Chercheur de l'Inventaire du patrimoine - Région Hauts-de-France
- patrimoine industriel, arrondissement de Compiègne
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Phot'RPhot'R
Société productrice d'images aériennes.
- (c) Ministère de la culture - Inventaire général
- (c) AGIR-Pic
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Communauté de communes des Deux Vallées - Ribécourt-Dreslincourt
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Hydrographies
canal latéral de l' Oise
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Commune
Ribécourt-Dreslincourt
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Lieu-dit
la Mare-du-Chouillet
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Adresse
route de Bailly
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Cadastre
1982
AP 26 à 29, 32, 34 à 37, 53, 56
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Dénominationsusine de colles, usine de produits chimiques
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AppellationsManufacture de colle de Ribécourt, Compagnie Centrale Rousselot, SA Rousselot Colles, CECA Elf Aquitaine, Atofindley
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Parties constituantes non étudiéesatelier de fabrication, conciergerie, bureau d'études, magasin industriel, entrepôt industriel, aire des matières premières, réservoir industriel, transformateur, voie ferrée
Usine de colles animale fondée vers 1880 par la société Choisy et Cie, sous le nom de Manufacture de colle de Ribécourt. L'usine est rachetée en 1905 par Edouard Rousselot qui fait construire sur la partie orientale du site de nouveaux ateliers, la chaufferie et un transformateur électrique. Partiellement détruit lors de la Première Guerre mondiale, le site est reconstruit à l'identique à partir de 1920 pour la Compagnie Centrale Rousselot, fabricant de colles, gélatines et engrais. Après la Seconde Guerre mondiale, l'entreprise entame une vaste campagne de modernisation de ses équipements techniques et d'un nouveau laboratoire, construit en 1956. Vers 1962, la société devient la S.A. Rousselot Colles. Le site de production est agrandi en 1968, avec notamment la construction d'une nouvelle chaufferie réalisée par l'entreprise de constructions métalliques Perrin à Orrouy, puis entre 1972 et 1974, avec la construction d'un réfectoire et d'ateliers de production complémentaires. Vers 1983, l'usine évolue vers une production plus large de produits chimiques et prend le nom de CECA, dépendant d' Elf Aquitaine. Entre 1987 et 1992, de nouveaux bâtiments (atelier d'émulsion) sont érigés sous la direction de Jean Autissier et Alain Eblé, architectes à Paris, ainsi que de l'architecte noyonnais Yves Provost qui réalise l'extension de bâtiments de stockage en 1989-1990. En 1996, la CECA devient Atofindley. 1962 : plus de 100 salariés. 1995 : 266 salariés.
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Période(s)
- Principale : 4e quart 19e siècle, 1er quart 20e siècle, 2e quart 20e siècle, 3e quart 20e siècle
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Dates
- 1920, daté par source, daté par travaux historiques
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Auteur(s)
- Auteur : architecte attribution par source
- Auteur : architecte attribution par source
- Auteur : entrepreneur attribution par source
Site desservi par un embranchement ferroviaire. Les bâtiments les plus anciens, construits en brique et couverts parfois encore en tuile mécanique sont localisés dans la partie orientale du site. Ils ont le plus souvent perdu leur fonction initiale et ont été modifiées par l'ajout de bardage de tôles nervurées ou ondulées, comme la succession des grands ateliers de fabrication. L'un d' eux est en pan de fer hourdé de brique et doté d'une charpente métallique apparente. Le transformateur en brique avec corniche denticulée est couvert en terrasse. L'atelier, converti actuellement en cantine, est le seul à avoir une toiture à longs pans et demi croupes. Enfin, parmi les constructions anciennes de l'usine, le hangar industriel destiné au stockage des produits finis, est en charpente en bois apparente. Les extensions ultérieures, qui se sont érigées après les années 1960 sur la partie occidentale du site sont, dans leur grande majorité, en parpaing de béton ou en brique creuse. Ils comportent une charpente métallique avec couverture à longs pans et pignon couverts, en tôle ondulée de ciment amiante et matériau synthétique, tandis que d'autres parties sont couvertes en terrasse.
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Murs
- brique
- brique creuse
- essentage de tôle
- pan de fer
- béton armé
- parpaing de béton
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Toitsciment en couverture, béton en couverture, matériau synthétique en couverture
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Étages1 étage carré
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Couvrements
- charpente en bois apparente
- charpente métallique apparente
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Couvertures
- terrasse
- toit à longs pans
- appentis
- pignon couvert
- demi-croupe
- pignon découvert
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Escaliers
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Énergies
- énergie thermique
- énergie électrique
- produite sur place
- achetée
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Statut de la propriétépropriété privée
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
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- (c) Ministère de la culture - Inventaire général
- (c) AGIR-Pic
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Documents figurés
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Compagnie Centrale Rousselot, carte postale, [s.d.] (AP).
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[Vue générale de l'usine de colle], photographie, [vers 1900] (AP).
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Ribécourt. Usine de colle, carte postale, éditeur Librairie Thellier, [avant 1914] (AP).
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[Atelier de fabrication, vue intérieure], photographie, [vers 1930] (AP).
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[Atelier de fabrication, vue intérieure], photographie, [vers 1930] (AP).
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[Machine à vapeur], photographie, [vers 1930] (AP).
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[Vue aérienne de l'usine], photographie, 1958 (AP).
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[Vue intérieure de l'atelier de fabrication], photographie, [vers 1950] (AP).
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[Plan d'ensemble de l'usine de la Cie Rousselot], dessin, par Aloin, 28 janvier 1963 (AC Ribécourt).
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[Plan d'ensemble de l'usine chimique Atofindley], dessin, par Alain Eblé, 5 août 1993 (AC Ribécourt).
Chercheur au service régional de l'Inventaire de 1985 à 1992, en charge du recensement du patrimoine industriel.
Chercheur de l'Inventaire du patrimoine - Région Hauts-de-France
Chercheur au service régional de l'Inventaire de 1985 à 1992, en charge du recensement du patrimoine industriel.