Enquêteur externe, chargé de l'inventaire du patrimoine du Vimeu industriel de 2014 à 2016.
- inventaire topographique, Vimeu industriel
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Kocourek Frédéric-NicolasKocourek Frédéric-Nicolas
Enquêteur externe, chargé de l'inventaire du patrimoine du Vimeu industriel de 2014 à 2016.
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Baie de Somme - Trois Vallées
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Communauté de communes des Villes Soeurs - Gamaches
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Commune
Embreville
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Dénominationsvillage
Situation
La commune d’Embreville s’étend sur 533 hectares et compte, en 2009, 577 habitants soit une densité de 108 habitants au km². Le territoire communal se situe à l’extrémité sud du Vimeu Industriel. Le village s’est développé contre la limite communale ouest, autour du bois d’Embreville et entre les coteaux de la Cavée de Dargnies et de Grand Val. La commune n’est baignée par aucun cours d’eau et la totalité des mares et puits mentionnés sur le cadastre napoléonien ont disparu. L’altitude du territoire communal varie entre 108 mètres, rue des Huguenots et 75 mètres au bois de la Cavée.
La Route départementale 190, en provenance de Dargnies et en direction de Buigny-lès-Gamaches, qui traverse le village selon un nord-ouest / sud-est forme le principal axe de communication de la commune. Elle relie le Vimeu et la vallée de la Bresle. La rue Charles de Gaulle, prolonger au nord-est par la rue des Huguenots et au sud-ouest par la route de Beauchamps constitue elle aussi un axe important.
Le village n’est desservi pas aucune gare ferroviaire. La plus proche se situe dans la commune de Woincourt à 5,2 kilomètres.
Agglomération
La rue du Général de Gaulle (anciennement Grande Rue) et la Rue François Mitterrand forment le cœur de l’agglomération. Le cadastre napoléonien, conservé aux archives départementales de la Somme, nous renseigne sur la déviation au cours du troisième quart du 19e siècle, de la route de Dargnies en raison de sa forte déclivité. Celle-ci, qui empruntait auparavant le chemin dit de « la Cavée de Dargnies », est déviée vers les nord-est en direction du Bois d’Hucleux. À la jonction de ces deux chemins est établie en 1881, une mare communale aujourd’hui disparue.
Sur ce même cadastre, on observe un parcellaire laniéré. Le tissu urbain de la commune est relativement dense et le bâti est généralement implanté dans l’alignement des voies de communication.
La place de la mairie (étudiée), desservie par la rue Charles de Gaulle, marque la centralité du village. Elle est achetée en 1887 par la municipalité pour permettre la jonction entre le quartier de la cavée (actuellement rue du Berger) et le centre du Village. À cette occasion une nouvelle rue est créée (actuellement rue Roland Cavé). La place accueille également l’école de garçons en 1893 (étudié) puis l’école de filles en 1932 (étudié).
L’église (étudié) édifiée au 18e siècle se situe, rue François Mitterand (anciennement rue de l’église), le long de la route départementale 190. En face, se situait, jusqu’en 1932, l’école des Filles (non- étudiée).
Le cimetière (étudié), implanté jusqu’en 1876 à l’ouest de l’église, est aujourd’hui installé à l’est de village, rue Pierre de Coubertin.
Le bâti et l’habitat
L’ensemble bâti forme aujourd’hui une même agglomération. L’urbanisation s’est développée essentiellement le long des deux voies de communication principales, à savoir, la route départementale à 190 reliant Buigny-lès-Gamaches à Dargnies (axe sud-ouest / nord-est) et la rue Charles de Gaulle qui se prolonge vers la route de Beauchamps et la vallée de la Bresle. L’agglomération s’est implantée sur la limite sud du plateau du Vimeu entre deux vallées sèches. Le village ne dispose pas de hameau isolé.
Le nombre total de logements (maisons) était de 237 en 2009, composé de 237 résidences principales (94,9 %), de 7 de résidences secondaires ou logements occasionnels (3 %) et 5 logements vacants (2,1 %).
L’habitat ancien, construit avant 1949, représente, en 1999 la moitié des résidences principales (49.8%). Il se situe essentiellement en centre-bourg (rues Charles de Gaulle et François Miterrand). L’urbanisation ancienne est caractérisée par un habitat dense qui se développe le long des axes structurants. L’essentielle des constructions anciennes sont implantées dans l’alignement de la rue, néanmoins ponctué par quelques constructions en retrait. Compte tenu de la trame parcellaire, on trouve généralement à l’arrière des maisons sur rue généralement un profond jardin.
Comme ailleurs dans le Vimeu, les constructions anciennes disposent d’un gros œuvre en torchis sur solin de brique ou de silex. Depuis le 3e quart du 19e siècle, cette mise en œuvre est conservée seulement pour les bâtiments annexes, tandis que pour les bâtiments à usage d’habitation, on privilégie l’usage de la brique. L’habitat pavillon dispose d’un gros œuvre généralement en parpaing couvert d’enduit.
Les maisons construites dans la seconde moitié du 20e siècle, se sont implantés vers la périphérie dans la continuité des axes anciens (rues de la Résistance et Huguenots) et plus récemment dans de nouvelles zones ouvertes à l’urbanisation sous forme de lotissement (rues du 8 mai et Pierre de Coubertin au sud-ouest ; résidence du Berger au centre). Elles se trouvent généralement en milieu de parcelle généralement mieux proportionnée.
Historique
Le Moyen-Âge et l’Ancien Régime
Au 12e siècle, le territoire de l’actuelle commune d’Embreville relève du comté du Ponthieu avant sa réunion à la couronne de France le 14 mars 1380. Au début du 14e siècle, la terre d’Embreville appartient à Willaume d’Embreville, dont la fille héritière épouse vers 1317 le sire de Beauchain.
Au début du 15e siècle, la seigneurie d’Embreville appartient à Charles Beauchain, également seigneur de Bauchain, Lambercourt, Lambersart, Namps et Montigni.
En 1560, le territoire d’Embreville appartient à Jean de Paillart, chevalier de l’ordre du roi, gouverneur de Beauvais. D’après Prarond, il se qualifie de seigneur de Fleury, Franleu, Embreville et Foucaucourt.
D’après un registre terrier de 1717, Embreville appartient à Nicolas René Gaillart sieur de Lannoy.
Jusqu’en 1770, Embreville fait partie de la paroisse de Beauchamps. L’église est fondée au cours du 18e siècle.
L’époque moderne et contemporaine
En 1793, la commune relève du canton de Gamaches.
En 1824, la municipalité fait l’acquisition, conjointement avec la Buigny-lès-Gamaches, d’un presbytère, situé actuellement rue François Mitterand. Il est aliéné en deux lots distincts en 1925.
En 1836, d’après les matrices des propriétés foncières, la commune comprend 125 maisons. Elle en compte 127 en 1851, 137en 1881 et 144 en 1906.
Depuis, 1793, la population évolue peu et oscille entre 410 (en 1800) et 488 (en 1968) habitants. Depuis le début des années 1980, on obverse une nette tendance à la hausse ( + 74 habitants entre 1982 et 2009).
Au 19e siècle, la population maximale est de 543 habitants en 1886, tandis que le minimum de 449 habitants est atteint en 1851.
En 1887, la municipalité, désireuse d’opérer la jonction entre la Grande Rue (actuellement rue Charles de Gaulle) et la rue du Berger fait l’acquisition d’une vaste parcelle afin d’y établir une place communale. C’est sur celle-ci qu’en 1893, elle fait construire un bâtiment à usage de mairie, d’école et de logements pour l’instituteur. Il vient remplacer l’ancienne école de garçons dont le bâtiment aujourd’hui disparu se situait à l’emplacement actuel du bar-tabac du village.
Depuis la fin des années 1960, le nombre de logements est en constante augmentation. On passe de 165 maisons en 1968 à 237 en 2009. L’essentiel de ces logements s’établit en périphérie, le long des axes de communications ainsi que dans la zone pavillonnaire nouvellement créée : plus d’une dizaine de maisons dans la résidence du Berger ; une quinzaine rue du 8 mai.
Artisanat et industrie
La carte de Cassini de 1757 ne mentionne aucun moulin. Le registre des matrices cadastrales conservé aux archives départementales de la Somme, indique la construction d’un moulin en 1843 par un certain Frédéric Wattré. Il est démoli dès 1850. Un autre moulin est construit avant 1882, dans l’actuelle rue des Huguenots, il est aujourd’hui disparu.
En 1740, les serruriers représentent 17,3 % d’individus recensés dans les registres paroissiaux. Par ailleurs 5% de tisserands de toiles sont dénombrés.
Près de 20 ans plus tard, en 1759, les serruriers constituent le premier corps d’artisans de la commune avec 30.8 % des individus. À la même date, on compte 6.4 % de tisserands de toile.
Bonnot dans Détail général des fers, fonte, serrurerie, ferrure et clouterie, à l’usage des bâtiments, publié en1782, relate l’existence de 12 serruriers sur le territoire communal. Dans leur majorité, ils fabriquent des serrures d’armoires et de tiroirs.
Comme ailleurs dans l’aire d’étude, on observe au cours du 19e siècle l’essor de l’activité serrurière et le déclin de l’activité textile. Les artisans embrevillois sont spécialisés dans la fabrique de coffres-forts. D’après les recensements de population, on compte en 1836, 63 serruriers ainsi que seulement six tisserands. En 1851, les serruriers sont 84 tandis qu’on compte seulement quatre fileuses. En 1906, l’activité textile a disparu et on compte 137 personnes occupées à la serrurerie. L’essentiel d’entre eux est patrons tandis que les autres exercent au sein d’entreprise extérieure à la commune : 6 Sueur (Dargnies), 5 chez Saint-Germain (Dargnies), 5 chez Fichet (Oust-Marest). En 1936, on compte 93 individus exerçant dans la petite métallurgie. Les principaux employeurs sont alors Dehesdin (fabricant de serrures en cuivre, 15 personnes), Pruvost (Fabricant de serrures en cuivre, 7 personnes), Haudrechy (fabricants de coffres forts à Embreville, 3 personnes), la Société industrielle du Vimeu à Woincourt (3 personnes), Milbled et Durieux à Dargnies (3 personnes chacune). La sucrerie Beghin de Beauchamps, commune située à 3,5 kilomètres emploi sept personnes du village.
Par ailleurs, la série O des Archives Départementales de la Somme (administration communale) indique l’existence d’une carrière municipale d’où est extraite la craie dans le Bois d’Hucleux sur la route de Dargnies. Elle est confirmée par la mention, dans les registres de recensement de 1836, de quelques « ramasseuses de cailloux ».
L’annuaire industriel de 1938, à Embreville, sept entreprises du domaine de la petite métallurgie : trois serrureries (Marcel Ternois, Rémi Pruvost et Dehesdin), et trois fabricants de coffres-forts (Georges Leroux, Ulysse Ricouard et Aveline et compagnie).
La fonderie Pruvost, située 1 rue Charles de Gaulle, est spécialisée en fonderie de zamak, elle emploie 45 personnes en 1982. L’activité s’arrête à la fin des années 1980.
L’entreprise Dehesdin devient rapidement après la Seconde Guerre mondiale la fonderie Hernas. Elle se situe au 15 rue Charles de Gaulle. L’entreprise est vendue 1982 à un investisseur allemand. Elle est fermée depuis.
La fonderie Ricouard, situé rue de François Mitterrand est fondée au début des années 1920 par Ulysse Ricouard. Elle produit des coffres-forts et fond de l’aluminium, du zamak et du laiton. Les deux activités s’opèrent dans deux bâtiments distincts. Celui au nord abrite la production de coffres-forts tandis que ceux au sud sont occupés par la fonderie et les bureaux. L’entreprise ferme ses portes en 1980.
Aujourd’hui, deux entreprises exercent une activité industrielle :
L’entreprise Ternois (étudiée), qui lors de sa fondation en 1924, exerce dans la serrurerie puis oriente sa production vers la fonderie de zamak, le polissage et le chromage. Dans un premier temps elle est implantée au 29 rue Charles de Gaulle puis déménage au début des années 1970 dans de nouveaux locaux à l’extérieur du village en direction de Beauchamps. Elle compte jusqu’à 130 salariés au milieu des années 2000. En 2013, elle emploie 80 personnes.
L’entreprise Galvamétal, crée en 1968 à partir de l’ancien site de l’entreprise de coffres-forts Gauthier puis Leroux déclaré en faillite en 1934, actuellement 20 rue Charles de Gaulle. L’entreprise est spécialisée dans le traitement de surface, en particulier le zingage pour le secteur automobile. Elle compte, en 2013, 30 employés.
Agriculture
D’après les travaux de Jean-Yves Noiret, sur les registres paroissiaux d’Embreville de 1740, les laboureurs constituent 22,4 % de l’ensemble répertorié, auxquels on peut ajouter près d’un tiers de manouvriers et 5 % de céréaliers et de laitiers. Au total, plus de la moitié de la population embrasse une profession agricole.
En 1759, les métiers agricoles ne représentent plus que 43,6 % (16,6 % de laboureurs, 26,9 % de manouvriers.
En 1836, 34 personnes exercent une activité agricole. En 1851, on compte 28 cultivateurs et 12 journaliers.
Au début du 20e siècle, l’activité se maintient le recensement de 1906 mentionne l’existence de 33 cultivateurs et 14 journaliers. En 1936, on compte 13 cultivateurs-exploitants et 18 ouvriers agricoles.
En 2000, 8 (11 en 1988) exploitations agricoles regroupaient une superficie agricole utilisée de 405 hectares (401 ha en 1988) soit une sur SAU moyenne de 50 ha (36 ha en 1988). La tendance vers la concentration des terres agricoles s’est encore accentuée puis qu’en 2010, la commune 7 exploitations pour une SAU de 373 (ha) soit une moyenne de 53 hectares par exploitations. La part des terres labourables a diminué (294 ha en 2010 ; 355 ha en 2000) tandis que la Surface toujours en herbe a retrouvé une superficie semblable à celle de 1988 (74 ha en 2010 ; 49 ha en 2000). (Données AGRESTE).
Le nombre d’individus vivant de l’agriculture est passé de 21 à 12 entre 1988 et 2010.
Les exploitations agricoles sont imbriquées dans le village comme en témoigne la ferme située à l’angle de la rue François Mitterrand et la rue des Huguenots.
Conclusion
Bien qu’aucune grande entreprise industrielle ne se soit installée sur le territoire d’Embreville, la commune est malgré marquée par l’essor industriel du Vimeu. De très nombreux artisans exerçaient dans le domaine de la serrurerie, comme nous le montrent les quelques traces subsistantes par exemple les boutiques situées rue du Berger et de l’Abbaye. On peut attribuer cette absence d’implantation de grande entreprise, au manque de desserte ferroviaire, la gare la plus proche se situant à plus de cinq kilomètres.
L’essor de l’activité industrielle dans les villages voisins a engendré l’exode d’embrevillois vers d’autres communes où étaient implantées des entreprises susceptibles de leur apporter du travail voire même un logement. Ce phénomène est perceptible par la stagnation de la population du village depuis le début du 19e siècle, alors que d’autres communes voisines, en premier lieu Dargnies, voient leur population croître de manière exceptionnelle.
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Période(s)
- Principale : 19e siècle, 20e siècle
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Statut de la propriétépropriété publique
propriété privée
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Association de Préfiguration du PNR Picardie maritime
- (c) Département de la Somme
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Association de Préfiguration du PNR Picardie maritime
- (c) Département de la Somme
- (c) Ministère de la culture - Inventaire général
- (c) AGIR-Pic
- (c) Ministère de la culture - Inventaire général
- (c) AGIR-Pic
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Association de Préfiguration du PNR Picardie maritime
- (c) Département de la Somme
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- (c) Association de Préfiguration du PNR Picardie maritime
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- (c) Département de la Somme
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- (c) Département de la Somme
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- (c) Baie de Somme - Trois Vallées
Documents d'archives
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AD Somme. Série O ; 99 O 1492. Embreville. Administration communale, avant 1869.
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AD Somme. Série O ; 99 O 1493. Embreville. Administration communale, 1870-1939.
-
AD Somme. Série O ; 99 O 1494. Embreville. Administration communale : voiries et eaux, avant 1870-1939.
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AD Somme. Série O ; 99 O 1495. Embreville. Administration communale, avant 1939.
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AD Somme. Série M ; 6 M 265. Embreville. Recensement de la population, 1836-1936
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AD Somme. Série M ; 6 M 2407. Statistiques sur la situation industrielle de l'arrondissement d'Abbeville, 1813-1869.
-
AD Somme. Série M ; 6 M 2408. Statistiques sur la situation industrielle de l'arrondissement d'Abbeville, 1869-1893.
-
AD Somme. Série P ; 3 P 265/7. Embreville. Matrice des propriétés bâties, 1911-1934.
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AD Somme. Série P ; 3 P 265/8. Embreville. Matrice des propriétés bâties, 1911-1934.
-
AD Somme. Série P ; 3 P 263/4. Embreville. Matrice des propriétés foncières, 1829-1914.
-
AD Somme. Série P ; 3 P 263/5. Embreville. Matrice des propriétés foncières, 1829-1914.
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AD Somme. Série P ; 3 P 263/3. Embreville. État de sections des propriétés bâties et non-bâties.
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Annuaire industriel. Répertoire général de la production française. Paris.
Bibliographie
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BONNOT. Détails des fers, fonte, serrurerie, ferrure et clouterie, à l'usage des bâtimens, Paris : [s.n.], 1782.
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BRIEZ, P. Notices sur la serrurerie de Picardie. Abbeville : Briez, 1857.
p. 62-63 -
PRAROND, Ernest. Histoire de cinq villes et de trois cents villages, hameaux ou fermes : Saint-Valery et les cantons voisins. Abbeville : P. Briez, 1863.
p. 346-348 -
DARSY, François-Irénée. Descriptif archéologique et historique du canton de Gamaches. Amiens : Duval et Herment imprimeurs, 1856.
p. 82-87
Documents figurés
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Embreville. Plan cadastral : section A dite du chef-lieu, dessin à l'encre, à l'aquarelle et au lavis, Poissant géomètre, Papin et Dufossé géomètres auxiliaires, 1831 (AD Somme ; 3 P 1337/3)
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Carte de Cassini. N°23 : Dieppe, gravure à l'eau-forte, Le Roy le Jeune géographe, 1757.
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166. Embreville (Somme), les Quatres Chemins. Carte postale. Beauchamps : Pourthez protographe, Dehédin collection, vers 1920
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Embreville, par Dargnies (Somme), les Quatres-Chemins. Carte postale, [s.l] : Ricouard éditeur, vers 1920 (coll.part.).
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Embreville (Somme). Le Centre du Pays. Carte Postale. Eu : Santos opérateur, vers 1910
Chargé de l'inventaire du patrimoine du Vimeu industriel de 2011 à 2012.
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