Photographe au service de l'Inventaire du patrimoine culturel de la région Hauts-de-France (2023).
- inventaire topographique, Communauté de communes Oise Picarde
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Communauté de communes de l'Oise Picarde - Saint-Just-en-Chaussée
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Commune
Vendeuil-Caply
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Dénominationsvillage
La commune de Vendeuil-Caply est composée du hameau de Vendeuil, site le plus ancien comprenant l'église et son cimetière, et de Caply, implanté au sud-ouest le long de la route départementale 1001. D'après les dernières données de l'INSEE en 2021, la commune compte 444 habitants et 218 logements. Une croissance démographique observée depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale a entrainé la construction de nouveaux logements. La proximité du bourg de Breteuil a soutenu ce développement.
Pour des raisons de clarté et compte tenu de leur histoire liée, ce dossier étudie ensemble les deux noyaux d'habitat de la commune (Vendeuil et Caply).
Le site archéologique comprenant un théâtre antique ne fait pas l'objet d'une étude précise car il s'agit d'un témoignage antérieur aux bornes chronologiques de l'étude d'Inventaire.
Historique
Les débats historiographiques sur l'origine de Bratuspantium et la découverte de la cité romaine
Dans son Précis Statistique (1843) Louis Graves rapporte les débats historiographiques de son époque autour de l'emplacement de Bratuspantium, un oppidum des Bellovaques mentionné par César dans la Guerre des Gaules. Dans un article plus récent, E. Monteuil (2009) revient également sur ce qu'elle nomme la "controverse de Bratuspantium". En effet, dès le début du XVIe siècle, Bratuspance est tantôt identifiée comme l'actuelle ville de Breteuil, tantôt comme celle de Beauvais, tantôt Clermont.
Ces premières analyses, alors uniquement fondées sur le texte de César, sont remises en question dans le dernier quart du XVIe siècle par des découvertes archéologiques. Un rapport envoyé en 1574 au prince de Condé signale en effet la découverte de vestiges (bâtiments, caves, temples) sur le territoire de Vendeuil-Caply à la "Fosse Herpy" près de la vallée Saint-Denis. En s'appuyant sur ce document, de nombreux historiens locaux (L. Louvet, P. Mouret, R. Wiart) ont dès lors situé Bratuspantium à cet endroit - même si d'autres (Dom Grenier, A. Loisel) restent convaincus que c'était Beauvais.
Les fouilles archéologiques dirigées par Gérard Dufour à partir de 1956 sur la base d'un cliché aérien semblent confirmer que Bratuspantium se trouvait bien dans la vallée Saint-Denis. Une cité romaine est mise au jour. Elle comptait un grand théâtre et sur la colline du Catelet un petit théâtre et un sanctuaire de plus de 130 ha (M.-T. Hémery, 2006).
Les origines de Vendeuil et de Caply
Le site gallo-romain aurait été abandonné vers la fin du IIIe siècle et la population se serait alors déplacée vers Vendeuil, plus au nord. D'après M. Lebègue (1994), le toponyme d'origine celtique serait composé de "-ialo" ("clairière") précédé de l'adjectif gaulois "vindo" ("blanc"). Il pourrait ainsi faire référence aux sols crayeux de couleur blanche.
Des sépultures mérovingiennes et carolingiennes ont été exhumées à l'emplacement de l'actuel cimetière témoignant de l'occupation du site dès le Haut-Moyen-Âge (dès les Ve et Ve siècles au moins). Certaines parties de l'église, en particulier les murs nord et sud de la nef, pourraient remonter à cette période en raison du type de mortier employé, semblable à celui qui a servi à sceller les sarcophages. Il est donc probable qu'un premier noyau d'habitat se soit développé autour de l'église et de son cimetière.
À l'époque carolingienne, Charles le Chauve confie l'inspection du "pagus Vendoilensis" à Rothade, évêque de Soissons. Ce territoire comprenait alors Ansauvillers, Villers-Vicomte, Tartigny ou encore Gannes (L. Graves, 1843).
Vers les Xe et XIe siècles, le centre du pouvoir se déplace vers Breteuil autour du comte de Breteuil et de l'abbaye. Une bulle du pape Léon IX datée de 1048 et retranscrite dans le cartulaire de celle-ci cite Vendeuil ("in Vendolio"), parmi les biens de l'abbaye de Breteuil (É. Lambert, 1982).
Quant à l'origine de Caply, ce toponyme est probablement dérivé de "capella" désignant une chapelle qui a pu dépendre de l'église paroissiale (M. Lebègue, 1994). La plus ancienne mention de Caply ("Cappolis") est repérée par É. Lambert dans un document rédigé vers 1100. Louis Graves signale d'ailleurs l'existence d'une chapelle qui a subsisté jusqu'en 1840. Ce même auteur mentionne également la présence d'un ancien château dans le hameau.
Les hameaux disparus
Le territoire communal comptait plusieurs hameaux aujourd'hui disparus. "Eplaine" ou "Esplennes" figure sur la carte de Cassini (1747) au sud de Caply, près de Sainte-Eusoye. Sur le cadastre de 1828, il se trouve du côté nord de la route vers Sainte-Eusoye et cinq bâtiments sont représentés. D'après Louis Graves, le hameau comprenait trois maisons en 1843 mais plus qu'une en 1936. Il disparait ensuite.
"Les Ruisseaux" était le nom d'un manoir seigneurial détruit au XVIe siècle (L. Graves). Situé entre Vendeuil et Caply et traversé par la Noye, il était associé à une chapelle fondée en 1569 sous le vocable de Sainte-Radegonde par Gobert de Thory, seigneur de Vendeuil. Une fontaine réputée guérir les fièvres se trouvait à proximité. Son emplacement exact n'a pas été déterminé.
Un dernier noyau d'habitat nommé "Vieux Marché" certainement en raison de son usage était implanté près de Breteuil à l'extrémité nord du territoire communal au bord de l'actuelle D1001 (voir le cadastre de 1828). D'après le recensement de population de 1831, l'écart compte 27 maisons. Il est rattaché à cette commune en 1833.
Évolution de la morphologie et du parcellaire
Le territoire communal compte aujourd'hui deux noyaux d'habitat : Vendeuil et Caply.
Vendeuil s'est constitué au Haut-Moyen-Âge autour d'une église et d'un manoir seigneurial attenant (IA60005436). L'habitat s'est développé à environ 150 m au sud le long de la Grande Rue de Vendeuil, parallèlement à la Noye. Sur l'Atlas de Trudaine vers 1747, le site comprend une dizaine de maisons concentrées au niveau de l'intersection de la Grande Rue avec l'actuelle rue du Pont, vers Caply. Comme le figure le cadastre napoléonien (1828) l'habitat se densifie dans les parties nord et sud de cet axe entre la fin du XVIIIe et le premier quart du XIXe siècle. Vendeuil compte 33 maisons d'après le recensement de population de 1831. Sur le cadastre levé en 1934 après la Première Guerre mondiale la morphologie du village n'a pas évolué. C'est à partir du dernier quart du XXe siècle que de nouvelles habitations sont construites près de la rivière dans la rue du Pont (ancien chemin du Pont sur le cadastre de 1828).
Caply se situe à environ 1 km au sud-ouest de Vendeuil. Ce hameau prend la forme d'un village-rue qui s'étend le long de la D1001 qui suit elle-même le tracé de la Noye juste à l'est. Dès le premier tiers du XIXe siècle, l'habitat est dense dans la première partie au nord (ancienne Rue Grande sur les recensements de population) puis plus lâche après la courbe que la route dessine vers l'ouest (ancienne rue du Bout d'En Bas). D'après les recensements de population, Caply compte 106 maisons en 1831.
Dans la seconde moitié du XXe siècle, la partie sud de Caply (section C1 sur le cadastre de 1934) connait de profondes modifications avec l'implantation de plusieurs maisons neuves à l'emplacement d'anciennes habitations.
Toutefois l'habitat n'est pas seulement implanté le long de l'axe Breteuil-Beauvais. Sur l'Atlas de Trudaine et le cadastre de 1828, plusieurs maisons aujourd'hui disparues existaient au lieu-dit "Marais de Caply" juste à l'est au bord de la source de la Noye. De plus, quelques maisons sont visibles dès 1828 dans l'actuelle rue Paul Boulanger (ancienne rue de la Marnière, indiquant la présence d'un site d'extraction de la marne) en direction de Troussencourt. Il faut attendre la seconde moitié du XXe siècle et les remembrements pour que de nouveaux terrains constructibles soient disponibles et que des pavillons se construisent le long de cette rue.
Le parcellaire ancien se caractérise par de fines bandes de terrain qui s'étirent depuis la rue vers le sentier du tour de ville pour Caply, en particulier les habitations côté ouest de la rue de Beauvais. Les pavillons construits à partir de la seconde moitié du XXe siècle sont disposés au milieu de parcelles plus larges, de forme carrée.
Lieux partagés et structurants
Le petit patrimoine religieux : la Grotte de Lourdes et les croix de chemin
Les croix de chemin et oratoires s'inscrivaient dans le parcours des processions et ancraient les pratiques religieuses des habitants dans l'espace villageois. Au lieu-dit "Le Clos de Vendeuil" une grotte de Lourdes se trouve dans le jardin d'une propriété privée. Elle a été érigée par François de Maistre en 1875 après le décès de sa première épouse Henriette de la Morinière morte en 1869. La tête de la Vierge a été cassée dans les années 1940 et remplacée par la famille De Maistre en 1947 (Archives de l'Association pour la Connaissance et la Conservation des Croix et Calvaires du Beauvaisis (A4CB)). Une procession depuis l'église est organisée lors de la fête religieuse de l'Assomption tous les 15 août.
Plusieurs croix de chemin, qui constituaient autant de stations de processions religieuses, sont réparties sur le territoire communal de Vendeuil-Caply. La documentation de l'A4CB permet de retracer leur origine. La croix dite "du Chemin des Vaches" est érigée près de la rivière au bord du chemin du Marais de Vendeuil à Caply, à l'intersection avec le Chemin de Catheux. Elle comprend plusieurs inscriptions sur son piédestal, qui permettent de la dater et d'identifier les donateurs. Elle a ainsi été érigée par Paul Lebesgue en 1827 puis restaurée en 1865 par la famille Lebesgue-Bricongne. La troisième date mentionnée sur le piédestal : 1923, semble correspondre à une seconde restauration à l'initiative d'Henry Desachy qui l'achète l'année suivante à la suite d'une délibération du conseil municipal.
Le "calvaire Desachy" se situe dans la partie sud du territoire communal, près du musée archéologique, au carrefour des routes de Vendeuil et des Gloriettes. Il a été financé par les époux Charles-Auguste-Alexandre Desachy et Clémence-Eugénie-Célestine Mahé. Après avoir perdu leur fille unique âgée de 19 ans en 1889 le couple a fait le vœu d'ériger une croix s'ils avaient un autre enfant. Leur souhait est exaucé en 1897 à la naissance de leur fils Henri. Entouré de quatre tilleuls, son piédestal porte l'inscription "O CRUX AVE" suivie de la date de sa bénédiction "17 juillet 1898".
Le "Calvaire Leconte" se dresse au carrefour de la route de Saint-Just et du chemin des Gloriettes. Comme l'indique l'inscription sur le piédestal, il a été érigé en 1953 après le décès accidentel d'Emmanuel Leconte en 1952, fauché à cet endroit par une voiture alors qu'il descendait du car où il venait pour assister au conseil municipal. Après avoir été détruit par un accident de voiture, le calvaire est rétabli à l'identique par la famille en 2011.
Enfin, dans le pré en face de l'église et du cimetière se trouve le calvaire De Maistre appartenant à cette famille. Son origine serait très ancienne, peut-être liée à une maladrerie qui, d'après la tradition orale, se serait trouvée à proximité. La croix actuelle proviendrait du cimetière.
Les puits et les mares
Bénéficiant de la proximité des sources de la Noye, les habitants de Vendeuil et de Caply ont eu moins de difficultés que leurs voisins pour accéder à l'eau. Les nappes sont situées à une profondeur moins importante que sur les plateaux et il a donc été plus facile de creuser des puits. La Notice Statistique établie en 1902 pour le département de l'Oise dénombre ainsi 125 puits répartis sur Vendeuil et Caply alors qu'ils sont en moyenne entre 10 et 20 pour un village moyen du plateau picard. Leur trace a aujourd'hui disparu.
Plusieurs mares permettaient de disposer de réserves d'eau pour abreuver les troupeaux et pour intervenir en cas d'incendie. En raison de la proximité avec la rivière il n'y en avait pas à Vendeuil mais Caply, plus éloigné des cours de la Noye, en comptait plusieurs. La source bibliographique la plus ancienne qui les mentionne est la Notice Statistique du département de l'Oise rédigée en 1902. Trois sont dénombrées. Leur emplacement est précisé sur le cadastre de 1934 : l'une se trouvait dans la partie sud de la rue de Beauvais et les deux autres dans la partie nord. Elles ont aujourd'hui disparu. Bien qu'elle ait été comblées il est encore possible de reconnaître l'emprise de celle qui se trouvait le plus au nord (en face de l'actuel n°27). Ses murs de soutènement sont encore conservés. La seconde mare, située plus au sud dans la rue (en face du n°47) a également été comblée et remplacée par un parking mais son emprise est toujours reconnaissable.
Les équipements publics
Grâce aux documents de la série O des archives départementales de l'Oise il est possible de retracer l'histoire des équipements des communes.
Les écoles et la mairie
D'après un habitant du village, la salle de mairie est établie chez le maire lui-même au début du XIXe siècle. Le projet de construction d'une mairie-école primaire à l'initiative du conseil municipal date de 1847. Un terrain est donné par le duc de Laval-Montmorency à la commune et les plans sont conçus par l'architecte Bellanger. Il comprend outre la mairie et l'école, un logement pour l'instituteur. Les travaux commencent en 1849 après l'accord du préfet. Ils sont confiés à Aimable Monard-Morel menuisier à Breteuil et achevés en 1852. Ce bâtiment est aujourd'hui l'école primaire (ill.).
Après la promulgation de la loi Duruy en 1867, les communes de plus de 500 habitants doivent construire une école de filles. Vendeuil-Caply est concerné : en 1876 la mairie ouvre une école de filles dans une propriété prêtée par le comte de Maistre. Elle se situe à Caply, près de la mairie-école précédemment construite. Des travaux sont entrepris dans la maison qui compte quatre pièces : l'une est transformée en classe, les trois autres sont affectées au logement de l'instituteur.
D'après les documents disponibles aux Archives départementales, il faut attendre les années 1930 pour la réalisation de nouveaux travaux sur les plans et devis de l'architecte E. Léget à Breteuil : remplacement des pavages, des menuiseries, installation de lavabos, nouvelles peintures, plafonds de mortier dans la classe et couverture du parquet apparent. Les toitures sont refaites en 1935 sous la direction de l'architecte Cauwel à Breteuil.
La mairie actuelle se trouve dans l'ancienne remise des pompes à incendie construite au début du XXe siècle à la même période que celle de Vendeuil.
Le presbytère
Après la Révolution, la paroisse de Vendeuil-Caply n'a plus de prêtre. En 1834, le maire sollicite l'évêque de Beauvais pour y remédier. Ce dernier exige qu'un presbytère soit disponible pour le loger. C'est la propriété de monsieur Balache à Vendeuil, Grande Rue de Vendeuil, qui est achetée par la commune en 1840 afin d'accueillir le nouveau curé. Des travaux sont réalisés en 1842 pour aménager les lieux.
À cause de son mauvais état le conseil municipal décide de le reconstruire à son emplacement. Faute de moyens financiers, la fabrique ne peut pas participer au projet. Les plans et devis sont réalisés par l'architecte d'arrondissement Bellanger. L'ensemble est construit en briques avec des moellons pour les fondations et des pierres de taille aux chaînages. La couverture est en ardoise de Fumay. Dans le même temps le four à pain est restauré et les latrines remplacées. Les travaux réalisés par l'entrepreneur Ulphi Candillon sont réceptionnés en 1873.
Ce presbytère est loué au desservant à partir de 1907, après la loi de séparation de l'Église et de l'État. Propriété communale, il a récemment été vendu à un particulier (2024).
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Période(s)
- Principale : Antiquité , daté par travaux historiques
- Principale : Moyen Age , daté par travaux historiques
- Principale : Temps modernes , daté par travaux historiques
- Principale : Epoque contemporaine , daté par source, daté par travaux historiques
- Principale : 3e quart 19e siècle
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Dates
- 1852, daté par source
- 1873, daté par source
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Auteur(s)
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Auteur :
Bellanger Honoré Désiréarchitecte d'arrondissement attribution par sourceBellanger Honoré Désiré
Architecte de l'arrondissement de Clermont (Oise) dans la première moitié du 19e siècle.
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Auteur :
Cauwel Mauricearchitecte attribution par sourceCauwel Maurice
Architecte actif dans la première moitié du XXe siècle et domicilié à Breteuil (Oise).
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Auteur :
Candillon Ulphientrepreneur attribution par sourceCandillon Ulphi
Architecte et entrepreneur à Fransures (Oise) dans la seconde moitié du XIXe siècle.
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Auteur :
Monard-Morel Aimablemenuisier attribution par sourceMonard-Morel Aimable
Menuisier actif à Breteuil (Oise) au milieu du XIXe siècle.
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Auteur :
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Typologiesvallée humide ; plateau ; village-rue
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Département de l'Oise - Archives départementales
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Département de l'Oise - Archives départementales
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
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- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
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- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
Documents d'archives
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AD Oise. Série J ; sous-série 49 J : 49 Jp 13. Vendeuil-Caply. Inventaire des croix et calvaires. Archives de l'association pour la connaissance et la conservation des calvaires et croix du Beauvaisis, 2007.
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AD Oise. Série M ; sous-série 6 M : 6 Mp 726. Vendeuil-Caply. Recensements de population (1820 à 1936).
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AD Oise. Série O ; sous-série 2 O : 2 O 24966. Vendeuil-Caply. Mairie et écoles (1846-1938).
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AD Oise. Série O ; sous-série 2 O : 2 O 24971. Vendeuil-Caply. Presbytère (1840-1934).
Bibliographie
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DELATTRE, Daniel. Le canton de Saint-Just-en-Chaussée : 84 communes, 84 lieux incontournables. Grandvilliers : éditions Delattre, 2020.
pp. 560-565. -
LAMBERT, Émile. Dictionnaire topographique du département de l'Oise. Amiens (Musée de Picardie) : Société de linguistique picarde, 1982 (tome 23).
p. 586 -
LEBÈGUE, Maurice. Les noms des communes du département de l'Oise. Amiens : Musée de Picardie, 1994.
p. 214 -
Notice descriptive et statistique sur le département de l'Oise. Paris : Imprimerie du service géographique, 1902.
p. 233.
Périodiques
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GRAVES, Louis. Précis statistique sur le canton de Breteuil, arrondissement de Clermont (Oise). Annuaire de l'Oise. Beauvais : Achille Desjardins, 1843.
pp. 87-90. -
HÉMERY-DAGNET, Marie-Thérèse. Journées du patrimoine 17 et 18 septembre 2005. Bulletin de la société historique de Breteuil, 2006, n°10.
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MONTEIL, Esclarmonde. Les débuts de la controverse "Bratuspantium". Mémoires d'ici. Publications des sociétés historiques de Breteuil, Maignelay-Montigny et Saint-Just-en-Chaussée, Beauvais, 2009.
Documents figurés
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Vendeuil-Caply (Oise). Cadastre dit napoléonien, reproduction, 1828 (coll. part.).
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Vendeuil-Caply. Cadastre rénové, 1934 [en ligne] (AD Oise ; 1964 W 170).
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Vendeuil-Caply. Plan de la route de Flandre, [vers 1747] [en ligne] (AD Oise ; plan 1336/1).
Chercheuse de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, Région Hauts-de-France (depuis 2020).
Chercheuse de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, Région Hauts-de-France (depuis 2020).