Photographe au service de l'Inventaire du patrimoine culturel de la région Hauts-de-France (2023).
- inventaire topographique, Communauté de communes Oise Picarde
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
-
Aire d'étude et canton
Communauté de communes de l'Oise Picarde - Saint-Just-en-Chaussée
-
Commune
Paillart
-
Dénominationsvillage
-
Parties constituantes non étudiéescroix de chemin, chapelle, chapelle funéraire, puits, remise de matériel d'incendie, école, mairie, presbytère, moulin, magasin de commerce
Traversé par la rivière de la Noye et situé à la rencontre de deux anciennes voies romaines, Paillart est aujourd’hui une commune de 571 habitants (source : INSEE, 2020) qui compte 279 logements en 2020. Le territoire communal comprend les écarts de Rome, La Ferme et Visigneux.
Le village s’est notamment développé grâce à l’activité de plusieurs moulins hydrauliques dont des minoteries et une papeterie. Dans le dernier quart du XIXe siècle une usine de lacets s’est implantée, employant de nombreux habitants.
L’habitat est principalement constitué de fermes dites "picardes", sièges de petites exploitations vivrières avec une grange et/ou une "boutique" (atelier d’artisan ou d’ouvrier) sur la rue. Édifiées en torchis et pans de bois, souvent recouvertes d’un essentage en bois, elles sont nombreuses à être conservées dans le village.
Origines
Implanté au croisement de deux anciennes voies romaines (l’une reliant Beauvais en passant par Breteuil ; l’autre Amiens à Saint-Martin-Longueau dans l’Oise) et au bord d’un cours d’eau, la Noye, Paillart est situé à un emplacement privilégié. De nombreuses villas gallo-romaines ont d’ailleurs été repérées sur le territoire de la commune par Roger Agache et François Vasselle (DELATTRE, 2020) comme aux lieux-dits La Ferme, Les Vignes, La Vallée Jean-Jouanne.
Dans son Dictionnaire topographique (1982), Émile Lambert a relevé la date de 822 comme première mention de Paillart dans les sources connues sous la forme de "Paliortus". Des tombeaux d'époque mérovingienne ont récemment été découverts dans le cimetière autour de l'église. En 870, on retrouve ce toponyme associé au terme oppidum. Ce type de lieu fortifié aurait-il pu exister à l’emplacement actuel de l’église, perchée sur une butte au bord de l’ancienne voie romaine ? L’actuelle rue de la Motte semble renvoyer à l’existence d’une ancienne motte féodale ayant succédé à l’oppidum.
"Paliortus" aurait une origine gauloise. D’après Maurice Lebègue (1994), "- rito" signifierait "gué" tandis que le premier terme "palio" se traduit par "étang, marais". Paillart serait ainsi le "gué des étangs". Si cette traduction est incertaine, ce vocabulaire évoque bien à l’environnement du village, entouré de marais, tourbières et cours d’eau qui ont été très tôt exploités. Le village compte ainsi plusieurs moulins hydrauliques.
Sous l’Ancien Régime, Paillart est une seigneurie qui a appartenu à plusieurs familles. Louis Graves les énumère dans son Précis Statistique (1843). Ainsi, Gautier, seigneur de Paillart cède en 1190 certains de ses revenus aux religieuses de Bellefontaine (établissement aujourd’hui disparu, relevant du prieuré de Wariville, qui était implanté sur le territoire de Paillart). Elles sont invitées à prélever des muids de blé sur le moulin "Théon". Au XIVe siècle, la seigneurie passe de la maison de Coucy à celle de Clermont-Nesle. Le bâtiment en pierre (aujourd'hui garderie) du groupe scolaire aligné sur la rue Becquerelle aurait été l'ancienne perception seigneuriale qui existait au XVe siècle. La maison de Lannoy possède la seigneurie au XVIe siècle et finance notamment la reconstruction de l’église. Elle échoit ensuite à la famille de Gondi, puis de Monchi au XVIIIe siècle, jusqu’à ce que Charles Dumoulin, trésorier de France, en prenne possession.
Évolution de la morphologie et du parcellaire
Voies romaines et cours d’eau ont déterminé l’implantation du bâti et la morphologie urbaine. En effet, les maisons se sont principalement installées le long de l’ancienne voie qui s’étire du nord au sud (anciennes rue Becquerelle et rue Becquerelle d’En-Haut). En outre, traversé par des cours d’eau qui le coupent d’est en ouest, le village s’est développé autour de deux noyaux d’habitat.
Le quartier en aval de la Noye (partie nord du village)
Autour de l’église, dans la partie nord, l’habitat s’est structuré de manière concentrique (rue de la Motte, rue de la Fontaine). De nombreuses maisons ont également été construites le long de la rue Becquerelle, vers la sortie nord. Enfin, une troisième zone d’habitat s’est déployée à l’est (aujourd’hui rues Thiaux, Daniel, du Val de Noye, du Pont des Ânes).
Vers 1900, la villa dite "High House" ("Maison Haute") a été construite au bord de la rue Becquerelle (côté est) par un notable anglais, Sigismond Boxhorn (HÉMERY-DAGNET, 2020). Les maisons qui se trouvaient à cet emplacement ont disparu et le parc de la propriété a pu y être aménagé. En comparant le cadastre de 1828 avec celui de 1954, il apparaît également que la rue du Val de Noye a été percée dans le prolongement de la rue Thiaux.
Le quartier en amont de la Noye (partie sud du village)
Dans la partie sud du village, de l’autre côté de la Noye, l’habitat s’est tout d’abord étendu le long de l’ancienne voie romaine, vers Breteuil, ainsi que dans la rue Lambin qui lui est perpendiculaire et se dirige vers l’est. Cette implantation du bâti est bien visible sur le cadastre de 1828.
À la fin du XIXe siècle, l’usine de lacets occupe une vaste parcelle à l’angle de la rue Lambin et de l’ancienne rue de Moreuil citée sur le cadastre de 1954 (aujourd’hui un prolongement de la rue Lambin). Au milieu du XXe siècle, l’habitat de la partie est du village (rue Lambin) se densifie jusqu’à l’implantation de plusieurs pavillons à la sortie est.
Enfin, la rue de la Libération est créée dans les années 1860. En effet, elle apparaît dans le recensement de population de 1866 sous le nom de rue de Breteuil. Dans la seconde moitié du XXe siècle, deux quartiers de lotissements sont aménagés à l’extrémité de la rue de la Libération (Cité du Bois de Boulogne et Clos du Forestel).
Un parcellaire dense et étroit
Village peuplé et concentré autour du cours d’eau et de l’axe nord-sud, Paillart a un parcellaire très serré aux terrains de petite taille. Sur le cadastre de 1828, la grande majorité des parcelles est composée de fines lanières juxtaposées caractéristiques des villages picards. Elles prolongent les bâtiments agricoles et le logis en fond de cour. Elles sont par exemple visibles dans la rue Lambin ou le long de la rue Becquerelle (leur forme est conservée entre les actuels n°6 et 16 et n°27 à 35). Dans les rues courbes du quartier de l’église, elles sont en revanche plus irrégulières et légèrement plus larges en raison du tracé curviligne des voies (rues de la Motte et de la Fontaine).
Sur le cadastre de 1954, le parcellaire ancien s’est maintenu, car il a peu été remembré. Ce constat est certainement lié à la démographie qui n’a pas connu de forte baisse comme la plupart des villages, en raison du maintien d’une activité industrielle importante. De plus, la hausse de population qui intervient à partir des années 1980 (passant d’environ 500 à 600 habitants) s’accompagne de la construction de lotissements, en particulier aux sorties est et ouest du village. Les pavillons sont alors installés au cœur d’une parcelle aux dimensions plus généreuses que les fines "trinquettes" de l’habitat ancien traditionnel.
Lieux partagés et structurants
Le patrimoine religieux comme repères spatiaux : chapelles et croix de chemin
Paillart compte une croix de chemin mais surtout trois chapelles (dont une funéraire). Ces lieux constituaient des étapes lors des processions religieuses et soutenaient ainsi une forme de piété déambulatoire qui se déployait dans l’espace paroissial. Les archives de l’Association pour la Connaissance et la Conversation des Croix et Calvaires du Beauvaisis contiennent de la documentation précieuse sur les chapelles et la croix de chemin située à la sortie sud du village, au bout de la rue Becquerelle. Dissimulée par la végétation, cette dernière aurait été découverte en 1988 lors de la construction de la salle polyvalente. Elle a été restaurée en 2006 et porte la date de 1800 ou 1809.
Les autres sorties de Paillart sont marquées par la présence de chapelles contrairement à d’autres villages où les croix de chemin remplissent ce rôle. La chapelle Saint-Lugle-et-Saint-Luglien se trouve à la sortie nord. D’après Louis Graves (1843), elle est reconstruite en 1823 puis une nouvelle fois en 1886 par madame Boulanger en souvenir des Croisés et Templiers (mention d'une délibération du conseil municipal de cette année-là dans les archives de l’Association des croix et calvaires). Ces deux saints d’origine irlandaise ont été martyrisés à Thérouanne au VIIe siècle. D’après Louis Graves (1843), leurs reliques auraient été apportées à Paillart puis transférées vers l’an 900 à Montdidier (Somme). Un Ecce Homo se trouve à l’intérieur. Elle a été restaurée grâce à l’aide de l'association Le Souvenir Français.
La chapelle à l’extrémité de la rue Thiaux conserve la sépulture de Sylvain Gueudet, mort en 1875, et pour lequel l’édifice a été construit une année auparavant. Cette chapelle funéraire a été restaurée grâce à une aide financière de cette même association Le Souvenir Français.
Une troisième chapelle se trouve au croisement des rues du Val de Noye, Daniel et du Pont des Ânes. Sous le titre Notre-Dame-de-Bonne-Mort, elle a été construite en brique vers 1870. Elle abrite une Descente de Croix et un bras reliquaire contenant les reliques de saint Pantaléon d'après l'authentique de l'évêché de Beauvais conservé à l'intérieur et daté de 1951. Elle a été restaurée dans les années 1990.
Le tour de ville comme limite entre la zone habitée et la zone cultivée
Paillart conserve encore de nombreux sentiers de tour de ville, communs aux villages du plateau picard. Ils séparaient la zone habitée de la zone cultivée en permettant un accès direct aux champs ou pâtures grâce à un portillon qui était souvent aménagé dans la clôture du jardin des habitations. Les sentiers conservés sont déjà figurés sur le cadastre de 1828. Ils sont toujours praticables à l’arrière de la partie nord de la rue Becquerelle et de la rue Daniel. Enfin, dans la partie sud, le chemin du tour de ville relie la rue Lambin à la rue de la Mairie.
L’exploitation des ressources hydrauliques : puits, citernes et moulins
Puits et citernes
Village construit autour des bras de la Noye et sur des zones marécageuses, la présence de l’eau a été déterminante dans le développement de Paillart. En effet, la proximité de la rivière dispense les habitants de la création de mares, aménagements pourtant nécessaires dans les villages de plateau ou en vallées sèches. En 1902, la Notice descriptive et statistique du département de l’Oise mentionne 114 puits là où il n’y en a souvent qu’une dizaine dans les villages avoisinants. Les sources étant peu profondes, il était plus aisé de les creuser. Par ailleurs, 5 citernes sont citées. Elles servaient à récupérer les eaux de pluie.
Des puits maçonnés sont toujours visibles aujourd’hui. L’inventaire sur place a permis d’en identifier deux dans la rue Becquerelle : le premier à l’intersection avec la rue Daniel, le second un peu plus au nord, en face du n°29. Aujourd’hui condamnés, ils sont tous les deux en brique, couverts d’un toit semi-circulaire en béton.
Les moulins
Cinq moulins hydrauliques étaient encore en activité au XIXe siècle. Le moulin le plus important, dit "moulin Théon " sous l’Ancien Régime, était rattaché à la seigneurie. C’est sur les revenus de cet établissement que sont prélevés les muids de blé que Gautier de Paillart cède aux religieuses du couvent de Bellefontaine en 1191. Le moulin du Pont-de-Moreuil a été construit en 1791 par monsieur Portemer suivi de celui de Quotry en 1793 par la famille Sellier. Enfin, une papeterie a été établie en 1775 par monsieur Auquet à l’emplacement d’un moulin à foulon. C’est ce moulin qui est détruit par la famille Sarlat pour y implanter une usine de lacets. Un dernier moulin se trouvait dans le hameau de Visigneux.
Il est difficile de les localiser aujourd’hui d’autant que seuls le moulin Ventin (au sud du village) et celui de la rue Thiaux sont toujours en place. Sur le plan de la commune concernant les prés et mares (début XIXe siècle), un second moulin était implanté dans la partie sud de la rue Becquerelle, à la sortie du village. Ses bâtiments étaient toujours en place au milieu du XXe siècle d’après le cadastre de 1954.
D’après le cadastre de 1954 et les recherches de Marie-Thérèse Hémery-Dagnet (2020), un autre se trouvait dans la rue Thiaux. D’abord en possession de la famille Hertout, il aurait abrité un premier atelier de fabrication de lacets avant l’ouverture de l’usine de la rue Lambin. Le bâtiment du moulin est toujours en place mais la roue a disparu.
Le dernier moulin à eau était une minoterie, située dans le village à la jonction des deux cours de la Noye au centre de Paillart, juste au sud de l’église. Il est bien visible sur les cadastres de 1828 et 1954 entre les rues du Colombier et de Breteuil.
Deux cartes postales du premier quart du XXe siècle figurent deux moulins différents qu’il n’a pas été possible de localiser en raison de leur disparition.
Les équipements communaux
Les documents de la série O des Archives départementales éclairent l’histoire de la construction des édifices communaux au cours du XIXe siècle.
Les écoles
En 1818, une école d’enseignement mutuel doit être implantée à Paillart. Ces écoles sont fondées sur une pédagogie active et coopérative selon une méthode importée d’Angleterre et diffusée en France à partir de 1815. À Paillart, le projet avorte toutefois en raison du manque de matériel et de locaux.
Un second projet d’école avec salle de mairie est formulé en 1833. La construction doit être installée en face de la mairie et l’architecte d’arrondissement Bellanger réalise plans et devis. Malheureusement ce projet n’aboutit pas en raison de l’absence de financement.
En 1840, le conseil municipal acquiert une propriété à monsieur Dumoulin dans la rue d’En-Haut (actuelle rue Becquerelle). Il est prévu de démolir l’ancien bâtiment et d’établir l’école (de filles et de garçons) à son emplacement, entre cour et jardin (voir plan du projet en ill.). Le bâtiment est assis sur des fondations en pierre. La brique est utilisée en parement pour les soubassements. La salle de mairie et les archives sont installées dans les combles. Les travaux sont réceptionnés en 1843.
Un logement pour l’institutrice est bâti en brique en 1859 par monsieur Baticle, entrepreneur à Breteuil.
À partir de 1861, l’école est trop étroite et en mauvais état. Le conseil municipal achète alors une maison à madame veuve Fieffé afin de la transformer en logement pour l’instituteur, tandis que celui de l’institutrice est déplacé dans l’ancienne habitation de l’instituteur. Il est en outre prévu d’édifier une mairie. Afin de financer les travaux, la commune vend des tourbières et des arbres. L’école connaît de nouveaux aménagements en 1877 : latrines, mur de séparation entre filles et garçons, buanderie, bûcher et bâtiments de décharges sont construits. Arsène Baticle, architecte à Breteuil, dresse les plans des travaux. L’école s’agrandit une nouvelle fois lorsque la commune achète la propriété de la veuve Tellier. Les anciennes granges sont démolies et l’école de filles assainie.
En 1910, divers bâtiments sont érigés à l’école des garçons : préau couvert, bûcher, écurie et remise. La toiture de la mairie est réparée. Les travaux sont menés par l’entrepreneur monsieur Martin à Breteuil tandis que l’architecte est monsieur Nimbeau à Clermont.
En 1913 toutefois, les locaux sont jugés trop petits pour accueillir l’ensemble des élèves. Un nouvel immeuble, destiné à devenir l’école des garçons avec logement de l’instituteur est acheté dans la rue Becquerelle.
L’ensemble de ces locaux est aujourd’hui situé à l’emplacement de l’actuel groupe scolaire Gérard Moyes.
La mairie
Elle est actuellement installée dans l’ancienne demeure de monsieur Pathier, patron de l’usine de lacets, au n°4 de la rue de la Mairie. Une carte postale du début du XXe siècle signale qu’elle était dénommée "villa Les Pivoines".
C’est en 1933 que la commune achète l’immeuble Pathier dans le cadre d’un projet de création d’une école de garçons avec salle de mairie et logement pour l’instituteur. Les plans sont dessinés par l’architecte Maurice Cauwel. Le projet reçoit un avis favorable de la préfecture en 1935.
Parallèlement, des travaux sont entrepris en 1937 dans les écoles de filles et garçons de la rue Becquerelle. L’ancienne salle de mairie qui s’y trouve est aménagée en classe tandis que des toilettes et un préau sont construits (plans de Maurice Cauwel, 1933 en ill.). Le logement de l’instituteur est transféré dans l’immeuble Pathier tandis que l’institutrice s’installe dans l’habitation rendue libre.
Le presbytère
En 1797, monsieur et madame Sellier achètent le presbytère de Paillart au département de l’Oise après les saisies révolutionnaires. Situé au lieu-dit "La Mothe", dans l’actuelle rue de la Motte, il consiste en une entrée charretière en bois et une grange couvertes de chaume ainsi qu’un logis en fond de cour. En 1823, la commune de Paillart rachète le presbytère aux époux Sellier pour y loger à nouveau le curé.
L’édifice, en mauvais état, bénéficie de lourdes restaurations en 1902, prévues par l’architecte de l’arrondissement monsieur Nimbeau. Elles sont mises en œuvre par le menuisier Irénée Devillers (boiseries, lambris, parquets, baies), le peintre Vaconsin à Breteuil et le maçon Martin qui réalise les enduits, le carrelage, la couverture en tuile, les solins en brique et un nouveau foyer. La commune assure seule les frais de ces travaux, la fabrique n’ayant pas assez de ressources pour participer.
À la suite de la séparation de l’Église et de l’État en 1905, le presbytère est loué par la commune au curé.
Le jeu de paume
Un ancien terrain de jeu de paume se situe à l’extrémité de la rue de la Mairie, à côté de la salle polyvalente. Il est visible sur une carte postale du début du XXe siècle. Le chalet implanté au bord du terrain destiné à l’arbitre a disparu aujourd’hui mais il existait encore au début du XXe siècle (visible sur cette carte postale et mentionné dans les archives de la série O).
-
Période(s)
- Principale : Moyen Age
- Principale : Temps modernes
- Principale : Epoque contemporaine
-
Auteur(s)
-
Auteur :
Baticle Arsènearchitecte attribution par sourceBaticle Arsène
Architecte actif dans l'Oise dans le dernier quart du XIXe siècle.
-
Auteur :
Baticle Jean-Baptisteentrepreneur de maçonnerie attribution par sourceBaticle Jean-Baptiste
Entrepreneur en maçonnerie actif à Breteuil (Oise) au milieu du XIXe siècle.
-
Auteur :
Nimbeau Jeanarchitecte attribution par sourceNimbeau Jean
Jean Nimbeau est un architecte clermontois. En 1908-1909, il réalise la maison pénitentiare pour jeunes filles mineures de Clermont. En 1922, il devient secrétaire de la Société des Architecte de l'Oise.
-
Auteur :
Martin Clodomirentrepreneur de maçonnerie attribution par sourceMartin Clodomir
Entrepreneur à Breteuil (Oise) actif dans la première moitié du XXe siècle.
-
Auteur :
Vaconsinpeintre attribution par sourceVaconsin
Peintre domicilié à Breteuil (Oise) et actif dans la première moitié du XXe siècle.
-
Auteur :
Devillers Irénéemenuisier attribution par sourceDevillers Irénée
Menuisier actif dans l'Oise dans la première moitié du XXe siècle.
-
Auteur :
Cauwel Mauricearchitecte attribution par sourceCauwel Maurice
Architecte actif dans la première moitié du XXe siècle et domicilié à Breteuil (Oise).
-
Auteur :
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Département de l'Oise - Archives départementales
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Département de l'Oise - Archives départementales
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Département de l'Oise - Archives départementales
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
Documents d'archives
-
AD Oise. Série M ; sous-série 6 M : 6 Mp 553. Paillart. Recensements de population (1806 à 1936).
-
AD Oise. Série O ; sous-série 2 O : 2 O 11324. Paillart. Écoles (1832-1937).
-
AD Oise. Série O ; sous-série 2 O : 2 O 11330. Paillart. Presbytère (1822-1937).
-
AD Oise. Série O ; sous-série 2 O : 2 O 32312. Paillart. Nouvelle mairie (1930-1937).
-
AD Oise. Série J ; sous-série 49 J : 49 Jp 13. Paillart. Inventaire des croix et calvaires. Archives de l'association pour la connaissance et la conservation des calvaires et croix du Beauvaisis, 2007.
Bibliographie
-
DELATTRE, Daniel. Le canton de Saint-Just-en-Chaussée : 84 communes, 84 lieux incontournables. Grandvilliers : éditions Delattre, 2020.
407-413. -
LAMBERT, Émile. Dictionnaire topographique du département de l'Oise. Amiens (Musée de Picardie) : Société de linguistique picarde, 1982 (tome 23).
p. 416. -
LEBÈGUE, Maurice. Les noms des communes du département de l'Oise. Amiens : Musée de Picardie, 1994.
p. 163. -
Notice descriptive et statistique sur le département de l'Oise. Paris : Imprimerie du service géographique, 1902.
p. 232.
Périodiques
-
GRAVES, Louis. Précis statistique sur le canton de Breteuil, arrondissement de Clermont (Oise). Annuaire de l'Oise. Beauvais : Achille Desjardins, 1843.
pp. 77-79. -
HÉMERY-DAGNET, Marie-Thérèse. La fabrique de lacets à Paillart. Bulletin de la société historique de Breteuil, 2020, n°25.
Documents figurés
-
Paillart. Cadastre napoléonien, 1828 (AD Oise ; EDT 247/1G2).
-
Paillart. Extrait d'un plan concernant les prés et marais, [premier quart du XIXe siècle] (AD Oise ; plan 685).
-
Paillart. Cadastre rénové, 1954 (AD Oise ; 2139 W 277).
-
Paillart (Oise). Le jeu de paume, carte postale, coll. Hertout, [vers 1912] (coll. part.).
-
Paillart (Oise). La Maison Haute, carte postale, éd. Debras-Sellier, [premier quart du XXe siècle] (coll. part.).
-
Paillart (Oise). Le Moulin, carte postale, éd. Cortoux-Vimeu, [premier quart du XXe siècle] (coll. part.).
-
Paillart (Oise). Le Moulin de la Belle-Fontaine, carte postale, coll. Hertout, [premier quart du XXe siècle] (coll. part.).
-
Paillart (Oise). La rue Becquerelle, carte postale, coll. Hertout, [premier quart du XXe siècle] (coll. part.).
-
Paillart (Oise). Villa "Les Pivoines", M. Pathier, carte postale, [s. ed.], [premier quart du XXe siècle] (coll. part.).
Chercheuse de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, Région Hauts-de-France (depuis 2020).
Chercheuse de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, Région Hauts-de-France (depuis 2020).