cité du Grand-Vivier
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Parties constituantes non étudiéesmaison, cour, jardin potager
La cité ouvrière du Grand-Vivier est construite en 1912 par la société Saint Frères. La datation n'est pas attestée directement mais néanmoins évoquée par le conseil municipal qui, dans sa séance du 20 juillet 1912, réclame le recrutement d'un second facteur pour la commune et motive sa demande par les constructions nouvelles "récemment édifiées aux Viviers et par celles en cours sur la route de Bettencourt".
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Période(s)
- Principale : 1er quart 20e siècle
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Dates
- 1912, daté par source
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Auteur(s)
- Personnalité : commanditaire attribution par source
La cité du Grand-Vivier est une petite cité ouvrière, située à l'arrière de la cité Saint-Gaston. Elle est composée de cinq maisons à deux unités d'habitation, construites en briques et couvertes d'un toit de tuiles mécaniques, à longs pans et pignons couverts. Chaque logement dispose d'une courette et d'un jardin en fond de parcelle.
Composés de deux pièces en rez-de-chaussée desservies par un couloir central, ces logements à trois travées répondent à une distribution de type ternaire. L'étage de comble, dont le surcroît est délimité par un bandeau de modillons en brique, ne dispose pas de lucarne. La chambre sous comble est cependant éclairée par une fenêtre verticale présente au sommet de l'élévation du pignon.
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Murs
- brique
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Toitstuile mécanique
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Étagesen rez-de-chaussée, étage de comble
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Couvertures
- toit à longs pans pignon couvert
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Typologieslogement individuel ; implantation en rangée ; desserte en impasse ; maison à deux unités d'habitation
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Statut de la propriétépropriété privée
Construite en 1912, la cité ouvrière du Grand-Vivier présente une implantation en impasse, sur une rive de la voie, très caractéristique des cités de l'entreprise Saint Frères. L'ensemble des logements adopte ici une formule architecturale nouvelle, en rupture avec celle déclinée auparavant par Abel Caron. Le départ de l'ingénieur en charge des constructions de l'entreprise en 1912 explique sans doute l'adoption de ce nouveau plan de construction. Le même type d'unité d'habitation est employé pour la petite cité Calmont à l’Étoile.
Ce dossier de repérage du patrimoine industriel établi en 1991 a été mis à jour et enrichi en 2013 dans le cadre de l'inventaire topographique du Val-de-Nièvre.
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
Documents d'archives
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AC Flixecourt. Registre des délibérations du Conseil municipal, 1896-1918.
Chercheur au service régional de l'Inventaire de 1985 à 1992, en charge du recensement du patrimoine industriel.
Chercheur du service de l'Inventaire général du patrimoine culturel de Picardie, puis des Hauts-de-France, depuis 2002.
Chercheur de l'Inventaire du patrimoine - Région Hauts-de-France
Ancien peignage de laine, puis filature et tissage de jute Saint Frères de Flixecourt
Adresse : rue, Courbet , rue, Deladerrière , rue Marius-Sire
Cité ouvrière Saint Frères à l'Étoile, dite cité Calmont
Adresse : 3-13 rue du, Docteur-Richard, ancienne rue du Pont
Chercheur au service régional de l'Inventaire de 1985 à 1992, en charge du recensement du patrimoine industriel.