Dossier d’œuvre architecture IA60005298 | Réalisé par
Chamignon Lucile (Rédacteur)
Chamignon Lucile

Chercheuse de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, Région Hauts-de-France (depuis 2020).

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  • inventaire topographique, Communauté de communes Oise Picarde
Le village de Montreuil-sur-Brêche
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Communauté de communes de l'Oise Picarde - Saint-Just-en-Chaussée
  • Commune Montreuil-sur-Brêche
  • Dénominations
    village
  • Parties constituantes non étudiées
    croix de chemin, puits, abreuvoir, mairie, presbytère, prieuré, place

Comme le révèlent des découvertes archéologiques faites dans les années 1950, le territoire communal de Montreuil-sur-Brêche semble avoir été occupé dès la période néolithique. Une motte castrale a probablement habillé La Motte, le bien nommé lieu-dit au sud du village. Plusieurs écarts existent à l’époque moderne (Noirtreux, Bois Liébaut, Mauregard). L’habitat s’est peu à peu concentré autour du village de Montreuil qui se développe de manière bicéphale le long de la rive gauche de la Brêche : d'un côté, à l'est, un prieuré clunisien rattaché à Vézelay et de l'autre, à l'ouest, le village de Couvremont doté de sa propre église paroissiale. Détruite par les Bourguignons au cours des Guerres de Cent Ans, celle-ci est reconstruite au centre du village à la fin du XVe siècle par le seigneur local. Quant à la ferme fortifiée de Ponceaux (inscrite monument historique, PA00114759) située sur la place du village, elle a pu constituer le domaine du prieuré avant d'entrer en possession d'un seigneur laïc.

La population de Montreuil est surtout occupée dans la fabrication de toiles fines. Les mulquiniers (fabricants de toiles de lin) sont ainsi nombreux dans le village jusqu’à la fin du XIXe siècle. Plusieurs fabricants en sangles, gantiers et cordonniers sont également cités dans les recensements de population. L’habitat prend principalement la forme du logis sur rue prolongé ou percé d’une entrée charretière. Toutefois, ce petit artisanat à domicile se dévitalise compte tenu de la concurrence de l’industrie urbaine et de l’exode rural. Entre 1861 et 1936 Montreuil passe ainsi de 223 à 155 maisons. Il faut attendre la reprise démographique à partir des années 2000 pour que de nouveaux pavillons soient construits. D’après les données de l’INSEE, le village compte, en 2019, 236 logements (dont 84% de résidences principales).

Origines

 

L’occupation humaine sur le territoire communal de Montreuil-sur-Brêche est ancienne. Des découvertes archéologiques dans les années 1950 juste à l’ouest de Couvremont ont en effet permis de retrouver les vestiges de constructions au lieu-dit Vallée Guillot ainsi que les restes de ce qui semble être un camp néolithique dans le vallon à la sortie du village vers Mauregard. Juste au nord de Couvremont, au lieu-dit Belle Vue, des sarcophages mérovingiens ont été exhumés, présupposant l’emplacement d’un ancien cimetière. Enfin, au lieu-dit La Motte, au sud du village, se trouve un promontoire artificiel qui protègerait, d’après la tradition, le tombeau d’un chef de guerre gaulois. Il aurait ensuite été transformé en motte féodale avant qu’un moulin à vent ne s’y installe. Une croix érigée en 1861 (plaque conservée chez un habitant) en marque l’emplacement.

D’après les recherches de l’association pour la connaissance et la conservation des calvaires et des croix du Beauvaisis, un prieuré aurait été fondé en 864 à l’emplacement du village actuel. Monasteriolum, traduction latine de Montreuil relevée par Émile Lambert (1982) dans un acte de 1040 de l’abbaye de Saint-Lucien de Beauvais, peut d’ailleurs se traduire par « petit monastère ». Cet établissement religieux est rattaché à l’abbaye clunisienne de Vézelay avant le XIIe siècle (il est cité à cette période dans une bulle pontificale confirmant les biens de l’abbaye). La rivière de la Brêche qui coule au bord du village a certainement motivé son implantation. C’est en 1205 dans le cartulaire de l’abbaye de Froidmont que ce cours d’eau est mentionné pour la première fois pour désigner Montreuil, « Monstrolium supra Breschiam » (Lambert, 1982).

Le prieuré clunisien, visible sur la carte de Cassini (1757), est alors doté d’une église placée sous le vocable de saint Rémy, détruite à la Révolution. Le prieur avait le droit de nomination à cette cure ainsi qu’à celle du Quesnel-Aubry (Graves, 1832). Ce site conserve aujourd’hui un logis du XVIIIe siècle implanté en équerre, à usage de gîte. Les restes de l’ancien porche sont encore visibles. La ferme aux deux tourelles dite ferme de Ponceaux, située en face de ce site monastique, au bout de la rue du Prieuré, a pu être un domaine agricole qui lui était rattaché avant d’être acquise par des seigneurs laïcs.

Un seconde église, détruite par les Bourguignons en 1472 (Graves, 1832) se serait trouvée dans le quartier de Couvremont. Elle aurait ensuite été reconstruite en 1477 à son emplacement actuel par le seigneur de Montreuil, Jean de Gouy.

Au cours des Guerres de Religion, le capitaine huguenot La Clergerie est capturé après avoir ravagé Montreuil (Graves, 1832).

Au XVIIIe siècle, un moulin à eau se trouvait sur la Brêche, au cœur du village (il figure sur la carte de Cassini de 1757). Des traces d’aménagement de la rivière à côté de l’aire de jeux actuelle pourraient correspondre à son emplacement. Une meule en pierre a par ailleurs été retrouvée dans la ferme de Ponceaux. Était-ce l’ancien moulin banal de la seigneurie ?

Dans la seconde moitié du XIXe siècle, le village compte une briqueterie qui, d’après les recensements de population, était située au lieu-dit Sur les Prés, de l’autre côté de la rivière à la sortie sud du village vers Haudivillers. Elle n’est plus citée dans la Notice Statistique de l’Oise de 1902.

 

Évolution de la morphologie et du parcellaire

 

Si plusieurs noyaux d’habitat ont pu être repérés sur le territoire communal, c’est bien autour de l’ancien prieuré et de Couvremont que le village s’est développé. Ces deux quartiers apparaissent séparés sur la carte de Cassini (1757) et le cadastre napoléonien (premier quart du XIXe siècle) distingue la section de « Quèvremont » (Couvremont) de celle du village proprement dit. Enfin, à partir du recensement de population de 1831, les habitants de Couvremont et Montreuil sont comptés séparément.

Le village visible aujourd’hui semble donc être le résultat de la fusion de deux agglomérations distinctes dans un premier temps. La reconstruction de l’église paroissiale à son emplacement actuel à la fin du XVe siècle a favorisé le rapprochement de ces deux noyaux d’habitat, jusqu’à ce que la croissance du maillage urbain des deux entités les fasse se rejoindre.

Au cours du XIXe siècle, l’école et la mairie s’installent près de l’église, au cœur du village, renforçant la création de ce nouveau centre situé entre l’ancien prieuré et Couvremont.

Le village s’est développé parallèlement à la rivière, sur sa rive droite. Le réseau des rues comprend une artère principale qui traverse le village d’est en ouest et qui s’ouvre pour former une poche à deux branches au cœur du village. À cet endroit, la branche la plus proche de la rivière passe devant d’anciens commerces (rue du Cayen) puis par la mairie, le presbytère, l’école et l’église (rue de l’Église) tandis que la seconde, plus enfoncée dans les terres, passe par l’ancienne poste et la chapelle Saint-Prix (rue de Grandvilliers) puis rejoint Couvremont (rue Bulnoise). Un axe nord-sud permet de traverser la rivière et coupe la poche en son centre (rue de la Maladrerie et rue du Pont Matéchal).

Dans la seconde moitié du XIXe siècle, l’habitat se densifie dans la poche au centre du village (rue Bulnoise, rue de Grandvilliers) mais devient plus lâche aux sorties, comme dans la rue des Pierres où il ne reste que quelques maisons sur le cadastre de 1934. À la suite de l’exode rural, plusieurs parcelles se vident et à l’aune de la reprise démographique de la seconde moitié du XXe siècle, des pavillons sont construits dans les dents creuses ou bien sur de nouvelles parcelles comme dans la rue de l’Abreuvoir (pavillons des années 1960) ou rue Saint-Jean (au début des années 2000).

Le parcellaire ancien visible sur le cadastre du début du XIXe siècle prend la forme de fines lanières perpendiculaires à la rue et à la rivière. Cette forme de parcelle est encore bien lisible aujourd’hui même si l’exode rural a fait baisser leur nombre au profit de surfaces plus larges.

 

Lieux partagés et structurants

 

                Croix de chemin et chapelles : un riche patrimoine religieux

 

L’église paroissiale est évoquée dans une notice spécifique. Cette partie s’intéresse donc exclusivement aux croix et chapelles qui sont situées à plusieurs endroits du village.

 

                               Les chapelles

 

Située à la sortie ouest du village à Couvremont, la chapelle Saint-Jean-Baptiste est la plus ancienne. D’après les recherches de l’association pour la connaissance et la conservation des calvaires et des croix du Beauvaisis, la tradition voudrait que les parents du premier prieur de Montreuil, morts autour de 1100, soient inhumés à son emplacement. La construction actuelle ne serait toutefois pas antérieure à 1733 (date relevée par l’association dans la documentation de Gatien Descateaux, villageois de Montreuil mort en 2003). Une petite console en pierre découverte derrière l’autel lors de sa restauration en 1991 indique pourtant la date de 1600. Un autel avec tabernacle est toujours conservé à l’intérieur. Le linteau décoré d’une accolade de la porte d’entrée pourrait être un réemploi.

Rue de Grandvilliers se trouve la chapelle Saint-Prix, construite sous Napoléon III à l’emplacement d’une chapelle plus ancienne dont l’origine serait carolingienne (d’après la tradition citée par l’association). Cette première chapelle se trouvait alors de l’autre côté de la rue. Cinq à six personnes de Montreuil y ont été inhumées entre 1850 et 1860. Elle a été restaurée en 2022.

La troisième chapelle du village est placée sous l’invocation de Notre-Dame des Sept-Douleurs. Située dans la rue de l’Abreuvoir, une plaque commémorative signée « Corson, sculpteur à Thieux » est fixée contre son mur extérieur : elle a été érigée en 1871 grâce à la générosité de la famille Lefèvre-Dancourt. Sa toiture a été refaite en 1997.

Enfin, la chapelle Miclot figurée sur la carte de Cassini se trouvait à la sortie orientale du village. Il n’en reste plus de trace aujourd’hui.

 

                               Les croix de chemin

 

Très nombreuses dans les villages du plateau picard, ce sont pour la plupart d’anciennes croix de station d’origine privée, érigées en l’honneur des donateurs ou de personnes disparues. Les recherches de l’association pour la connaissance et la conservation des calvaires et des croix du Beauvaisis permettent de les documenter. Elles sont le plus souvent implantées à des croisements ou sur des sites liés à l’histoire locale. Une croix a ainsi été placée en 1861 (plaque conservée chez un habitant) au sommet de la motte castrale située juste au sud du village. Au nord de Montreuil, à l’emplacement de l’ancien écart de Noirtreux, se trouve une autre croix, érigée en 1866. Elle a été restaurée dans les années 1990.

Les autres croix se trouvent principalement aux sorties du village et à des carrefours. Le calvaire Billet s’élève au bord de la route menant à Coiseaux à l’est du village. Il a certainement été érigé au début du XIXe siècle par l’un des ancêtres de la famille Vessier. Très ouvragé, il présente les instruments de la Passion. Restauré dans les années 1950, le coq qui se trouvait à son sommet a disparu en 1977 en raison de son mauvais état.

Le calvaire de la route du Quesnel est visible à l’intersection des rues de l’Abbaye et du Quesnel. C’est une croix à fuseaux et fleurons en fer et fonte.

Deux croix se trouvent aux sorties nord et sud du village : la première est près du cimetière. Elle est érigée en 1891 grâce au financement de M. de Paris, marquis de la Brosse, tandis que le Christ a été donné par M. Lemaire. Elle a été restaurée en 1988. La seconde croix se trouve dans le virage à la sortie du village au bord de la route d’Haudivillers. La sortie ouest du village, vers Reuil, est également protégée par une croix.

Enfin, plusieurs croix sont au cœur du village. Près de l’église se trouve l’ancienne croix du cimetière. Le calvaire du Prieuré est implanté en face de la ferme de Ponceaux, près de la mare. La dernière de ces croix se situe à l’angle de la rue Bulnoise et de la rue de la Vallée de Crème. Elle porte une inscription sur chacune de ses faces indiquant qu’elle a été érigée par Jean-Charles Richard et Sophie Hermand en mémoire de leurs enfants morts jeunes le 15 juin 1868.

 

                Les aménagements hydrauliques

 

La proximité de la rivière a permis aux habitants d’assurer un approvisionnement en eau régulier. Ainsi, 170 puits sont relevés en 1902 dans la Notice Statistique de l’Oise. Ce nombre est considérable s'il est rapporté à la moyenne d'une dizaine de puits dans les villages voisins implantés sur le plateau. Ils étaient principalement privés car aucun puits communal n’est figuré sur le cadastre de 1934 et aucun n’a pu être relevé dans les rues.

Les mares servaient surtout de réserve d’eau en cas d’incendie et d’abreuvoir pour les troupeaux. Deux sont conservées dans le village, dont une toujours en eau. La première se trouve en face de l’ancienne ferme de Ponceaux. Elle est déjà figurée sur le cadastre napoléonien au début du XIXe siècle. Aujourd’hui, elle est à sec mais les murs de soutènement en brique sont toujours conservés. Son assèchement est antérieur à 1934, date à laquelle elle n’est déjà plus représentée en eau.

La seconde mare se situe rue de Grandvilliers. Elle a été creusée entre 1903 et 1907 (AD Oise, série O). Elle constitue toujours une réserve d’eau pour le village.

 

                Équipements communaux : écoles, mairie, presbytère

 

Les dossiers de la série O conservés aux Archives départementales de l’Oise permettent de retracer l’histoire des écoles, de la mairie et du presbytère de la commune au XIXe siècle et au début du XXe siècle.

 

                               Les écoles

 

Un premier projet d’école communale prend forme en 1811. Il semble qu’à ce moment un local existant soit mis à disposition. Un projet pour la construction d’une nouvelle école est ensuite entrepris en 1835. Il prévoit de la place pour cent enfants. Les travaux sont dirigés par l’architecte de l’arrondissement de Clermont, M. Bellanger. L’ancienne école est transformée en logement pour l’instituteur l’année suivante.

Il semble qu’une école de filles existait déjà au début du XIXe siècle. Elle était gérée par des religieux sous la supervision de l’abbé Martin. Elle est réparée entre 1853 et 1855. Une nouvelle école pour filles est bâtie entre 1861 et 1867 rue de l’Église (actuel n°94). Elle est réalisée en brique et pierre. Une petite maison en bois est également édifiée dans la cour pour loger l’institutrice.

Au milieu du XIXe siècle, Montreuil compte ainsi une école de garçons (à l'emplacement de l’école actuelle) et une école de filles (n°94 rue de l’Église).

 

                                La mairie

 

Il n’y a pas de dossier relatif à la mairie conservé aux Archives départementales de l’Oise. Toutefois, des témoignages oraux ont permis de situer l’ancienne mairie rue de l’Église dans le bâtiment en fond de cour de l’école primaire actuelle. La nouvelle mairie a été construite en face de l’école, sur la parcelle qu'occupait le jardin potager de l’ancien presbytère.

 

                               Le presbytère

 

Le presbytère est reconstruit en 1879 sous la supervision de l’architecte M. Montier. L’ancien bâtiment qui se trouvait à cet emplacement était en effet trop vétuste. D’après un plan conservé dans le dossier des Archives départementales, l’ancien presbytère comprenait une écurie avec porte cochère, un bâtiment de décharge, un jardin d’agrément, un jardin potager (sur lequel est construite plus tard l’actuelle mairie) et, contre la façade méridionale de l’église, un vaste verger contenant un étang. Ce parc a aujourd’hui disparu. 

Après le transfert des biens de la paroisse à la commune en application de la loi de séparation de l’Église et de l’État (1905), le presbytère devient une propriété communale. Il est transformé en bureau de poste en 1926. La commune a récemment réhabilité le bâtiment en logements.

 

  • Typologies
    vallée humide ;

Documents d'archives

  • AD Oise. Série O ; sous-série 2 O : 2 O 9635. Montreuil-sur-Brêche. Écoles (1811-1931).

  • AD Oise. Série M ; sous-série 6 M : 6 Mp 493. Montreuil-sur-Brêche. Recensements de population (1820 à 1936).

  • AD Oise. Série O ; sous-série 2 O : 2 O 9639. Montreuil-sur-Brêche. Presbytère (1844-1936).

  • AD Oise. Série J ; sous-série 49 J : 49 Jp 9. Montreuil-sur-Brêche. Inventaire des croix et calvaires. Archives de l'Association pour la Connaissance et la Conservation des Calvaires et Croix du Beauvaisis, 2007.

Bibliographie

  • DELATTRE, Daniel. Le canton de Saint-Just-en-Chaussée : 84 communes, 84 lieux incontournables. Grandvilliers : éditions Delattre, 2020.

    p. 357.
  • GRAVES, Louis. Précis statistique sur le canton de Froissy, arrondissement de Clermont (Oise). Annuaire de l'Oise. Beauvais : Achille Desjardins, 1832.

    pp. 36-37.
  • LAMBERT, Émile. Dictionnaire topographique du département de l'Oise. Amiens (Musée de Picardie) : Société de linguistique picarde, 1982 (tome 23).

    p. 367.
  • Notice descriptive et statistique sur le département de l'Oise. Paris : Imprimerie du du service géographique, 1902.

    p. 240.

Documents figurés

  • Montreuil-sur-Brêche : cadastre napoléonien, section A, feuille 1, reproduction, [premier quart du XIXe siècle] (coll. part.).

  • Montreuil-sur-Brêche : cadastre napoléonien, section B, feuille 3, reproduction, [premier quart du XIXe siècle] (coll. part.).

  • Montreuil-sur-Brêche : cadastre napoléonien, section C, feuille 1, reproduction, [premier quart du XIXe siècle] (coll. part.).

  • Montreuil-sur-Brêche : cadastre napoléonien, section D, feuille 2, reproduction, [premier quart du XIXe siècle] (coll. part.).

  • Montreuil-sur-Brêche : cadastre rénové, section A, feuille 1, 1934 (AD Oise ; 1964 W 117).

  • Montreuil-sur-Brêche : cadastre rénové, section B, feuille 3, 1934 (AD Oise ; 1964 W 117).

  • Montreuil-sur-Brêche : cadastre rénové, section B, feuille 3, 1961 (AD Oise ; 1964 W 117).

  • Montreuil-sur-Brêche : cadastre rénové, section C, feuille 1, 1934 (AD Oise ; 1964 W 117).

  • Montreuil-sur-Brêche : cadastre rénové, section C, feuille 1, 1961 (AD Oise ; 1964 W 117).

    AD Oise : 1964W117
  • Montreuil-sur-Brêche : cadastre rénové, section D, feuille 2, 1934 (AD Oise ; 1964 W 117).

  • Montreuil-sur-Brêche : cadastre rénové, section D, feuille 2, 1961 (AD Oise ; 1964 W 117).

    AD Oise : 1964W117
  • Montreuil-sur-Brêche (Oise) : "Grande Rue", carte postale, Gombier-Mâon, [premier quart du XXe siècle] (coll. part.).

  • Montreuil-sur-Brêche (Oise) : "Grande Rue", carte postale, éd. inconnu, [premier quart du XXe siècle] (coll. part.).

  • Montreuil-sur-Brêche (Oise) : "Grande Rue - L'arrivée du courrier", carte postale, éd. Combier-Mâcon, [premier quart du XXe siècle] (coll. part.).

  • Montreuil-sur-Brêche (Oise) : "La Vallée de Crème", carte postale, éd. Fauquenbergue, [premier quart du XXe siècle] (coll. part.).

  • Montreuil-sur-Brêche (Oise) : "La ferme", carte postale, éd. Bazin, [premier quart du XXe siècle] (coll. part.).

  • Montreuil-sur-Brêche (Oise) : "Hameau de Couvremont", carte postale, éd. inconnu, [seconde moitié du XXe siècle] (coll. part.).

  • Montreuil-sur-Brêche (Oise) : "Entrée par Bulles", carte postale, éd. inconnu, [premier quart du XXe siècle] (coll. part.).

  • Montreuil-sur-Brêche (Oise) : Café de la Grande Rue, photographie noir et blanc, [seconde moitié du XXe siècle] (coll. part.).

Annexes

  • Les activités anciennes des habitants et habitantes de Montreuil-sur-Brêche.
Date(s) d'enquête : 2022; Date(s) de rédaction : 2023
(c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
Chamignon Lucile
Chamignon Lucile

Chercheuse de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, Région Hauts-de-France (depuis 2020).

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