Sculpteur.
- inventaire topographique, canton de Villers-Bocage
- mobilier et objets religieux
- (c) Ministère de la culture - Inventaire général
- (c) Département de la Somme
- (c) AGIR-Pic
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Grand Amiénois - Villers-Bocage
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Parties constituantes non étudiéespavement, plaque commémorative, verrière, banc, prie-Dieu, tabouret de célébrant, statue, croix, peinture monumentale, bannière de procession, calice, ciboire, ciboire des malades, patène, canon d'autel, chandelier, chemin de croix, croix d'autel, croix de procession, croix de sacristie, livre, encensoir, navette à encens, bassin à burettes, thabor, reliquaire, vase d'autel, cloche, harmonium, chape, chasuble, dais de procession, drap mortuaire, tenture de catafalque, crécelle, croix d'autel
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Auteur(s)
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Auteur :
Bulteau ou Bulteau-Goulet Marcpeintre-verrierBulteau ou Bulteau-Goulet MarcCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
- Auteur : peintre
- Auteur : peintre
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Auteur :
Vanpoulle Josephfabricant d'ornements religieuxVanpoulle JosephCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
- Auteur : orfèvre (incertitude)
- Auteur : orfèvre
- Auteur : orfèvre (incertitude)
- Auteur : orfèvre (incertitude)
- Auteur : marchand
- Auteur : sculpteur
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Auteur :
Cavillierfondeur de clochesCavillier
Fondeur de cloches attesté à Amiens au milieu du 19e siècle. Appartient à la dynastie de fondeurs établie également à Carrépuis (Somme) et à Solente (Oise).
- Auteur : facteur d'harmonium
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Auteur :
Debainfacteur d'harmoniumDebain
Marque d'harmoniums. Vers la fin du XIXe siècle, cette maison est rachetée par la famille Rodolphe et forme ainsi la marque "Rodolphe fils & Debain".
- Auteur : orfèvre
- Auteur : orfèvre
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Auteur :
Dejean Joseph Philippe AdolpheorfèvreDejean Joseph Philippe AdolpheCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
- Auteur : orfèvre
- Auteur : orfèvre
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Auteur :
Sueur marbrerie et entreprise de monuments funèbres , dit(e) Marcel Sueur, Robert Sueurentrepreneur signatureSueur marbrerie et entreprise de monuments funèbres
Marbrerie et entreprise de monuments funèbres amiénoise dirigée par Marcel Sueur, neveu de Léopold Delalieux, dont il prend la succession.
En 1881, Marcel Sueur (né en 1864 à Auchevillers) et Léopold Sueur (né en 1867 ou 1868) sont ouvriers tailleurs de pierre chez leur oncle (recensement de population), Grande rue Saint-Maurice.
Marcel Sueur-Mallart est établi rue 381-383 Saint-Maurice (recensements de population de 1906 et 1911). Lui succède son fils Robert Sueur (né en 1894), domicilié 381 rue Saint-Maurice, en 1937-1938 (AC Amiens 2M 17/27).
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Auteur :
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Marc-Joseph Bulteau est né à Wazemmes (Nord) le 15 avril 1858. Il est le fils de Hippolyte Bulteau (1828-1895), d'abord installé à Wazemmes, puis, vers 1868, avenue de Laon à Reims, et qualifié selon les sources de sculpteur pour édifices religieux, d'architecte et de peintre-verrier.
Marc Bulteau épouse à Reims, le 15 février 1879, Marie Zélie Goulet. Son acte de mariage le présente comme peintre sur verre, activité qu'il poursuit jusqu'à son départ de Reims. Peu après (aux alentours de 1882), le couple s'installe à Noyon où vont naître plusieurs enfants. Marc Bulteau apparaît alors dans les actes d’état civil comme "peintre en bâtiments", puis comme entrepreneur de peinture.
Il semble avoir repris son activité de peintre-verrier à Noyon (boulevard Saint-Éloi) vers 1890, d'abord associé à un dénommé Paul Cava, qui n'est plus mentionné vers 1895. À cette date, les publicités publiées dans différentes revues prêtent à son atelier la réalisation de vitraux pour églises et appartements, de "décorations polychromiques" sur faïence fine et lave, de chemins de croix vitrifiés sur faïence et de mobilier d'église. En ce qui concerne la région Hauts-de-France, les verrières qui portent sa signature ont été réalisées entre 1890 et 1905. Actuellement, rien n'est connu sur ce verrier après cette date, si ce n'est qu'il est encore présent à Noyon en 1906 (recensement), mais qu'il est décédé avant janvier 1915 (acte de mariage d'une de ses filles).
Il faut donc veiller à ne pas le confondre avec son père Hippolyte Bulteau, mort à Reims le 29 juin 1895, également connu sous le nom de Bulteau-Jupin, puis, dès la fin de 1881, de Bulteau-Durand - du nom de ses deux épouses successives - et dont l'important atelier a aussi produit des verrières et du mobilier religieux.