Chercheur à l'Inventaire général du patrimoine culturel de Picardie de 2002 à 2006, en charge du recensement du patrimoine balnéaire de la côte picarde.
- patrimoine de la villégiature, La Côte picarde
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Département de la Somme
- (c) SMACOPI
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Bresle Yères - Ault
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Commune
Mers-les-Bains
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Adresse
63, 65, 67 rue des Canadiens
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Cadastre
1982
AE 412, 413, 414
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Dénominationsmaison
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AppellationsVilla des Marguerites, Les Sureaux, Les Charmilles
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Parties constituantes non étudiéesjardin
Maisons dites Villa des Marguerites (au centre), Les Sureaux (à gauche), Les Charmilles (à droite, seule cette dernière conserve son appellation) construites pour un certain Laquerrière-Ausbert, vétérinaire à Paris (source : matrices cadastrales) en trois périodes de constructions : la Villa des Marguerites a été construite entre 1891 et 1894 (imposition du cadastre en 1891), Les Sureaux entre 1904 et 1907 (imposition du cadastre en 1907) et Les Charmilles entre 1906 et 1909 (imposition du cadastre en 1909). La maison dite Les Sureaux a subi des modifications : enduit de la façade, modification des baies du toit.
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Période(s)
- Principale : 4e quart 19e siècle
- Principale : 1er quart 20e siècle
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Auteur(s)
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Personnalité :
Laquerrière-Ausbertcommanditaire attribution par sourceLaquerrière-AusbertCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
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Personnalité :
Edifices établis en fond de parcelle, mitoyens entre eux et en mitoyenneté avec les parcelles voisines. Le gros-oeuvre, en brique, est laissé apparent, excepté pour la maison de gauche, enduite et peinte de couleur ocre-rouge. Un bandeau horizontal, enduit et peint de couleur blanche, marque la séparation des niveaux, auquel répond une corniche en brique sur le faîte du mur. Le toit, en ardoise, est couvert à longs-pans brisés et pignons couverts du fait de la mitoyenneté, animé par des fenêtres de lucarne à fermette débordante ou à fronton-pignon en maçonnerie. La maison médiane, la plus ancienne, est surélevée par un sous-sol accessible en façade. Le rez-de-chaussée surélevé est accessible grâce à un escalier droit en maçonnerie (ciment) qui n'est pas d'origine. Elle est aussi plus large, avec trois travées, alors que les deux maisons qui l'accostent n'en possèdent que deux, avec accès décentré. La maison dite Villa des Marguerites présente des balcons ponctuels mettant en valeur la travée médiane, les deux autres maisons ne présentant que des balconnets.
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Murs
- brique
- enduit partiel
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Toitsardoise
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Étagessous-sol, rez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré, étage de comble
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Couvertures
- toit à longs pans brisés
- pignon découvert
- pignon couvert
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Escaliers
- escalier de distribution extérieur : escalier droit en maçonnerie
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Techniques
- fonderie
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Précision représentations
Les garde-corps des balcons et balconnets sont en fonderie.
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Statut de la propriétépropriété privée
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Département de la Somme
- (c) SMACOPI
Documents d'archives
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AD Somme. Série P ; 3 P 533/9. Mers-les-Bains, matrices cadastrales des propriétés bâties (1882-1911).
case 359
Chercheur à l'Inventaire général du patrimoine culturel de Picardie de 2002 à 2006, en charge du recensement du patrimoine balnéaire de la côte picarde.
Chercheur à l'Inventaire général du patrimoine culturel de Picardie de 2002 à 2006, en charge du recensement du patrimoine balnéaire de la côte picarde.