D'après le registre communal, cette concession fut acquise en juin 1877, par Félix Herbet, représentant de commerce, domicilié à Amiens, 1 rue des Poulies.
La stèle porte la signature de l'entrepreneur Veuve Lamolet.
Dossier non géolocalisé
D'après le registre communal, cette concession fut acquise en juin 1877, par Félix Herbet, représentant de commerce, domicilié à Amiens, 1 rue des Poulies.
La stèle porte la signature de l'entrepreneur Veuve Lamolet.
Cette concession, adossée au second mur d'enceinte, n'est délimitée que par deux poteaux antérieurs en calcaire. Elle contient une stèle à entablement et fronton (déposé) en calcaire, ornée d'une table centrale en marbre. Au pied du monument se trouve une plaque en marbre qui devait être fixée sur la base.
Inscriptions :
Dates des décès : 1877 ; 1893 / (base) 1917.
Inscription concernant le destinataire (entablement, en relief) : Famille Herbet-[...].
Signature (base, en haut à droite) : V[eu]veLamolet.
Cette concession, ne conservant que partiellement sa clôture, contient une stèle à entablement et fronton (déposé) en calcaire, signée Veuve Lamolet et probablement élevée vers 1877 (date d'acquisition de la concession et de la première inhumation).
AC Amiens. Cimetière de la Madeleine. Registre des concessions.
Entreprise de monuments funèbres fondée à Amiens par Hippolyte François Lamolet (1821-1873), qui se déclare débitant dans le recensement de 1856. L'entreprise est signalée 135 Grande-rue Saint-Maurice (annuaire 1862) et 153 Grande-rue Saint-Maurice (1873).
L'entreprise est ensuite dirigée par sa veuve Sophie Damerval, qui y emploie ses deux fils Théophane (21 ans) et Georges (22 ans), comme tailleurs de pierre (recensement de 1881). Certains monuments portent la signature Lamolet Veuve et Lamolet fils.
L'entreprise est ensuite reprise par Théophane Lamolet-Tattegrain, entrepreneur de monuments funèbres, établi 365-367 rue Saint-Maurice (recensements de 1906 et 1911).