Photographe au Service régional de l'Inventaire des Hauts-de-France (2023).
- inventaire topographique, canton de Villers-Cotterêts
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- (c) AGIR-Pic
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Communauté de communes Retz-en-Valois - Villers-Cotterêts
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Commune
Villers-Cotterêts
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Adresse
1 place Aristide-Briand
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Cadastre
1835 B2 890, 891, 910 A 913, 950 A 952, B3 955 A 1002, C1 170, 171, 208 A 214 ;
1984 AB 46 A 57, 59, 62 A 66, 246 A 248, 253 A 256, 330 A 337, 343 A, 345, 378, 437 A 448, 451 A, 452, AK 87 A 92, 104 A 112, AN 37 A 69
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Dénominationschâteau
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Destinationsdépôt de mendicité, hospice
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Parties constituantes étudiées
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Parties constituantes non étudiéesjardin, parc, cour, chapelle, jeu de paume, communs, temple de jardin, bassin, faisanderie, écurie
Château dont l'existence est attestée par les sources au moins dès le XIIe siècle. De ce château médiéval, il subsiste des fondations et une partie de l'élévation d'une tour du XIIIe ou du XIVe siècle. Il est incendié dans la première moitié du XVe siècle et restauré dans la 2e moitié du 15e siècle.
L'emprise au sol de ce château, sa composition exacte et son apparence ne sont pas connues.
La construction du château sous François Ier
En 1527-1528, pour des raisons politiques, François Ier décide de résider davantage en région parisienne. Pour y être logé commodément et selon son rang, il fait alors entreprendre des travaux de restauration et d'agrandissement dans plusieurs châteaux préexistants (tels le Louvre, Fontainebleau, Saint-Germain-en-Laye) et construire de nouvelles résidences (tel le château de Madrid, dans le bois de Boulogne). L'intérêt du roi, passionné autant par les constructions nouvelles que par la chasse, se tourne vers Villers-Cotterêts vers 1530. "Voyant ce lieu prochain d'une telle forest, excedant en grandeur toutes celles de France" - comme le souligne Jacques Androuet du Cerceau -, François Ier ordonne que soient faits dans son château cotterézien différents ouvrages, incluant la construction de bâtiments neufs. Le 18 juin 1532, il charge donc deux "commissaires" (Jean de la Barre, comte d'Étampes, et Nicolas de Neufville, seigneur de Villeroy) de passer les marchés destinés à l'agrandissement du château et à la construction d'un système d'adduction d'eau.
Les travaux sont confiés aux maîtres maçons parisiens Jacques et Guillaume Le Breton, frères cadets de Gilles Le Breton qui travaille à la reconstruction du château de Fontainebleau depuis 1527. Leurs noms figurant dans les Comptes des bâtiments du roi de 1533 à 1550, il est permis de leur attribuer la quasi-totalité de la construction de l'édifice. En revanche, leur rôle exact dans le plan et la conception des bâtiments n'est pas connu. Dans aucun document, ils ne sont qualifiés d'architectes. Toutefois, à cette époque, il n'existe pas encore de distinction rigoureuse entre la création de l'esprit et l'ouvrage des mains. Leur intervention dans l'élaboration du projet est donc peu douteuse, assertion confortée par la comparaison avec l'architecture du château de Fontainebleau, bâti par leur frère aîné.
Les Comptes des bâtiments du roi conservent le nom de plusieurs autres entrepreneurs qui ont contribué à l'édification de la demeure royale : le charpentier Guillaume Le Peuple, les couvreurs Jean Aux Bœufs (ou Aubeuf) puis Grand Jean Cordier et son fils Louis Cordier, le plombier Jean Le Vavasseur, les menuisiers Jacques Lardant et Michel Bourdin, les vitriers (maîtres verriers) Jean de La Hamée et Jean Chastellain, les serruriers Jean Andras et Antoine Morisseau, le nattier Jean Thouroude, les fontainiers Pierre Toustain et Pierre de Mestre, le paveur Denis Pasquier. À quelques rares exceptions près, ces excellents maîtres dans leur spécialité ont également collaboré à d'autres chantiers royaux ou à plusieurs édifices prestigieux de Paris et de sa région.
Les premiers travaux exécutés consistent certainement à abattre les parties inutilisables, à préparer les fondations des nouveaux corps de bâtiments et à adapter les parties conservées pour qu'elles s'intègrent sans heurt dans le nouveau château. Parallèlement, on capte l'eau en forêt au nord du château et on établit - ou on rétablit - des aqueducs souterrains en maçonnerie pour que le château soit alimenté en eau. L'étude dendrochronologique des charpentes en chêne des corps de logis délimitant la petite cour a révélé des périodes d'abattage s'échelonnant de l'automne-hiver 1531-1532 à l'automne-hiver 1533-1534. Le bois de charpente étant généralement utilisé l'année suivant la coupe, on peut penser qu'en 1535, le gros-œuvre des corps de logis est terminé. D'ailleurs, le 18 août 1534, le roi ordonne que soient payés des meubles et des lits nécessaires à plusieurs résidences dont celle-ci. Il y séjourne une semaine en juillet 1535. En revanche, la progression de la construction des trois ailes des offices est impossible à cerner.
Entre 1530 et 1547, le roi François Ier fait construire un nouveau château avec parc et dépendances, sur les plans des frères Jacques et Guillaume Le Breton, maîtres maçons parisiens. Le retable de la chapelle porte la date de 1539. Les jardins sont créés par Guillaume Le Moyne. Au milieu du XVIe siècle, le château est achevé par les maîtres maçons cotteréziens Robert Vaultier et Gilles Agasse, travaillant sous le contrôle de Philibert de l'Orme. Ce dernier est l'auteur d'un temple de jardin construit entre 1550 et 1559, et aujourd'hui détruit. À la même époque, le fontainier Jehan Mallard installe une fontaine au château.
Les transformations ultérieures
Dans le troisième quart du XVIIe siècle, Monsieur fait transformer la façade nord du château, il agrandit le parc et en confie le réaménagement à André Le Nôtre selon une tradition très vraisemblable. Dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, le château, son parc et ses dépendances sont entièrement modifiés par l'architecte Henri Piètre pour le duc Louis-Philippe d'Orléans et son fils. Après la Révolution qui voit la vente et la destruction de plusieurs dépendances du château, ce dernier est transformé en dépôt de mendicité en 1804. Au début du premier quart du XIXe siècle, l'architecte Gilbert y fait les aménagements nécessaires. Des travaux sont encore exécutés dans le courant du XIXe siècle par l'architecte Jean-François Mesnager entre 1832 et 1859. À partir de 1889, le château assume le rôle de maison de retraite départementale, jusqu'en 2014. Aux XIXe et au XXe siècle, les anciennes dépendances du château ont été transformées et de nombreux bâtiments ont été construits à la périphérie du parc et sur l'emplacement du potager.
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Période(s)
- Principale : 13e siècle, 14e siècle , (incertitude)
- Principale : 2e quart 16e siècle
- Principale : milieu 16e siècle , (détruit)
- Principale : 3e quart 17e siècle
- Principale : 2e moitié 18e siècle
- Principale : 19e siècle
- Principale : 20e siècle
- Secondaire : milieu 16e siècle
- Secondaire : 1er quart 19e siècle
- Secondaire : 19e siècle
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Dates
- 1539, porte la date, daté par source
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Auteur(s)
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Auteur :
Le Breton Jacquesmaître maçon attribution par sourceLe Breton JacquesCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
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Auteur :
Le Breton Guillaumemaître maçon attribution par sourceLe Breton GuillaumeCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
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Auteur :
Le Moyne Guillaumearchitecte paysagiste attribution par sourceLe Moyne Guillaume
Jardinier, mentionné vers la fin de l'année 1538, où il est alors dit " jardinier de Madame de Vendôme ". Au début de 1539, il est " jardinier de Villers-Cotterêts ", et le roi lui octroie 100 livres en attendant de décider du montant de ses gages.
Certains auteurs pensent qu'il ne fait qu'une seule personne avec Guillaume Le Maure, jardinier du roi à Blois - ce qui n'est reste à démontrer.
- Auteur : fontainier attribution par source
- Auteur : maître maçon attribution par source
- Auteur : maître maçon attribution par source
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Auteur :
Delorme Philibert dit L'Orme Philibert dearchitecte attribution par sourceDelorme Philibert dit L'Orme Philibert deCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
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Auteur :
Le Nôtre Andréarchitecte paysagiste attribution par sourceLe Nôtre André
Jardinier et paysagiste du roi Louis XIV ayant notamment conçu les jardins du château de Vaux-le-Vicomte, de Versailles et de Chantilly.
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Auteur :
Piètre Henriarchitecte attribution par sourcePiètre Henri
Architecte du duc Louis-Philippe d'Orléans.
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Auteur :
Mesnager Jean-Françoisarchitecte attribution par sourceMesnager Jean-FrançoisCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
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Auteur :
Gilbert Florentinarchitecte attribution par sourceGilbert Florentin
Architecte parisien, qui semble avoir été actif au moins dès 1778. À la fin du 18e siècle, il demeurait à Paris rue d’Orléans-Saint-Honoré (paroisse Saint-Eustache). Il est mentionné comme architecte de l’Université, et architecte des Eaux et Forêts de la Champagne et du Nivernais.
Le 20 mars 1790, il présente à l'Assemblée nationale le projet d'un Palais de Législature (dessin gravé par Janinet). En 1791, il demande le paiement de ses devis concernant la manse conventuelle de Saint-Médard-lès-Soissons (AD Aisne : Q 784, f° 311 v°).
Au début du 19e siècle, il est attaché au ministère de l’Intérieur, pour l’administration du "Prytanée", mais la nouvelle organisation du Prytanée et la réunion de ses biens aux domaines de l’État lui font perdre sa place. En 1804, pour compenser cette perte, Chaptal, ministre de l’Intérieur, lui donne la responsabilité des travaux destinés à transformer le château de Villers-Cotterêts en dépôt de mendicité. L’architecte y travaille jusqu’en 1811, date à laquelle - victime de ses infirmités et de sa négligence ou bien jouet d’intrigues - il est remplacé par Étienne-Hippolyte Godde. De 1804 à 1810, il réaménage également l’abbaye Saint-Jean de Laon pour en faire l’hôtel de la Préfecture et travaille aussi à la maison d’arrêt de Soissons. Pendant une période d’arrêt des travaux à Villers-Cotterêts en 1808, il commence à se consacrer à l’adaptation de l’abbaye de Clairvaux à sa future destination de lieu de détention, nouveau chantier qui semble l’avoir occupé plusieurs années.
L’architecte jouit d’une pension viagère à partir du 1er octobre 1811. Il meurt à Paris (5 rue Mignon), le 10 février 1821. De son mariage avec Marguerite Cyr Claude Gilbert, il a eu au moins trois fils, tous architectes : Émile-Jacques Gilbert (1793-1874), Narcisse Gilbert (1795-1860) et Baptiste-Émile-Louis Gilbert (1799-1861).
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Auteur :
Château comprenant une chapelle avec fausse voûte en berceau primitivement lambrissée. Il est desservi par un escalier dans-œuvre tournant à retours avec jour en maçonnerie et deux escaliers en-œuvre tournant à retours sans jour en maçonnerie, couverts d'une voûte en berceau en anse de panier et d'une voûte plate. Il est protégé par des toits coniques, toits en pavillon, toits à croupe et à pignon couvert, toits à deux pans avec croupe.
Les communs avec lucarnes de brique sont desservis par des escaliers tournants à retours sans jour en maçonnerie, avec voûte en berceau en anse de panier en brique. Ils sont couverts de toits en pavillon, toits à croupe et pignon couvert.
Le mur du parc est flanqué d'échauguettes.
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Murs
- calcaire moyen appareil
- calcaire moellon enduit partiel
- appareil mixte
- brique
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Toitsardoise, calcaire en couverture, tuile mécanique
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Étagessous-sol, 1 étage carré, entresol, étage de comble
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Couvrements
- fausse voûte en berceau
- lambris de couvrement
- voûte en berceau en anse-de-panier
- voûte plate
- voûte en berceau en anse-de-panier en brique
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Élévations extérieuresélévation à travées
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Couvertures
- toit conique
- toit en pavillon
- toit à deux pans
- toit à longs pans
- appentis
- croupe
- noue
- pignon couvert
- croupe polygonale
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Escaliers
- escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour en maçonnerie
- escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours sans jour en maçonnerie
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État de conservationmenacé
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Techniques
- sculpture
- ferronnerie
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Statut de la propriétépropriété publique, La plus grande partie du château et le parc sont la propriété de l'État. Une petite partie, correspondant à l'ancien réservoir, est la propriété de la Ville de Villers-Cotterêts.
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Intérêt de l'œuvreà signaler
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Éléments remarquablesélévation, escalier, chapelle seigneuriale
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Protectionsinscrit MH, 1927
inscrit MH, 1932
inscrit MH, 1936
classé MH partiellement, 1957
classé MH, 1997
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Référence MH
Réhabilité à partir de 2017, le château devient Cité internationale de la langue française (inauguration le 1er novembre 2023).
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Bibliographie
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ANDROUET DU CERCEAU, Jacques. Les plus excellents bastiments de France. Présentation et commentaires par David Thomson. Paris : Sand et Conti, 1988.
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BABELON, Jean-Pierre. Le château de Villers-Cotterêts. In CONGRÈS ARCHÉOLOGIQUE DE FRANCE. 148e session tenue en 1990, par la Société française d'Archéologie. Aisne méridionale, t. 2. Paris : Société française d'Archéologie, 1994.
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FRANCE. Inventaire général des Monuments et des Richesses artistiques de la France. Commission régionale Picardie. Villers-Cotterêts, un château royal en forêt de Retz. Dir. Martine Plouvier ; réd. Christiane Riboulleau ; photogr. Thierry Lefébure. Amiens : AGIR-Pic, 1991 (Cahiers de l'Inventaire ; 24).
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GUIOL, Maximilien. Villers-Cotterêts. In THIÉBAUT, Jacques (dir). Dictionnaire des châteaux de France. Artois, Flandre, Hainaut, Picardie. Paris : Berger-Levrault, 1978.
pp. 311-312. -
PALUSTRE, Léon. La Renaissance en France. Paris : A. Quantin, 1879, volume I.
pp. 122-134. -
SALMON, Marie-José : L'architecture civile en Soissonnais au XVIe siècle et au début du XVIIe siècle. Mémoire pour le DES : Histoire de l'Art : Paris : 1960 (AD Aisne : Dépôt spécial n° 74).
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SEYDOUX, Philippe. Gentilhommières des pays de l'Aisne. Tome 2 : Soissonnais, Tardenois, Brie. Paris : La Morande, 2013.
pp. 116-121, pp. 260-261. -
VACHON, Marius. La Renaissance française. L'architecture nationale. Les grands maîtres maçons. Paris : Ernest Flammarion, 1910.
p. 201-220.
Documents figurés
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VILLIERS COTTERETZ. Desseing de l elevation du Chasteau de villiers cotteretz avec les jardrins [sic], gravure sur cuivre, par Pierre-Lucien Faure-Dujarric, graveur, A. Lévy, éditeur, Lemercier, imprimeur, d'après Jacques Androuet du Cerceau, architecte, [vers 1870]. In : ANDROUET DU CERCEAU, Jacques. Les plus excellents bastiments de France. Sous la direction de M. H. Destailleur, nouvelle édition, t. 2. Paris : A. Lévy, libraire-éditeur, 1870 (Laon, musée d'Art et d'Archéologie : 988. 172).
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VILLIERS COTTERETZ. Le plan entier de tout le lieu, impr. photoméc., par Jacques Androuet du Cerceau, architecte, vers 1579. In : ANDROUET DU CERCEAU, Jacques. Les plus excellents bastiments de France. Présentation et commentaires par David Thomson. Paris : Sand et Conti, 1988.
pp. 202-203. -
VILLIERSCCOTTERZ. Le Plan du Chasteau [sic], gravure sur cuivre, [anonyme], d'après Jacques Androuet du Cerceau, architecte, [vers 1579]. In : ANDROUET, DU CERCEAU, Jacques. Le second volume des plus excellents Bastiments de France. Paris, 1579 (Laon, musée d'Art et d'Archéologie : P3. 11).
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LE CHASTEAU LE BOURG ET LA FOREST DE VILLIERS-COSTERESTS CONTIENT 24556 ARPENS, peinture à l'huile sur plâtre par Louis Poisson, peintre, [vers 1604-1608] (château de Fontainebleau, Galerie des Cerfs).
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Viliers Costret [vue cavalière du château], gravure sur cuivre, François Langlois dit Ciartres, graveur, [deuxième quart du XVIIe siècle] (Laon, musée d'Art et d'Archéologie : P3. 14).
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Viliers Costret [vue cavalière du château], gravure sur cuivre, Matthieu Merian (?), graveur, [vers 1655]. In : ZEILLER Martin. Topographia Galliae [...]. t. 1, Frankfurt-am-Main : Caspar Merian, 1655, ill. 116 (Laon, musée d'Art et d'Archéologie : P3. 15b).
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VILIERS-COSTRET [vue cavalière du château], gravure sur cuivre, [sn], [vers 1666]. In : Fransche Merkurius [...]. t'Antwerpen : Michiel Cnobbert, 1666, ill. 154 (Laon, musée d'Art et d'Archéologie : P3. 21).
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LE CHASTEAU DE VILLERS-COSTE-REZ, gravure sur cuivre, attribuée à Gabriel Perelle, graveur, Nicolas Langlois, éditeur, [167.]. In : Veües des belles maisons de France, (AD Aisne : 6 Fi Villers-Cotterêts 10).
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Veüe et perspective du Château Royal de Villers-cotrez, gravure sur cuivre, Adam Perelle, dessinateur et graveur, Nicolas de Poilly, éditeur [seconde moitié du XVIIe siècle] (AD Aisne : 6 Fi Villers-Cotterêts 8).
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PLAN DE LA FOREST DE RETZ, dessin à la plume aquarellé, réalisé par Pierre-François Mombrun ou Montbrun, géomètre-arpenteur de la Maîtrise, 1743 (AN : N II Aisne 18).
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VUE DU CHATEAU DE VILLERS COTTERETZ, gravure, par François-Denis Née, graveur, sur un dessin de Tavernier de Jonquières, dessinateur, vers 1789. In LABORDE, Jean-Benjamin de, BÉGUILLET, Edme, GUETTARD, Jean-Étienne. Voyage pittoresque de la France, avec la description de toutes ses provinces [...]. Description de la province de l'Isle de France. Valois et Comté de Senlis. Paris, 1789, n° 29 (AD Aisne : 6 Fi Villers-Cotterêts 11).
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VUE DE VILLERS-COTTERETZ, Dans le Valois, gravure, par François-Denis Née, graveur, sur un dessin de Tavernier de Jonquières, dessinateur, vers 1789. In LABORDE, Jean-Benjamin de, BÉGUILLET, Edme, GUETTARD, Jean-Étienne. Voyage pittoresque de la France, avec la description de toutes ses provinces [...]. Description de la province de l'Isle de France. Valois et Comté de Senlis. Paris, 1789, n° 27 (Société historique de Villers-Cotterêts).
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Plan et distribution des mansarde du cidevant chateau de Villers Cotteretz, fait et arresté le 5 Pluviose L'an 2e de la Republique française une et indivisible, dessin à l'encre et au lavis sur papier à dessin, par Louis Dumanceau-Duroché, dessinateur, 24 janvier 1794 (AD Aisne : Q 864, n° 3).
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Plan des distributions des Entresolles du cidevant chateau de Villers Cotteretz, fait et aresté au d. Lieu Le 15 ventose L'an 2e de la Republique française une et indivisible, dessin à l'encre et au lavis sur papier à dessin, par Louis Dumanceau-Duroché, dessinateur, 5 mars 1794 (AD Aisne : Q 864, n° 1).
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Plan Général des distributions au Rez de chaussé du cidevant chateau de Villers Cotteretz et de Ses accessoires, proposé pour Le service d'un Cazernement Lequ'elle peut contenir deux milles hommes, le 29 Prerial L'an 2e de la Republique française une et indivisible, dessin à l'encre et au lavis sur papier à dessin, par Louis Dumanceau-Duroché, ingénieur, 17 juin 1794 (AD Aisne : Q 864).
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Château de Villers-Cotterets. Picardie, dessin par Jean-Lubin Vauzelle, lithographie par Fragonard, impression par Thierry frères, [vers 1840]. In : TAYLOR, Justin, NODIER, Charles, CAILLEUX, Alphonse de. Voyages pittoresques et romantiques dans l'ancienne France. Picardie. Paris : Firmin Didot frères, 3 volumes, 1835-1845 (AD Aisne : 6 Fi Villers-Cotterêts 12).
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Château de Villers-Cotterêts en 1655, dessin au crayon et à l'encre, par Amédée Piette, dessinateur, seconde moitié du XIXe siècle (AD Aisne : 8 Fi Villers-Cotterêts 1).
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Château de Villers-Cotterêts. Vue prise de la pelouse, dessin au crayon et à l'encre, par Amédée Piette, dessinateur, 28 août 1871 (AD Aisne : 8 Fi Villers-Cotterêts 2).
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Château de Villers-Cotterêts (Côté du midi), dessin au crayon et à l'encre, par Amédée Piette, dessinateur, 28 août 1871 (AD Aisne : 8 Fi Villers-Cotterêts 3).
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Plan du Retz de chaussée du Batiment de L'aisle Gauche de L'avant cour du Chateau Royal de Villers Costerets, dessin à l'encre aquarellé sur papier à dessin, [vers 1752] (AN : N III Aisne 188 / 5).
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Cheminées du Château de Villers-Cotterêts, dessin au crayon et à l'encre, par Amédée Piette, dessinateur, seconde moitié du XIXe siècle (AD Aisne : 8 Fi Villers-Cotterêts 4).
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DÉPÔT DE MENDICITÉ DE LA VILLE DE PARIS. ANCIEN CHATEAU DE VILLERS-COTTERETS, estampe, par Eugène Noury, dessinateur et lithographe, Lemercier, imprimeur à Paris, [185.] (Laon, musée d'Art et d'Archéologie : P3. 13).
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PAVILLON HENRI II, AU CHATEAU DE VILLERS-COTTERETS, gravure, par Dieudonné Lancelot, graveur, [ca 1879]. In : PALUSTRE, Léon. La Renaissance en France. Paris : A. Quantin, 1879, t. 1, p. 125 (Laon, musée d'Art et d'Archéologie : 989. 20).
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Plan de la censive de Villers-Cotterêts levé par le Sr Charles Le Crocq au mois de septembre 1774, à l'occasion de la ventilation des lots dus à l'acquisition du Sr Quenoble, dessin à l'encre et aquarelle, par Charles Lecrocq, notaire et arpenteur à Villers-Cotterêts, septembre 1774 (AN : N II Aisne 20).
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PLAN DU PARCQUE DEDANS LA FOREST DE RETZ, dessin à l'encre aquarellé, [sn], [vers 1775] (AN : N II Aisne 19).
Chercheur de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, région Hauts-de-France jusqu'en 2022.
Chercheur de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, région Hauts-de-France jusqu'en 2022.