D'après le registre communal, cette concession fut acquise en janvier 1917, par Marie, Louise Rembault, veuve Monchablon, sans profession, domiciliée à Amiens, 8 rue Gribeauval.
La stèle porte la signature de l'entrepreneur Lamolet-Tattegrain.
Dossier non géolocalisé
D'après le registre communal, cette concession fut acquise en janvier 1917, par Marie, Louise Rembault, veuve Monchablon, sans profession, domiciliée à Amiens, 8 rue Gribeauval.
La stèle porte la signature de l'entrepreneur Lamolet-Tattegrain.
Cette concession, adossée au second mur d'enceinte, est matérialisée par des dalles en pierre de Tournai. Elle contient une stèle à croix également en pierre de Tournai.
Inscriptions :
Dates des décès : 1897 ; 1905 ; 1916 ; 1942 ; 1987.
Epitaphe : Louis MONCHABLON / chef de bataillon / Mort pour la France le 20 Xbre 1916 / à l'âge de 58 ans. / Chevalier de la Légion d'Honneur.
Signature (base, en haut à droite) : T. Lamolet.
Un Christ en croix est déposé au pied du monument.
Cette concession, matérialisée par des dalles en pierre de Tournai, contient une stèle à croix également en pierre de Tournai, signée Lamolet-Tattegrain, probablement élevée vers 1905 (date de la première inhumation).
AC Amiens. Cimetière de la Madeleine. Registre des concessions.
Entreprise de monuments funèbres fondée à Amiens par Hippolyte François Lamolet (1821-1873), qui se déclare débitant dans le recensement de 1856. L'entreprise est signalée 135 Grande-rue Saint-Maurice (annuaire 1862) et 153 Grande-rue Saint-Maurice (1873).
L'entreprise est ensuite dirigée par sa veuve Sophie Damerval, qui y emploie ses deux fils Théophane (21 ans) et Georges (22 ans), comme tailleurs de pierre (recensement de 1881). Certains monuments portent la signature Lamolet Veuve et Lamolet fils.
L'entreprise est ensuite reprise par Théophane Lamolet-Tattegrain, entrepreneur de monuments funèbres, établi 365-367 rue Saint-Maurice (recensements de 1906 et 1911).