Graves (1851) décrit une église moderne, à l'exception du transept sud. Les sources conservées aux archives départementales (série O) indiquent que la toiture de l'église, endommagée par un ouragan en 1820, a été réparée. De nouveaux travaux doivent être effectués en 1839. En 1848, la voûte doit être consolidée. La sacristie est reconstruite en 1858 par Clovis Maréchal, maître charpentier à Varesnes, sur un devis de Marouy, architecte de l'arrondissement de Compiègne. Les couvertures et les plafonds de l'église sont à nouveau réparés en 1866. Les travaux, adjugés à Louis Augustin Morelle, entrepreneur à Pontoise-lès-Noyon, sont exécutés sur des devis de Zacharie Rendu, architecte de la ville de Noyon. En 1866, un marché est passé avec Louis François Elisé Dalon, maître maçon à Varesnes, pour la réparation de la sacristie (ouverture de deux baies) et du presbytère. Des portes neuves sont placées à l'église en 1878. L'agrandissement du cimetière est projeté en 1833, à la suite d'une épidémie qui a frappé le village. Un mur est construit par Hubert, maître-maçon à Noyon. Le cimetière est agrandi en 1863 et un nouveau mur reconstruit par Louis Dalon. L'église a été reconstruite après 1918, sur l'emplacement d'un édifice plus ancien, qui datait du 16e siècle et peut-être du 18e siècle ; le site est étroitement lié à celui du château détruit. Une maison à usage de presbytère est acquise dans la Grande rue, en 1837. L'édifice, daté de 1727, était construit en pierre calcaire et couvert de tuiles ; il comprenait une grange.