En 1822, Basset construit une usine à polir l'acier (cadastre 1982, B1) et sans en avoir obtenu l'autorisation, il creuse un canal de dérivation dans le lit de l'Esches pour l'alimentation de sa roue hydraulique. En 1842, il vend son moulin au comte de Kergolay.
En 1880, on y fabrique du chocolat en poudre sous la direction de Rousseau. Puis, à une date indéterminée, on y fait du paillon de cuivre pour l'emballage du chocolat, ainsi que des paillettes, puis du nickelage pour objets artistiques en fonte ; à une date indéterminée, Marthe y installe un atelier de boutons en os et en nacre, puis Caugnies y tourne des perles de nacre.
En 1942, l'usine est achetée par Georges Pichard, entrepreneur. Actuellement, son fils Jacques restaure les bâtiments.
1943 : remplacement de la roue hydraulique par une turbine à hélice verticale de 8 ch (détruite).
Photographe du service de l'Inventaire général du patrimoine culturel, Région Hauts-de-France.