D'après le registre communal, cette concession est acquise en novembre 1865, par Geneviève Bazille, veuve Lécaffette, domiciliée à Amiens, rue des Sergents.
La stèle porte la signature de l'entrepreneur H. Lamolet.
Dossier non géolocalisé
D'après le registre communal, cette concession est acquise en novembre 1865, par Geneviève Bazille, veuve Lécaffette, domiciliée à Amiens, rue des Sergents.
La stèle porte la signature de l'entrepreneur H. Lamolet.
Cette concession, adossée au second mur d'enceinte, n'est délimitée que par son sol complètement recouvert de dalles en granite gris poli (remaniement). Elle contient une stèle à entablement et fronton triangulaire à acrotères en calcaire, divisée par deux tables en marbre, encadrées par deux pilastres cannelés. Les inscriptions sont peintes en lettres d'argent.
Inscriptions :
Dates des décès : 1851 ; 1874 ; 1985 ; 1958 / 1865 ; 1874 ; 1889.
Inscription concernant le destinataire (entablement, en relief) : Famille Lécaffette-Bazille.
Inscription (base) : Concession à perpétuité.
Signature (base, à droite) : H. Lamolet.
Le fronton de la stèle, surmonté d'une croix, est sculpté d'une couronne de fleurs entrelacée de rubans. Les acrotères sont gravés de palmettes et les pilastres cannelés d'une fleur dans leur partie supérieure. Devant le monument est déposée une croix ornée d'orchidées en barbotine (abîmée).
Cette concession, qui a perdu sa clôture, contient une stèle funéraire en calcaire, signée H. Lamolet, sans doute réalisée vers 1865 (date d'acquisition de la concession et de l'une des inhumations mentionnées).
AC Amiens. Cimetière de la Madeleine. Registre des concessions.
Entreprise de monuments funèbres fondée à Amiens par Hippolyte François Lamolet (1821-1873), qui se déclare débitant dans le recensement de 1856. L'entreprise est signalée 135 Grande-rue Saint-Maurice (annuaire 1862) et 153 Grande-rue Saint-Maurice (1873).
L'entreprise est ensuite dirigée par sa veuve Sophie Damerval, qui y emploie ses deux fils Théophane (21 ans) et Georges (22 ans), comme tailleurs de pierre (recensement de 1881). Certains monuments portent la signature Lamolet Veuve et Lamolet fils.
L'entreprise est ensuite reprise par Théophane Lamolet-Tattegrain, entrepreneur de monuments funèbres, établi 365-367 rue Saint-Maurice (recensements de 1906 et 1911).